Pour rester motivé, saviez-vous qu’en utilisant des techniques de psychologie simple, même lorsque les objectifs sont difficiles ? Les psychologues utilisent des techniques éprouvées, parées à toute épreuve, dans la vie quotidienne comme au travail. Perte de poids, affirmation de soi, démarrage d’une nouvelle entreprise, employabilité… VAST RH vous invite à découvrir 4 moyens imparables pour garder votre motivation et atteindre vos objectifs.

Le pacte d’Ulysse pour s’en tenir à un objectif et rester motivé

Vous vous souvenez très certainement d’Ulysse, ce héros intelligent de la guerre de Troie… Ce que l’on appelle le « pacte d’Ulysse » est une technique qui vise à vous rendre responsable de vous-même et à vous tenir à un seul objectif, même s’il est difficile.

L’ingrédient clé du pacte d’Ulysse, pour rester motivé, est de faire un choix dans le présent, au moment où les choses sont relativement faciles, en vous obligeant à effectuer une action dans le futur, au moment où les choses seront plus compliquées.

La technique du pacte d’Ulysse aide à rester motivé lorsque les choses se compliquent, par le verrouillage d’un comportement futur connu à l’avance.

Le chunking pour découper en morceaux

En psychologie, le chunking est simplement une méthode d’organisation de contenus ou d’informations qui permet de favoriser sa mémorisation à court terme.

Outil de psychologie cognitive, le chunking (que l’on pourrait traduire en « découpage en morceaux ») est destiné à améliorer les performances de la mémoire. Prenez par exemple une série de chiffres : 235574998745254. Comment retenir des nombres aléatoires ? Il est probable que cela soit plus facile en divisant cette série en morceaux : 235-574-998-745-254.

Bien évidemment, le chunking s’applique à bien d’autres domaines que la simple mémorisation des chaînes de nombres ! Le fait de décomposer des tâches et des objectifs en segments plus petits et plus digestes constitue une stratégie redoutablement efficace dans n’importe quelle entreprise. Pour accomplir un projet, mener à bien une tâche, éviter la procrastination, le chunking est le meilleur moyen d’arriver à ses fins et de rester motivé. En outre, le sentiment d’efficacité personnelle est renforcé, au même titre que la conviction de votre capacité à atteindre un objectif avec succès.

Le renforcement positif pour montrer sa gratitude envers soi-même

Qu’il s’agisse de jeunes enfants ou d’employés, tout le monde répond favorablement au renforcement positif. En effet, il s’agit d’un principe fondamental du comportement humain qui dit qu’un comportement est plus susceptible de se produire et d’être durable dans le temps, lorsqu’il est suivi de quelque chose d’agréable ou de gratifiant.

Dans le monde professionnel, par exemple, les collaborateurs sont plus susceptibles de s’adresser à leurs responsables en faisant des suggestions et des commentaires utiles, si ces derniers les écoutent attentivement et les prennent au sérieux en leur faisant part de leur gratitude de leur appréciation.

Si l’équation est simple à comprendre, nous sommes plutôt médiocres lorsqu’il s’agit de faire usage du renforcement positif et de le mettre en place. En effet, celui-ci ne se produit pas naturellement. Nous avons cependant la capacité d’intégrer des mécanismes de renforcement positif à nos propres défis et objectifs. Il suffit, pour cela, de mettre en place un système de récompense par soi-même.

La visualisation pour rester motivé

Si la visualisation d’un résultat semble tout droit sortie d’un livre de psychologie ou d’une théorie bon marché, il n’en est rien ! La visualisation est une pratique très simple et très puissante pour rester motivé. En effet, la représentation mentale d’un objectif et des avantages qui en découlent est spécifique, concrète et à la portée de tout le monde. Plus nous visualisons un objectif accompli, plus nous sommes motivés pour l’atteindre.

Quel que soit votre objectif, prenez le temps de le visualiser, de peindre l’image dans votre esprit de ce à quoi les choses ressembleront lorsque vous l’aurez atteint. Votre motivation sera plus soutenue et vous serez d’autant plus fier.ère d’avoir accompli votre travail.

 

VAST RH vous accompagne pour développer votre employabilité, retrouver un sens dans votre activité et pour mener à bien vos projets. Bilan de compétences, coaching, évaluation de potentiel, formations… Faites appel à VAST RH pour progresser professionnellement !

Quel lien y a-t-il entre le profil personnel d’un individu et son projet professionnel ? À quels défis font face les bénéficiaires d’un bilan de compétences dans le contexte actuel ? Quel est le rôle du consultant ? Sommes-nous tous égaux devant la perte de sens au travail ?

En plus de 20 ans d’expérience dans l’évolution professionnelle, Martine Travaillé a observé des changements profonds dans la manière dont les outils RH résonnent et raisonnent en nous. Décryptage d’une discussion passionnante avec une experte en RH passionnée !

 

Tenir compte du profil personnel dans le projet professionnel

Quelques années en arrière, le bilan de compétences impliquait la concentration du conseiller et du bénéficiaire sur le seul environnement et projet professionnels. Aujourd’hui, notre experte en psychologie et bilan de compétences se donne plus de latitude, partant du principe que tout projet professionnel est nécessairement lié à un contexte personnel.

« On ne peut pas ne pas tenir compte des problématiques personnelles » affirme Martine. Par exemple, une personne qui, a une confiance en soi amoindrie sera d’autant plus affaiblie en cas de harcèlement au travail.

En outre, « un projet professionnel est toujours lié à un projet d’entreprise » indique Martine Travaillé. « Si les deux ne sont pas équilibrés, il y a dissonance ». Dans ses propos, notre coach met en avant l’importance, pour l’entreprise en quête de réussite et de profitabilité saine, de tenir compte de la diversité et de la richesse des profils.

 

Les salariés sont devant des projets d’entreprise qui ne leur correspondent plus

Au gré de l’évolution technologique et de la course à la productivité, dans un contexte de crise sanitaire difficile pour beaucoup, les individus font face à des projets d’entreprise qui ne correspondent plus à leur personne. « On en demande de plus en plus aux salariés » indique Martine Travaillé. Dans son bureau, elle accueille des bénéficiaires qui ne sont pas (ou plus) en accord avec les exigences de l’entreprise.

Pour Martine, le projet de l’entreprise doit prendre en compte le projet individuel. Or, l’organisation peut aller à contresens du confort humain. Les faits et chiffres sont formels : le nombre de personnes qui ne se sentent plus bien au travail est en augmentation. Au-delà de ce qui ne fait plus lien avec l’entreprise, il s’agit aussi de trouver la source des problématiques plus personnelles, en dehors de la sphère professionnelle.

« Nous sommes tous mus par des schémas neuronaux », explique Martine. Mon travail est d’accompagner la personne dans le repérage des schémas dysfonctionnels pour les rendre fonctionnels dans un contexte plus actuel ». Martine se sert d’outils empruntés à la Thérapie des schémas.

 

Se poser, identifier l’origine de son mal-être, comprendre et changer de schémas

La mise à jour des schémas neuronaux – ceux à l’origine du ou des comportements à modifier parce qu’inadaptés – est une tâche quelquefois ardue. Elle nécessite de se poser, de prendre du recul. Un exercice difficile lorsque l’émotion est encore bien présente. Se poser est nécessaire pour détricoter le mécanisme à l’origine du mal-être. Détricoter pour retricoter un chemin neuronal plus approprié.

Un accompagnement individuel s’étend sur dix séances d’une heure. Une durée souvent suffisante pour s’approprier des outils. L’entretien initial commence souvent par : « Je suis noyé(e) ». La personne sent une forme d’emprise et il s’agit, pour le consultant, de décortiquer le mouvement de la pensée, d’identifier quelle pensée automatique induit un comportement qui génère de la souffrance.

Le rôle de Martine est de transformer la pensée automatique en pensée adaptée. L’objectif est de supprimer la charge émotionnelle associée à la pensée : un exercice délicat, puisque la pensée automatique vient tout droit de l’inconscient. De séance en séance, le travail permet à la personne de se rendre compte qu’elle peut agir sur ses pensées automatiques. « C’est un peu comme lorsque l’on apprend à jouer de la guitare » explique Martine, « au début, le mouvement des doigts qui se baladent sur le manche n’est pas naturel. Il faut penser le mouvement, l’anticiper, préparer la note suivante. Après, tout devient automatique. »

 

Inégalités par rapport à la situation actuelle et à la perte de sens

Nos différences nous amènent à penser, agir et réagir au monde selon des mécanismes qui nous sont propres.

Nous ne vivons pas la crise sanitaire actuelle de la même manière. Elle peut être, pour certains d’entre nous, une invitation au changement ; une opportunité à rebondir. Elle s’avère être pour les autres un véritable obstacle et une source de fragilisation.

Face à ce double sens du sens donné aux événements, l’accompagnement consiste à comprendre et se comprendre pour pouvoir se projeter au mieux de qui nous sommes.

 

Titulaire de plusieurs masters et d’un parcours en psychanalyse et psychologie, Martine Travaillé a aussi parcouru le monde et fait l’expérience de la réussite, du doute et de la remise en question.

Aujourd’hui, elle œuvre avec passion pour répandre plus largement en France la Thérapie dite des Schémas Précoces, approche plus largement développée aux Etats-Unis par J. Young, son fondateur.

Inspirée par des maîtres à penser comme Irvin Yalom, elle œuvre en créant des liens et en puisant de son vécu des exemples qu’elle n’hésite pas à partager, faisant ainsi de ses accompagnements une alliance qui lui est propre. Elle dit, avec beaucoup d’humilité, qu’une alliance thérapeutique est une œuvre d’art tant ce partage peut être sublimant.

Expert mondialement réputé dans le domaine de la gestion du stress et la prévention des risques psycho-sociaux, Serge Marquis a un avis bien marqué sur l’importance de la gratitude au travail. Un rien du tout qui peut aller très très loin… VAST RH vous explique tout !

Les nombreux avantages de la gratitude au travail

Selon Serge Marquis, médecin québécois, la reconnaissance au travail entraîne des effets incroyablement puissants et très variés sur les individus. Elle impacte sur l’estime de soi, sur la prise en compte de son propre rôle au sein d’une entreprise, elle donne un sens à l’individu qui prend conscience de son existence et de sa place. La gratitude, lorsqu’elle est utilisée comme un outil de management, renforce le sentiment d’appartenance à l’organisation.

Chaque collaborateur, quelle que soit sa position hiérarchique, a besoin de savoir qu’il fait un travail important. Il a besoin de savoir que le temps qu’il accorde à l’entreprise est utile et qu’il contribue à quelque chose d’essentiel. C’est notamment par le biais de la reconnaissance que les individus parviennent à donner un sens à leur travail et, d’une manière plus générale, à leur vie.

La gratitude : une denrée encore trop rare dans les entreprises

Si l’on sait que la gratitude au travail est porteuse de nombreux avantages sur le bien-être des salariés, il est légitime de se demander pourquoi elle n’est pas plus largement utilisée. A cela, Serge Marquis répond que certains employeurs ont « peur d’être reconnaissants » et se demandent « de quoi ils vont avoir l’air ». D’autres encore associent la gratitude à une forme d’infantilisation dont les adultes peuvent aisément se passer.

C’est seulement en étant capable d’accueillir la gratitude que l’on peut la donner. Par ailleurs, est-il possible que les managers soient avares de reconnaissance par peur de perdre une partie de leur autorité, de leur stature ? Autant d’idées reçues dont il faudrait se défaire pour témoigner davantage de gratitude en entreprise.

Qu’est-ce qu’un patron reconnaissant ?

Exprimer de la gratitude, lorsqu’on est chef d’entreprise ou manager, cela passe par des choses simples. Des expressions comme « bonjour », « merci » ou encore « merci d’avoir mené ce projet à bien » … sont, au final, évidentes. Cela passe également par du temps passé à expliquer le rôle du salarié dans l’organisation. Cet échange est essentiel, dans la mesure où il est valorisant pour le collaborateur, mais également capable de faire jaillir des compétences et des motivations insoupçonnées chez l’intéressé.

Le médecin québécois va plus loin, en suggérant une journée de la gratitude dans les entreprises, un jour par an au cours duquel les employés sont reconnus pour leurs bons et loyaux services de manière ouverte par leurs supérieurs.

La gratitude vue par les salariés

Lorsqu’un salarié se voit témoigner de la gratitude par l’un de ses pairs, le sujet tourne souvent autour de la qualité du travail accompli. Cette forme de gratitude n’a pas son pareil, à aucun échelon de l’entreprise. En effet, un collègue qui fait le même travail qu’un autre et qui prend le temps de témoigner de la gratitude à l’un de ses collaborateur, est le mieux placé pour exprimer son point de vue. Ainsi, l’impact sur la personne qui reçoit est maximal.

La gratitude peut également se faire du bas en haut. Malheureusement, nous sommes peu nombreux à remercier nos chefs pour prendre la bonne direction ou encore nous accorder leur confiance… Prendrait-on nos supérieurs hiérarchiques pour argent comptant ? Ne méritent-ils pas, eux aussi, d’être reconnus pour ce qu’ils sont et ce qu’ils font ?

 

La gratitude en entreprise : Serge Marquis est convaincu qu’elle génère un climat social plus apaisé dans les entreprises qui la pratiquent de manière informelle. Simple à mettre en place, lorsqu’elle est sincère et authentique, elle peut aller très très loin… Qu’on se le dise ! Et merci d’avoir lu cet article jusqu’au bout 😉

Faites-vous partie de ces personnes dont on dit qu’elles sont « ultrasensibles » ? Si cela est le cas, il se peut que votre vie professionnelle soit remplie de défis. Les personnes sensibles ont tendance, en effet, à prendre les choses personnellement et à se sentir mal à l’aise au milieu des autres. Mais la sensibilité au travail peut également présenter des avantages. Êtes-vous une personne sensible au travail ? VAST RH vous propose des pistes de réflexion.

Vous êtes à l’aise avec les tâches administratives

Alors que la plupart de vos collaborateurs, moins sensibles que vous, rechignent à l’idée de s’asseoir devant un bureau pour effectuer des tâches qu’elles jugent ingrates, ces dernières sont tout à fait votre tasse de thé. Et d’ailleurs, vous excellez en matière d’organisation. Pour vous, ces tâches sont l’occasion de gagner en tranquillité, d’échapper aux interactions avec les collègues et de vous donner, le temps qu’il faut, l’espace dont vous avez besoin pour vous concentrer.

Une réunion = une source de stress !

Tandis que vos collègues attendent avec impatience de rencontrer des collaborateurs à l’occasion d’une réunion, les personnes sensibles redoutent ce moment. Pour elles, les réunions sont source de stress et d’épuisement. Le réseautage ne fait pas partie des activités qu’elles préfèrent… loin de là ! Si cela est votre cas, il est possible que votre sensibilité au travail soit la raison de votre aversion pour les réunions.

Vos mails sont le symbole de la perfection

L’idée de bafouiller un texte sans le relire et de cliquer sur le bouton « Envoyer » à toute hâte ne vous traverserait jamais l’esprit. Dans un contexte professionnel, comme dans votre vie personnelle, lorsqu’il s’agit de communiquer avec les autres, vous pesez chaque mot, chaque expression. Dans les écrits, les personnes sensibles comprennent que chaque phrase peut être lue de plusieurs manières. Il est donc important pour elles de faire en sorte que leur intention soit exprimée aussi clairement que possible.

Dans votre esprit, toutes les issues possibles d’une conversation ont déjà été passées au crible

Une personne sensible, au contact d’autres individus, peut éprouver une forme de surcharge mentale. Qu’il s’agisse d’un entretien pour un nouveau poste ou d’une simple proposition, la prise en compte du point de vue de chacun peut conduire à l’élaboration de plusieurs scénarios possibles sur la manière dont les choses se dérouleront. Si, dans votre esprit, de multiples scénarios ont été dressés par rapport à une réunion ou à une conversation à venir, il est possible que votre sensibilité soit en train de prendre le dessus…

On ne plaisante pas avec l’évaluation des performances

Certains salariés sont capables d’ignorer ce que leurs supérieurs ont à dire à leur sujet. Pour les personnes sensibles, ce que pense leur chef est de la plus haute importance. La date de l’entretien annuel est entourée d’un cercle rouge sur leur calendrier et plus elle approche, plus la pression monte. Certes, les jours qui précèdent cette réunion sont loin d’être agréables… En revanche, il s’avère que les personnes sensibles sont également plus responsables et plus performantes.

 

Au déjeuner : grand moment de solitude

Aïe ! Lorsqu’il s’agit de la pause déjeuner, il s’agit également de rattraper le temps perdu (au travail) et d’échanger avec les collègues. Pour les personnes sensibles, la pause déjeuner est propice au calme et à la réflexion. En fonction de leur poste, surtout si ces personnes sont amenées à côtoyer un grand nombre d’individus pendant la journée au bureau, la pause de midi doit impérativement se faire au calme.

Toute confrontation est source d’anxiété

S’il arrive qu’un collègue dépasse les limites de l’acceptable, si il ou elle commet une erreur, cela peut engendrer du stress chez les personnes sensibles. Ceci est dû à leur côté empathique que leurs homologues, qui en ont moins, n’éprouvent aucun sentiment par rapport aux alertes et aux faux pas. Les personnes très sensibles s’efforcent instinctivement de trouver la manière la moins abrasive de formuler leurs critiques.

Vous lisez entre les lignes

Certes, une personne sensible se sent souvent accablée, mais le fait d’avoir un sens particulièrement aigu du monde qui l’entoure peut se traduire par une formidable capacité de perception. Leur sens de l’observation est précieux et ce sont elles qui parviennent à déchiffrer certaines choses que d’autres personnes moins sensibles ne perçoivent pas.

 

Sensible ou même hypersensible au travail ? Ce n’est ni un vice ni une fatalité. Apprenez à transformer certains aspects de votre personnalité qui pourrait, dans certaines circonstances, semblaient être des défauts, en armes de combat. Valorisez votre sensibilité au travail : elle pourrait très bien être votre plus précieux atout pour votre évolution professionnelle. Pourquoi ne pas en discuter avec un conseiller VAST RH ?

Ah, l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle… un sujet qui ne cesse d’alimenter les médias, les conférences et autres bureaux des RH. Et pour cause ! Cet équilibre dont il est question, aussi simple qu’il paraisse au premier abord, relève d’un numéro d’acrobatie devenue un véritable défi pour beaucoup. Entre horaires de travail, famille, relations sociales… que faut-il privilégier… quels sont les facteurs qui contribuent à la pression et à l’attraction de l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle ? Que se passe-t-il si ce fameux équilibre n’est pas atteint ? Comment trouver le juste milieu ?

Prenons du recul… Si, actuellement, vous vous sentez surmené(e) et que vous n’êtes pas certain(e) de votre propre équilibre entre vie professionnelle et vie privée, voici 10 signes annonciateurs d’un déséquilibre potentiel.

Vous vous sentez moins en forme

Alors que les heures supplémentaires au travail s’accumulent, vous privez d’exercice et, par voie de conséquence, vous tendez à vous diriger plus facilement vers le snack du coin pour vos repas. Les kilos, eux aussi, s’accumulent… au point de vous essouffler dès le premier étage de votre immeuble franchi.

Attention : les excès, s’ils sont trop nombreux, entraînent un impact négatif sur votre qualité de vie et peuvent nuire à votre estime de soi. Et si vous vous accordiez du temps supplémentaire, ne serait-ce que quelques minutes par jour ? Vous manquez de temps ? Nous disposons tous de 24 heures par jour. Pourquoi ne pas, par exemple, pour réveiller 20 minutes plus tôt ?

Vous devenez trop perfectionniste

Un peu de perfectionnisme dans la vie n’a jamais fait de mal à personne. En revanche, lorsqu’elle est poussée un cran trop loin, cette habitude peut devenir une obsession et ainsi nuire à l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée.

Efforcez-vous de faire votre travail de la meilleure manière qui soit. En revanche, si vous êtes préoccupé par des petits détails au point qu’ils interfèrent avec votre vie personnelle, il y a potentiellement un problème. En consacrant plus de temps et d’énergie qu’il n’en faut à vous assurer que les petites choses sont « juste comme il faut », vous allez rapidement vous fatiguer. Peut-être est-il temps de repenser votre approche du travail ?

Votre espace de travail est hors de contrôle

Par nature, vous êtes une personne peut organisée, mais vous vous rendez compte que plus les jours passent, plus votre bureau devient un véritable champ de bataille. Lorsqu’un espace de travail est désordonné, surtout s’il est associé à de longues heures et à des charges de travail lourdes, peut devenir source de stress et d’épuisement. Si votre cœur palpite à la vue des piles de documents sur votre bureau, il est tout à fait possible que votre espace de travail contribue à vos problèmes d’équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Prenez le temps de désencombrer votre bureau en jetant l’inutile, en classant l’essentiel et en agissant sur les dossiers en cours.

Vous faites beaucoup d’heures supplémentaires

Les heures supplémentaires sont presque devenues votre quotidien. Dans l’engrenage du travail compétitif, vous êtes peut-être tombé(e) dans le piège qui consiste à rester tard ou à venir tôt au bureau.

Le faites-vous par engagement, par dévouement ou par obligation ? Pensez-vous créer une impression positive sur votre chef ? Si cela est le cas, quelle impression créez-vous à la maison ? Est-il vraiment nécessaire de travailler 60 heures par semaine, toutes les semaines, pour être un bon salarié ? Peut-être serait-il intéressant de vous concentrer sur la qualité de votre travail, plutôt que sur les heures qui figurent sur votre feuille de présence. Le maître mot est : productivité. Au final, votre chef sera certainement bien plus impressionné par ce que vous avez produit que par le nombre d’heures de travail que vous avez accumulées…

Votre vie sociale est en stand-by

Lorsque l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée est fragilisé, le temps passé avec les amis et la famille sont généralement la première chose qui passe « à la trappe ». Réfléchissez : quand avez-vous passé du temps avec vos amis pour la dernière fois ? De quand date votre dernier rendez-vous avec un proche ? Votre vie sociale, ne l’oubliez pas, reste une priorité lorsqu’il s’agit de l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée.

Ne vous reprochez pas de passer du temps avec vos amis. Si la socialisation est généralement associée au temps libre, elle vous permet également de trouver le juste équilibre. À ce titre, elle est impérative !

Vous êtes souvent en colère

Le déséquilibre conduit généralement au stress et à l’anxiété. Pour beaucoup, ces derniers se manifestent extérieurement sous forme de colère. Les personnes surmenées peuvent être sujettes à des explosions, des changements soudains de tempérament.

Si vous enfants, votre conjoint(e) et/ou vos amis vous sensibilisent quant à vos changements d’humeur, il est temps de regarder à l’intérieur de vous-même. La colère, si elle est essentielle dans un processus psychologique, peut indiquer un déséquilibre entre vie privée et vie professionnelle. Il est important de la gérer correctement.

Vous avez des insomnies

On dit que le sommeil est réparateur. Le manque de sommeil, quant à lui, est un bon indicateur que quelque chose ne va pas dans votre vie. Si vous avez du mal à vous endormir, que vous vous réveillez en pleine nuit sans raison particulière, il est possible que l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée soit fragilisé. Ce problème peut être résolu ; s’il ne l’est pas, il engendre un effet domino qui se caractérise par de la mauvaise humeur, un manque de productivité et des problèmes potentiellement plus graves de santé physique et mentale.

Pour remédier à cela, développer et respecter une routine de sommeil. Endormez-vous à des horaires fixes et, si nécessaire, envisagez une activité telle que le yoga ou la méditation.

 

L’équilibre entre vie privée et vie professionnelle, s’il est fragile, peut être ajusté à tout moment. Dans la vie, alors que vous franchirez plusieurs étapes, n’hésitez pas à demander l’accompagnement d’un professionnel qui vous permettra de faire le point. Si vous sentez un réel déséquilibre entre votre vie professionnelle et vie privée, que vous avez du mal à trouver du sens dans votre travail, un simple exercice comme un bilan de compétences peut être un excellent moyen de repartir du bon pied. Pensez-y !

Ikigai. Traduisez : « joie de vivre / raison d’être / de vivre ». Un phénomène venu d’ailleurs ? Une tendance éphémère ? Peu importe… Il semblerait que, dans ce concept issu du Japon ancien, il y ait des éléments permettant d’exploiter son potentiel et de s’épanouir.

Qui ne souhaite pas se lever le matin en se réjouissant de la journée à venir, même lorsque le week-end est encore loin ? Et si l’Ikigai pouvait vous aider à trouver le job de vos rêves ? VAST RH se penche sur la question…

 

Quelques mots sur l’Ikigai

Le concept Ikigai vient tout droit du pays du Soleil levant. Il consiste à trouver son objectif individuel ou, plus simplement, « ce qui vaut la peine de vivre » … ou encore « la raison de se lever chaque matin ». L’Ikigai revêt un spectre relativement large, puisqu’il touche à quatre domaines que l’on peut résumer ainsi :

  • Qu’est-ce que j’aime ?
  • En quoi suis-je vraiment bon  ?
  • De quoi le monde a-t-il besoin ?
  • Avec quoi puis-je gagner de l’argent ?

Certes, les mots sont faciles à coucher sur le papier… En d’autres termes, il est plus facile de parler de l’Ikigai que de le mettre en pratique. La raison qui explique cela est simple à comprendre : pour apporter une réponse à chacune des quatre questions ci-dessus, il faut d’abord se connaître et se comprendre soi-même.

L’Ikigai fait également intervenir des notions importantes, issues de superpositions entre les quatre éléments présentés ci-dessus.

  • La passion
  • La mission
  • Le métier
  • La vocation

 

Comment trouver un job que l’on aime vraiment ?

Pour répondre à une question comme celle-ci, il est important de commencer par … se poser des questions ! En quoi êtes-vous vraiment doué.e ? Existe-t-il un poste qui répond trait pour trait à vos compétences ? Qu’êtes-vous capable de faire, qui soit utile aux autres ? Y a-t-il quelque chose que vous pouvez apporter au monde en général ?

Qu’est-ce que j’aime ?

Pensez à ce que vous aimez faire, sans pour autant que cela ait un lien avec le travail. Posez-vous les questions suivantes : qu’est-ce qui vous motive ? Qu’est-ce qui vous touche ? Qu’aimez-vous faire ?

En quoi suis-je bon.ne ?

Vous avez des talents. Les questions qui les feront jaillir sont, par exemple : sur quoi vous fait-on des compliments ? Qu’est-ce qui vous paraît facile, naturel ? Quelle expertise avez-vous acquise ?

 

Pour quelle raison souhaitez-vous être rémunéré.e ?

Tout travail mérite salaire, certes. Mais il s’agit de vous poser la question de savoir si vous serez rémunéré.e à votre juste valeur. Cet aspect est important, dans la mesure où il joue un rôle dans votre image de marque personnelle et vous aide à vous « vendre ». Réfléchissez à vos arguments : en quoi vos talents sont-ils vendeurs ? Vos compétences font-elles partie de celles qui sont recherchées par les employeurs ?

 

De quoi le monde a-t-il besoin ?

Vos actions, même à petite échelle, ont un impact sur le monde qui vous entoure… et peut-être au-delà ! Y a-t-il quelque chose que vous puissiez faire pour les autres ? Quelles activités proposez-vous qui pourraient faire une différence pour autrui ? De quoi vos enfants et/ou vos proches seraient-ils fiers ?

 

Trouver son ikigai pour trouver le job de ses rêves est un exercice délicat. Il nécessite un temps pour soi, une introspection nécessaire avant de pouvoir faire jaillir la personne que vous êtes vraiment et ce que vous souhaitez. Pourquoi ne pas en parler ensemble, avec un consultant VAST RH ? Nous développons des outils et des méthodes (bilan de compétences, bilan professionnel) qui peuvent vous permettre de rebondir… Lancez-vous !

« Dépêche-toi », « Sois fort », « Sois parfait », « Fais plaisir », « Fais un effort » … L’une de ces expressions retentit-elle plus fort dans votre esprit ? Les injonctions parentales, ces fameux « drivers », sont ancrées en nous et conditionnent nos comportements, notre manière de penser et de communiquer. Zoom sur les drivers qui nous habitent…

Fais plaisir

« Pense aux autres avant de penser à toi-même », « Donne ton jouet au petit garçon qui n’a rien », « Laisse-la passer avant toi » … Le driver « Fais plaisir » rime avec la dévotion, la gentillesse et l’attention aux autres… pour mériter qu’ils nous aiment.

Alors qu’il est parfaitement honorable d’être gentil et de faire plaisir aux autres, cela se fait parfois au détriment de soi-même. En conséquence, les personnes « trop gentilles » se laissent envahir trop rapidement. Elles ne sont pas prêtes au conflit et ont du mal à décider, prêtes à aider les autres, même si on ne leur demande rien.

Sois parfait

Dans votre enfance, vous avez peut-être souvent entendu des phrases comme « peut mieux faire » ou encore « tu aurais pu t’appliquer ». En d’autres termes, vous avez été amené.e à penser que lorsqu’on fait quelque chose, on le fait parfaitement. Ou pas du tout.

Vous êtes certainement pointilleux.se, excellent vérificateur et… vous hésitez lorsqu’il s’agit de déléguer. La perfection vous caractérise et vous produisez certainement un excellent travail. Mais le contrôle est chronophage… Si la barre est placée trop haut, vous risquez de laisser passer des opportunités…

Sois fort

« Il n’y a que les bébés qui pleurent », « Arrête de gémir et montre que tu es fort.e »… Les personnes dont le driver principal est « Sois fort » sont mues par le résultat. Elles ont tendance à intérioriser leurs émotions et savent être autonomes. Résistantes au stress, elles savent gérer les situations problématiques et se montrent capables de prendre des risques. Souvent, elles ne demandent d’aide à personne, allant jusqu’à éprouver du mépris pour celles et ceux qui en ont besoin.

Le « sois fort » conduit celles et ceux qui en sont remplis de ne pas montrer leur ressenti, au risque de dévoiler une forme de faiblesse. Durs avec eux-mêmes, ils cherchent à dominer et peuvent être perçus comme étant intolérants envers les autres qui, eux, apparaissent comme étant faibles.

Dépêche-toi

« Ben alors, tu n’as pas encore fini ? », « Arrête de traîner ! », « A ce rythme, on y sera encore à Noël ». Les personnes dont le driver principal est « dépêche-toi » vivent une perpétuelle course contre la montre. Il faut être efficace, car le temps est précieux. Les décisions doivent se prendre rapidement : on va droit au but et tout le reste n’est que futilités.

Les personnes pressées réagissent vite, se montrent impatientes et cherchent des solutions rapides pour gagner du temps. Le risque, pour ces personnes, est de ne pas aller jusqu’au bout des choses. Souvent en tête de peloton, elles considèrent les autres comme des « mous », s’affligeant une perception d’elles-mêmes qui n’est pas toujours positive.

Fais un effort

« Trop facile, tu n’as aucun mérite ! », « C’est tout ce que tu as fait ? » … Les personnes qui sont animées essentiellement par le driver « Fais un effort » pensent qu’il ne faut jamais reculer devant l’effort. Pour cela, il faut persévérer pour y arriver. Parce que, pensent ces personnes, l’effort finit toujours par payer.

Le driver « Fais un effort » pousse les individus à se dépasser et à reconnaître l’effort des autres. Parfois perçus comme sévères, ils peuvent considérer ceux qui n’en font pas assez comme des paresseux, même si cela n’est pas vrai. Ils ne valorisent pas leurs efforts et considèrent parfois le travail des autres comme quelque chose de trop facile à accomplir, sans effort nécessaire.

 

Connaître son driver principal est important, dans la sphère professionnelle comme dans la vie privée. Chaque jour, VAST RH accompagne des femmes et des hommes qui cherchent à mieux se connaître pour définir leur avenir plus clairement et aller jusqu’au bout de leurs objectifs. Et si vous rencontriez un consultant VAST RH ? Trouvez l’agence la plus proche et bénéficiez d’un premier entretien gratuit.

Alors qu’il nous tarde de voir l’épisode de crise sanitaire derrière nous, il est plus que probable que l’une des questions récurrentes des entretiens d’embauche post-Covid sera : « Qu’avez-vous fait pendant le confinement ? ». Pour y répondre correctement, il faut d’abord y réfléchir. Avez-vous été productif.ve ? Ou au contraire, avez-vous passé votre temps à jouer à des jeux vidéo en pyjama sur le canapé ? VAST RH vous aide à faire le point.

Entretien d’embauche : restez sincère

Jouer à des jeux vidéo pendant le confinement peut tout à fait être un passe-temps à partager avec notre nouvel employeur. En effet, quoi de plus louable que de s’octroyer un temps d’arrêt et de s’évader, tout en restant à l’intérieur ? Si cette activité n’a pas constitué la majeure partie de notre temps pendant le confinement, l’honnêteté est votre meilleure alliée.

Peut-être est-il même possible d’extrapoler, de votre activité pendant le confinement, l’un ou l’autre apprentissage : nouveau logiciel, communication en ligne avec les autres joueurs, en anglais bien sûr… Essayez, dans la mesure du possible, de définir en quoi votre activité vous a permis d’occuper votre esprit.

Pendant le confinement, vous avez mis le cap sur la connaissance

Si vous avez consacré beaucoup de temps à l’apprentissage en autonomie pendant le confinement, sachez que la curiosité intellectuelle est toujours appréciée chez les candidats à un emploi. Votre motivation, votre sens de l’organisation seront très remarqués. En guide de réponse à la question « Qu’avez-vous fait pendant le confinement ? », ne vous contentez pas de dire « J’ai beaucoup lu » : présentez concrètement vos lectures, sans pour autant en faire l’étalage, et expliquez en quoi cela vous a permis de passer notre temps intelligemment. Si vous avez développé une nouvelle compétence ou un nouveau hobby, si vous avez suivi une formation, synthétisez-le clairement et présentez quel en a été l’aboutissement.

Vous en avez profité pour avancer en matière de développement personnel

Le confinement a été, pour beaucoup, un moment d’introspection. Un moment pour réfléchir à soi-même, à sa vie privée et à sa carrière. Beaucoup d’entre nous ont trouvé de nouveaux intérêts, renouvelé ou renforcé l’envie d’avancer à travers la découverte de soi.

Votre capacité de réflexion sera très remarquée. Parmi les exemples que vous pourrez mettre en avant, n’hésitez pas à parler :

  • De ce que vous avez appris par rapport à vous-même : vos limites, votre style de travail, etc.
  • D’une meilleure compréhension de votre propre personne grâce à un rapprochement avec vos amis et votre famille
  • D’un projet auquel vous teniez et que vous avez mené à bien

Si le confinement vous a entraîné en dehors de votre zone de confort, vous a forcé à vous fixer des limites avec une ou plusieurs personnes, voire avec votre employeur ou, pourquoi pas, vous-même, parlez-en ! Peut-être avez-vous appris à dire « non », à limiter votre temps d’écran, à prendre confiance en vous ? Tous ces éléments de développement personnel devront être valorisés pendant votre entretien d’embauche.

Vous avez aidé les autres pendant le confinement ?

L’altruisme, particulièrement dans une situation de crise, est toujours apprécié. Vous avez soutenu votre communauté, vos parents, vos proches ; vous avez fait du bénévolat, vous avez fait des courses pour vos voisins, démarré un groupe d’entraide sur les réseaux sociaux… voici une manière explicite de prouver que vous êtes tourné.e vers les autres. Utilisez cet argument à votre avantage pour vous mettre en avant pendant votre entretien d’embauche.

 

« Qu’avez-vous fait pendant le confinement ? » fait partie des nouvelles questions des employeurs post-Covid. Autant s’y préparer. Peu importe ce que vous avez fait, il y a certainement moyen de tourner cela positivement, à votre avantage. Pensez-y !

Quitter son job… avez-vous remarqué que cela sonne plutôt négativement dans l’esprit du plus grand nombre ? Quitter son poste, n’est-ce pas une manière de s’affirmer, de tourner la page, de passer à une nouvelle étape ? Alors pourquoi le fait de changer de poste a-t-il une connotation négative ? Certes, il y a différentes manières de dire adieu à son patron. Il ne s’agit pas de démissionner en claquant la porte parce que les choses ne vont pas comme vous le voulez… Quoi qu’il en soit, avant de dire adieu votre employeur, un temps de réflexion s’impose. Voici 10 bonnes raisons de quitter son job.

Vous avez trouvé un nouvel emploi

De toute évidence, l’une des meilleures raisons pour lesquelles on quitte un poste, c’est parce qu’on en a trouvé un nouveau. En revanche, il est important de ne pas se précipiter. Assurez-vous d’avoir couvert toutes les bases avant de donner votre démission, et notamment d’avoir formalisé notre nouvelle embauche.

Vous « détestez » votre travail

Votre poste actuel ne vous convient pas. Tous les jours, c’est à reculons que vous vous rendez au travail et vous vous sentez de plus en plus morose… même la pause-café ne vous enthousiasme plus ! Si le fait de « détester » votre travail est devenu insupportable, il est préférable de planifier votre sortie de manière stratégique, pour mettre les meilleures chances de votre côté.

Vous ou l’un de vos proches a des problèmes de santé

La maladie, qu’elle vous concerne personnellement ou votre famille, et une raison légitime de quitter son job. Bien évidemment, il est important de vous assurer d’être couvert.e après votre départ et, de ce fait, de vous informer en amont, avant de quitter votre emploi.

L’environnement de travail est difficile

aA bureau, vos collègues de travail et vos patrons vous rendent la tâche difficile. L’ambiance qui règne au travail est peu propice à votre épanouissement et, malgré tous vos efforts, vous ne parvenez pas à améliorer la situation. C’est seulement une fois que vous aurez essayé toutes les options à votre portée, qu’il faudra considérer la possibilité de partir pour passer à autre chose.

Les horaires de travail ne vous conviennent pas

Si votre vie personnelle ou celle des membres de votre famille ne vous permet plus de vous adapter aux horaires de travail actuels, il est possible que vous deviez chercher un poste plus en adéquation avec vos priorités personnelles et impératifs.

Quitter son job pour se former

L’envie de reprendre les études vous titille depuis un moment déjà… Le retour aux études, à temps partiel ou à temps plein, peut nécessiter un changement d’emploi ou, tout simplement, de quitter son job. Compte tenu des horaires de formation et des exigences liées à votre poste actuel, il est possible que ce dernier ne vous convienne plus.

Vous avez envie de changer de carrière

Chaque jour, des centaines de personnes quittent leur emploi et s’orientent vers une nouvelle carrière. Ce que l’on appelle communément la reconversion professionnelle, répond à des besoins tout à fait légitimes. Quels que soient les vôtres, la reconversion professionnelle ne se prend pas à la légère. Le meilleur moyen de l’envisager est de faire appel à un coach professionnel ou de faire un bilan de compétences.

Vous déménagez

Si vous déménagez, à moins qu’il soit envisageable de travailler à partir d’un nouveau lieu géographique, il est possible que vous deviez quitter votre emploi. Dans tous les cas, parlez-en avec votre patron d’abord. Il est possible qu’il ait une solution à laquelle vous n’avez pas pensé.

Quitter son job par instinct

Vous pensez qu’il est temps de quitter votre job parce que votre instinct vous le fait sentir. Est-ce suffisant pour donner votre démission ? Tout dépend de votre situation personnelle et financière… Néanmoins, par les temps qui courent, il est préférable d’assurer ses arrières. Peut-être avez-vous un projet qui vous tient à cœur et pour lequel vous devez vous consacrer à 100 % ? Si cela est le cas, faites-vous accompagner par un professionnel compétent pour espérer que votre projet se concrétise et se pérennise.

Et si vous parliez de votre projet ou volonté de quitter votre poste actuel avec un consultant spécialisé ? Bilan de compétences, évaluation de potentiel, coaching… Réussir vous va si bien !

La question est légitime : vaut-il mieux vivre pour travailler ou travailler pour vivre ? Une question à laquelle il n’y a aucune réponse, pour la bonne et simple raison que chacun envisage sa vie, détermine ses choix et prend des décisions en fonction de ses objectifs et de ses rêves.

Néanmoins, puisque cette question se pose souvent, aux réunions de famille, entre amis comme à plusieurs reprises au cours d’une même vie, essayons d’y répondre : vaut-il mieux vivre pour travailler ou travailler pour vivre ?

Il y a ceux qui vivent pour travailler…

Les personnes qui « vivent pour travailler » ont tendance à faire des choix en fonction de leur carrière et de leurs objectifs professionnels. Elles sont souvent étiquetées comme des « bourreaux de travail ». Leurs motivations touchent souvent à l’argent, mais pas seulement. Elles peuvent également avoir des objectifs de progression de carrière, vouloir atteindre des postes de direction, monter le plus haut possible sur l’échelle hiérarchique… Ces personnes, en règle générale, trouvent une opportunité de carrière ou un poste et se déplacent, construisant leur vie autour de leur travail.

Vivre pour travailler, même si l’idée ne tente guère ceux et celles qui ne vivent pas selon ce précepte, peut avoir du bon. Généralement, les férus de travail sont rapides, efficaces et savent où ils veulent aller. Même lorsqu’ils se trouvent sans objectif particulier, sans date butoir ou ligne d’arrivée, ils en créent un pour leur prochain projet.

… et ceux qui travaillent pour vivre

Ceux et celles qui « travaillent pour vivre » ont tendance à considérer leur activité professionnelle, leur emploi ou leur profession comme un moyen de gagner l’argent pour pouvoir payer ce dont elles ont besoin dans leur vie personnelle. Ils qualifient parfois leur emploi comme « un travail alimentaire ». C’est en fonction de leurs propres besoins et de leur style de vie qu’ils choisissent un endroit pour vivre, donc un emploi.

Parmi les objectifs des gens qui travaillent pour vivre, les voyages, le temps passé en famille, les hobbies et autres passions au quotidien.  Ces personnes ne s’identifient guère à leur travail ou à leur carrière.  A la question « que faites-vous dans la vie ? », elles répondent « je suis photographe », « je suis graphiste » ou encore… « je fais du vélo ». Qu’elles soient payées ou non, à partir du moment où elles ont l’occasion d’exercer leur passion, tout va bien dans le meilleur des mondes. Par ailleurs, certaines parviennent à tirer parti de leur passion et à être copieusement rémunérées…

 

Travailler pour vivre ou vivre pour travailler ? Selon sa personnalité, ses désirs et ses rêves, il appartient à chacun de décider. Si vous envisagez différentes possibilités au niveau professionnel, que vous avez besoin de faire le point, il est peut-être temps de passer en revue vos propres attentes.

Gardez à l’esprit qu’à mesure que votre vie avance, certains domaines deviennent plus importants que d’autres. Ensemble, nous pouvons définir ce qui est important pour vous et de quelle manière vous pourrez atteindre vos objectifs pour trouver un équilibre entre travail et vie personnelle, être pleinement épanoui(e) et heureux(se) ! Contactez VAST RH pour faire le point.

Le peuple toltèque a rayonné dans le centre du Mexique entre le 10e et le 12e siècle de notre ère. Il a érigé une capitale d’envergure à Tula, à quelque 72 km au nord-ouest de Mexico. Les Toltèques ont transmis leur héritage aux Aztèques qui les ont vénérés pour leur prospérité, allant jusqu’à revendiquer leur descendance. Le livre de Miguel Ruiz est devenu un ouvrage culte. « Les quatre accords toltèques » nous invite à envisager de nouvelles possibilités et nous réjouir d’un avenir meilleur. Ces accords touchent à tous les domaines : du bonheur à l’amour en passant par le respect de soi-même et de ses relations…

Bon nombre d’entre nous avons tendance à oublier tous les défis et les obstacles que l’esprit rencontre pour ne mettre en place qu’un seul des accords toltèques. C’est ainsi que nous passons à côté d’informations clés, risquant d’être déçus, frustrés ou pire… de faire marche arrière. Don Miguel Ruiz, maître absolu de la spiritualité toltèque et du néo shamanisme, évoque ces défis. A lire et à méditer.

Que votre parole soit impeccable

  • Parlez avec intégrité.
  • Ne dites que ce que vous pensez.
  • Évitez d’utiliser la parole pour parler contre vous-même ou pour faire des commérages sur les autres.
  • Utilisez le pouvoir de votre parole dans le sens de la vérité et de l’amour.

Chacun d’entre nous se souvient d’une parole blessante d’un parent, d’un ami, d’un collègue ou d’un patron. Miguel Ruiz le dit haut et fort : « la parole est un outil qui peut détruire ». Pour lui, c’est en cultivant la modération de ses propres propos que l’on conserve le pouvoir du verbe sur le psychisme… en commençant par le discours que l’on se tient à soi-même.

Ne prenez rien personnellement

  • Rien de ce que font les autres n’est à cause de vous.
  • Ce que les autres disent et font est une projection de leur propre réalité, de leur propre rêve.
  • Si vous êtes immunisé contre les opinions et les actions des autres, vous ne serez pas victime de souffrances inutiles.

Au travail, dans la vie de tous les jours, vous sentez-vous critiqué ? Offensé ? Prenez du recul et laissez, aux autres, la responsabilité de leur parole et de leurs actes. Souvent, cela suffit à apaiser les tensions.

Ne faites aucune supposition

  • Trouvez le courage de poser des questions et d’exprimer ce que vous voulez vraiment.
  • Communiquez avec les autres aussi clairement que possible pour éviter les malentendus, la tristesse et le drame.
  • Avec ce seul accord, vous pouvez complètement transformer votre vie.

Les hypothèses que nous élaborons ont un pouvoir de contrôle sur nos pensées. Elles deviennent rapidement des croyances et conditionnent notre comportement. Libérez-vous des hypothèses en mettant les choses à plat et en exprimant vos doutes aussi clairement que possible.

Faites toujours de votre mieux

  • Votre mieux va changer d’un moment à l’autre ; il sera différent selon que vous êtes en bonne santé ou malade.
  • En toute circonstance, faites simplement de votre mieux, et vous éviterez le jugement de soi, les abus et les regrets.

Il ne s’agit pas d’en faire de trop ni de n’en faire pas assez. D’un côté, vous vous videz de votre énergie… de l’autre, vous risquez la frustration. L’idée est de trouver l’équilibre, en faisant de votre mieux, tout simplement.

 

Les 4 accords toltèques sont l’une des leçons ancestrales du bonheur dans la vie de tous les jours comme au travail. Ils peuvent être mis en pratique par chacun d’entre nous, pour peu que nous en voyions l’intérêt. Ces notions sont abordées par nos consultants en séance de coaching. Pour en savoir plus sur nos prestations, contactez VAST RH.

What do you want to do ?

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Après plusieurs années d’études, vous avez travaillé dur pour arriver là où vous êtes aujourd’hui. Vous avez grimpé les échelons et, à votre manière, vous sentez que vous avez « réussi ».

Mais quelque chose n’est pas à sa place.

Vous sentez comme un caillou dans la chaussure… un mal-être qui vous prend lorsque vous allez au bureau et qui ne vous quitte plus jusqu’au moment de le quitter. Chez VAST RH, nos consultants rencontrent ce genre de situation régulièrement : un cadre exemplaire, un poste enviable, un salaire confortable… tout paraît rose à l’extérieur. A l’intérieur, ce ne sont que tumulte et désarroi. Plus les mois passent, plus la tristesse devient importante et plus la petite voix qui dit « ne reste pas comme ça, fais quelque chose ! » devient audible.

La peur de l’inconnu, de l’avenir, du grand saut qui pourrait se traduire en regrets… Est-ce une situation qui vous semble correspondre à ce que vous vivez actuellement ? Pour changer de job, le courage ne suffit pas !

Vivez par choix plutôt que par défaut

Prenez du recul. Quel genre de vie souhaitez-vous vraiment vivre ? Ressemble-t-elle à celle que vous vivez aujourd’hui ? Trouvez-vous plus de plaisir à partager votre passion avec les autres, à transmettre et à échanger que vous n’en avez au travail ?

Personne ne peut se contenter de médiocrité ou de vivre par défaut. Il appartient à chacun de prendre les décisions qui s’imposent pour vivre la vie que nous souhaitons vraiment. Pour y arriver, il faut d’abord commencer par le croire.

Donnez-vous la chance d’avoir (au moins) essayé

Il est préférable d’échouer plutôt que de regretter. Celui qui a échoué a le mérite d’avoir essayé et appris. Celui qui regrette, en revanche, ne peut que s’apitoyer sur ce qui aurait pu être, sans jamais pouvoir revenir en arrière. Le regret est une émotion négative forte qui se manifeste généralement trop tard… Que préférez-vous faire ? Essayer et vous donner toutes les chances… ou regretter de n’avoir rien fait ?

Au pire, que risquez-vous ?

Si vous quittez un poste qui ne vous ressemble plus, que peut-il arriver de pire ? C’est à cette éventualité qu’il faut vous exposer, afin d’estimer les conséquences de votre décision. Changer de job, c’est également assurer ses arrières, financièrement, mentalement et physiquement. Un changement de carrière n’est pas une décision à prendre à la légère ; prenez conseil avec un cabinet de conseil en ressources humaines qui mettra, à votre disposition, les outils et les compétences nécessaires pour vous accompagner dans votre parcours.

Faites confiance à votre instinct

Votre sentiment de malaise, de mal-être est-il persistant ? Cette petite voix qui vous dit que cela ne peut plus durer se fait-elle de plus en plus insistante ? Certains essaient d’occulter ces signes qui, pourtant, ne trompent pas et continuent à avancer, tant bien que mal, tête baissée. D’autres prennent le taureau par les cornes et se fient à leur instinct pour prendre la décision de changer de vie.

Qu’aimeriez-vous faire avec passion ?

Quelle activité vous animerait intérieurement ? Que pourriez-vous faire avec passion ? Même si cela n’a rien ou pas grand-chose à voir avec vos études et votre parcours professionnel, il est possible que vous puissiez vous épanouir dans un domaine complètement différent de celui dans lequel vous évoluez (contraint et forcé) actuellement.

Votre passion guide vos talents ainsi que vos dons uniques et naturels. Un bilan de compétences est souvent l’élément déclencheur qui permet de mettre ces derniers en avant.

Considérez le moment présent

Se préoccuper de l’avenir sans rien changer au présent ne rime à rien. Au contraire : cela vous retient dans votre élan. Ici et maintenant : ce sont les seuls paramètres que vous êtes capable de contrôler. Prenez les rênes du présent en main et concentre-vous pour aller dans la direction que vous souhaitez prendre.

 

Vivre sa vie par choix plutôt que par contrainte est une possibilité qui s’offre à tout un chacun. Dans tous les cas, vous n’êtes pas seul et pouvez vous entourer de personnes qui vous comprennent et vous soutiennent dans votre démarche. Et si nous parlions de votre présent pour mieux préparer votre avenir ? Contactez-nous dès maintenant !

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