Vous sentez-vous coincé(e) dans un emploi qui ne vous ressemble pas (ou plus) ? L’envie de changer de carrière vous tente mais vous ne savez pas par quel bout commencer ? Peut-être est-il temps de faire une pause et prendre du recul…

Si vous vous sentez à l’étroit dans votre job actuel et que le changement de carrière est une idée que vous repoussez chaque jour, sachez que vous devez d’abord apprendre à surmonter trois défis (ou paradoxes). VAST RH, cabinet de conseil en ressources humaines, vous explique.

1. Vous êtes votre propre plus grand obstacle

Au plus profond de votre désespoir à propos de votre travail actuel, tous les signaux vous indiquent que vous n’êtes pas au bon endroit. Vous ne parlez pas de votre travail avec les autres, vous ne vous voyez ni à la place de votre patron ni à celle de votre N+1 dans quelques années… Pire encore, vous êtes pétrifié(e) à l’idée d’arriver à l’âge de la retraite sans vous sentir fier(ère) du travail accompli au cours de votre vie.

Chaque jour, vous vous sentez un peu plus engourdi(e). Vous ne savez plus où puiser votre inspiration, votre motivation… et votre travail devient insignifiant. Contre votre propre gré, vous êtes le héros du film « Un jour sans fin »… et chaque jour ressemble à un autre.

Il se peut que vous soyez aveuglé(e) par votre vision du monde du travail. Une vision qui se limite au domaine d’activité dans lequel vous évoluez. Tous les autres postes et secteurs sont complètement en dehors de votre champ de vision. Vous avez également peur des conséquences : si vous quittez votre emploi, qu’en sera-t-il de votre salaire ? Que penseront vos amis ? Votre famille ? Etes-vous vraiment prêt(e) à perdre le statut pour lequel vous avez travaillé si dur ?

Les limites que vous observez dans le monde extérieur sont, en réalité, vos propres obstacles. Vos craintes et le manque de connaissances vous empêchent d’aller de l’avant.

2. Vous ne découvrirez pas votre nouvelle voie par hasard

Quel que soit votre travail actuel, vous êtes rémunéré pour accomplir des tâches spécifiques, pour jouer un rôle, interagir avec vos collègues et pour contribuer aux résultats d’une entreprise.

Comment savoir ce que vous pouvez faire d’autre ? Cette idée tourne en rond dans votre tête sans que vous puissiez y apporter de réponse. Vous parlez à certaines personnes (qui sont peut-être dans la même situation que vous), vous consultez Internet, vous lisez des livres… mais rien n’y fait. Vous n’avez toujours pas d’idée par rapport à ce que vous voulez faire. Pas de réponse claire.

La réalité est pourtant simple : si la solution à votre changement de carrière se trouvait dans une analyse plus approfondie ? En dressant plus de listes, en lisant plus de livres, en passant plus de tests psychométriques, vous trouverez certainement des réponses à vos questions.

3. Ce n’est pas en cherchant un travail que vous en trouverez un

Vous avez certainement passé des heures à parcourir des sites d’emploi, créé des dizaines d’alertes… et vous vous êtes rendu plus malheureux(se) encore en constatant que vous n’aviez pas nécessairement l’expérience ou les compétences requises…

Vous avez même envoyé votre CV à des entreprises dans des secteurs d’activité différents du vôtre… juste pour voir… Mais rien. Même pas un entretien…

Prenez un peu de recul : comment voulez-vous trouver un emploi et changer de carrière si vous ne savez pas dans quelle direction vous diriger ?

 

Chaque jour, VAST RH accompagne des hommes et des femmes qui, comme vous, souhaitent changer de carrière sans nécessairement avoir d’idées précises quant à leur avenir. Pour faire le point avec un consultant spécialisé, pour prendre du recul pour mieux avancer, contactez VAST RH dès aujourd’hui.

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Pour des raisons diverses et variées, certaines entreprises choisissent de recourir à un dispositif de reconversion interne plutôt que de recruter. Il s’agit donc, pour ces entreprises, de conduire les collaborateurs vers un nouveau métier. Pour les RH, l’enjeu principal est de sélectionner les profils, de déterminer l’engagement et la motivation des salariés et d’assurer la réussite du processus dans son ensemble. En quoi consiste la reconversion professionnelle interne ? Comment l’aborder ? Quel est le rôle des RH ?

 

En quoi consiste la reconversion professionnelle interne ?

Lorsqu’une entreprise a besoin de nouvelles compétences et qu’elle observe des excédents d’effectifs dans certains postes, il n’est pas rare qu’elle veuille se pencher sur ses propres ressources en leur proposant de se reconvertir dans un métier pour lequel il existe un réel besoin. En choisissant d’agir ainsi, l’entreprise montre qu’elle se préoccupe des salariés en vue d’optimiser leur engagement, leur performance et, d’une manière générale, la qualité de leur travail. La reconversion professionnelle interne, quelle qu’en soit l’origine, se présente souvent comme une solution gagnant-gagnant pour l’entreprise et pour le salarié.

Pour le collaborateur, la reconversion professionnelle interne présente de nombreux avantages. Elle touche d’abord à la progression de carrière de l’individu concerné. Comme bon nombre de personnes, il est probable qu’un salarié en poste depuis plusieurs années souhaite insuffler un nouvel élan à sa carrière et changer de cap sans nécessairement changer d’entreprise. A l’aise avec les process, la culture, l’organisation et les codes, il souhaite ardemment s’engager et progresser à travers de nouvelles missions. Changer de poste tout en restant dans la même entreprise a donc du sens. Dans la réalité, la reconversion professionnelle interne présente des obstacles dont il est important de prendre conscience. Le salarié sera-t-il à la hauteur des tâches à accomplir ? Aura-t-il les compétences pour apprendre un nouveau métier ? Saura-t-il s’intégrer ? Comment gérera-t-il son nouveau rythme de travail ? Acceptera-t-il ce nouveau poste ?

 

Le rôle des Ressources humaines dans la reconversion professionnelle interne

Aujourd’hui, l’accompagnement fait partie intégrante des préoccupations et des missions des Ressources humaines dans les entreprises de toutes tailles. Dès le jour où un collaborateur se voit proposer un contrat d’embauche, la responsabilité des RH est de le former et de le fidéliser, afin qu’il ou elle devienne le talent dont l’entreprise a besoin pour progresser. Tout naturellement, la gestion de carrière de cet individu, comme celle de chaque salarié, devient une priorité majeure, car elle assure l’engagement de ce dernier, sa performance et, par conséquent, la productivité de l’entreprise dans son intégralité.

Une reconversion professionnelle interne s’appuie sur la mise en place de dispositifs spécifiques qui visent à identifier les motivations et les envies d’évolution des collaborateurs, leur niveau de compétences par rapport à un poste donné, ainsi que leur accompagnement avant et après la mise en œuvre du dispositif. Selon le contexte qui justifie la reconversion professionnelle interne, la mise en place de ces éléments peut parfois être compliquée, surtout en situation d’urgence.

Il appartient donc aux Ressources humaines de comprendre les raisons qui motivent un collaborateur à demander une reconversion professionnelle interne. En impliquant les supérieurs hiérarchiques et en évaluant le potentiel du collaborateur concerné en toute objectivité, les RH sont en mesure d’accompagner ce dernier dans ses nouveaux choix professionnels et de créer la motivation dont il a besoin pour continuer à offrir le meilleur de lui-même.

En répondant aux besoins de mobilité interne de leurs collaborateurs, les RH se dotent d’un puissant outil de fidélisation, au service de la productivité et de l’image de l’entreprise. Dès le premier jour, à travers la formation et l’accompagnement, les RH et le salarié forment un partenariat qui se traduit en engagement et en performance sur la durée. Si un collaborateur devient, pour une raison ou une autre, moins performant dans son travail, la responsabilité des RH est de mettre en œuvre les moyens nécessaires pour le fidéliser et relancer sa carrière. La reconversion professionnelle interne fait partie des outils à leur portée. Pour que le dispositif mis en œuvre aboutisse à un résultat satisfaisant, il est important que, dans l’entreprise, chacun soit informé de l’existence du processus de reconversion afin qu’il s’engage pleinement dans la démarche proposée par l’employeur.

 

Un changement de métier touche forcément à l’identité de l’individu. Le dispositif mis en place doit donc favoriser le changement tout en ayant du sens pour la personne comme pour l’entreprise. L’accompagnement, pour qu’un processus aboutisse à la réussite, doit se faire avant, pendant et après la mise en œuvre du dispositif de reconversion professionnelle interne.

VAST RH accompagne les entreprises dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet de reconversion professionnelle interne. Contactez-nous pour en discuter.

Les vacances sont sacrées. Nous utilisons nos congés avec parcimonie, nous les attendons avec grande hâte et les savourons au maximum lorsqu’ils s’offrent enfin à nous. Il est tout à fait normal de ressentir un peu de nostalgie lorsque les vacances prennent fin et qu’il faut retourner au travail. Parfois, cependant, une petite tristesse peut prendre la forme d’une angoisse qui perdure, au point de se demander si ce ressenti n’est pas lié à un besoin de changement : rester ou quitter votre poste ?

Pour valider vos impressions, il convient de se poser les bonnes questions. S’agit-il d’une simple question de transition ou d’une véritable nécessité de changer de carrière ? VAST RH vous aide à faire le point à travers 8 questions essentielles.

 

1. Combien de temps votre pause a-t-elle duré ?

En matière d’arrêt de travail, même lorsqu’il s’agit de congés, plus la durée est longue, plus il est normal de se sentir contrarié à l’idée d’y retourner. Quelle que soit la raison qui nous impose de ne pas travailler pendant plusieurs jours, plusieurs semaines, voire plusieurs mois, la routine s’inscrit rapidement comme quelque chose de normal et acceptable. Par conséquent, le fait de se sentir nerveux et malheureux quant à l’idée de retourner au travail après une interruption de deux semaines n’est pas nécessairement inquiétant. Ce n’est que le reflet de la nature humaine.

En revanche, lorsque des interruptions d’une semaine ou moins prennent fin, une angoisse répétée peut indiquer un réel besoin. Il peut s’agir d’un besoin de congés supplémentaires tout comme un signe précurseur d’épuisement professionnel.

 

2. À quelle fréquence êtes-vous angoissé(e) par rapport à l’idée de retourner au travail ?

Si des sentiments de crainte se manifestent une ou deux fois par an – notamment après les vacances d’été et les longues vacances d’hiver, par exemple – il n’y a rien d’alarmant. Chaque être humain a besoin de prendre une pause et il est tout à fait normal de se sentir déstabilisé lorsqu’elle se termine.

En revanche, si vous êtes submergé(e) par l’angoisse à la fin de chaque weekend, cela est plus inquiétant. Un arrêt, même court, doit être ressenti comme un changement de rythme rafraîchissant, et non comme une échappatoire.

 

3. Combien de temps vous faut-il pour ne plus penser au travail pendant les vacances ?

Même si cela peut paraître contre-intuitif, l’un des signes révélateurs du stress au travail est le temps qu’il faut pour décompresser, lorsqu’arrivent les congés.

La plupart des individus ont besoin d’un jour ou deux pour se détendre lorsqu’ils ne travaillent plus. En revanche, si vous passez la majorité de votre temps de pause à ressasser mentalement et/ou en parlant à d’autres personnes de vos préoccupations professionnelles, si vous ne parvenez pas à ne plus consulter vos mails et que le travail reste omniprésent dans vos pensées, il est peut-être temps d’y prêter attention.

 

4. À quel moment commencez-vous à vous sentir malheureux ?

En temps normal, il est parfaitement légitime de se sentir un peu nostalgique le dernier jour, voire les deux derniers jours des vacances. Si le retour est anticipé plusieurs jours, voire plusieurs semaines, avant le retour au travail, en revanche, les choses sont plus compliquées.

Certaines personnes, alors qu’elles sont en phase d’épuisement professionnel, montrent des signes d’anxiété à la fin du weekend. Elles sont nerveuses, parfois en colère… D’autres passent la majeure partie de leur weekend à ressasser leur semaine de travail, oubliant de profiter du temps libre dont elles bénéficient. Cette situation n’est absolument pas normale, ni pour l’intéressé ni pour ses proches.

 

5. Quelle est la raison de votre angoisse ?

Être angoissé par rapport à son travail peut relever de deux raisons différentes : soit il manque quelque chose de positif dans le travail, auquel cas ce dernier n’est pas suffisant, pas assez stimulant ou utile. Soit un ou plusieurs éléments négatifs prennent trop d’importance dans le travail, conduisant la personne à ne pas vouloir y retourner. Un phénomène bouleversant, un collègue toxique, un conflit, une pression, des problèmes d’ordre éthique… les raisons possibles sont nombreuses.

Dans le premier scénario, il est tout à fait possible d’exercer un métier dans le cadre de votre fonction actuelle, pour mieux l’adapter. Dans le second cas, un changement de travail peut être la seule façon d’envisager l’avenir, même en restant dans le même secteur d’activité qui lui, peut tout à fait être une source de satisfaction.

 

6. Dans quelle mesure le travail est-il moins important que vos congés ?

Parfois, nous redoutons le retour au travail simplement parce que, relativement parlant, il est beaucoup moins intéressant que notre vie personnelle. Pour bon nombre de personnes, le temps passé en famille n’a pas de prix et le travail arrive loin derrière, en termes de priorités.

La différence de sens entre vie personnelle et vie professionnelle ne doit donc pas faire l’objet d’inquiétude. En réalité, c’est un signe de bonne santé, puisque le travail n’est pas une finalité en soi.

Cependant, si l’écart est notoire ou si votre travail est dénué de sens, peut-être est-il temps d’envisager de modifier votre situation actuelle…

 

7. Combien de temps vous faut-il pour vous adapter au travail ?

Une fois que vous êtes de retour en poste, notez-vous mentalement le temps qu’il vous faut pour vous éloigner des sentiments négatifs. L’adaptation peut prendre un certain temps après un événement marquant comme un décès, un mariage, une naissance. Après une période de congés, si le temps d’adaptation est long, si l’adaptation perdure, si vous sentez plus d’émotions négatives que positives pendant une grande partie de la semaine, il est temps de faire le point.

 

 

Les signes liés à l’angoisse du retour au travail après les vacances ne sont pas nécessairement tous alarmants. C’est la combinaison des signes et leur durée qui doit éveiller des soupçons. Parfois, il suffit de prendre un peu de recul et de faire le point pour se remettre en question et prendre un nouveau départ. VAST RH, cabinet de conseil en ressources humaines, vous accompagne dans votre carrière professionnelle. Et si nous prenions le temps de parler de vous ?

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Il y a ceux qui l’attendent impatiemment… et il y a les autres. Comment vivez-vous votre fin de carrière ? Comment abordez-vous cette période particulière de la vie qui annonce le passage à la retraite et un véritable basculement dans une vie jusque-là bien remplie ? Dans cet article, VAST RH vous invite à vous pencher sur la gestion de fin de carrière en toute objectivité.

Pourquoi la fin de carrière est-elle une période particulière ?

Ce n’est pas nouveau : à partir de 50 ans (45 ans dans certains cas), les hommes et les femmes sont considérés comme des « seniors » dans le monde professionnel. Tantôt laissés pour compte, tantôt gérés comme il se doit, ils se voient bousculés au cours d’une période qui n’est pas toujours de tout repos.

Selon les chiffres de l’Insee, près de 8 millions de départs de fin de carrière ont été enregistrés entre 2010 et 2020. Il s’agit de personnes qui ont définitivement arrêté de travailler, soit parce qu’ils sont partis à la retraite, soit parce qu’ils ont dû faire face au chômage sans devoir rechercher un emploi, pour raisons de santé.

Dans tous les cas, l’avancée vers le moment fatidique, la fin d’une carrière, n’apparaît pas de la même manière dans tous les esprits. A ce titre, elle peut être plus ou moins bien vécue.

L’âge de la retraite approche : à quoi faut-il penser ?

Alors que vous approchez de la fin de votre carrière, il est important de commencer à penser à ce qui va suivre. Quels sont vos projets pour la retraite ? Voulez-vous continuer à travailler d’une manière ou d’une autre, ou envisagez-vous de faire une transition vers une nouvelle carrière ?

Quels que soient vos projets, il est important de prendre quelques mesures clés pour vous préparer. En toute lucidité, gardez l’essentiel à l’esprit :

  • La retraite peut coûter cher : plus vous commencerez à épargner tôt, mieux ce sera
  • Assurez-vous d’avoir une bonne compréhension de vos avantages et de vos droits. Cela inclut des éléments comme la sécurité sociale, par exemple.
  • Restez impliqué(e) dans votre secteur s’activité et surtout, restez en contact avec votre réseau professionnel. Même si vous ne cherchez pas activement un emploi, il est important de se tenir au courant des tendances et des développements.

Se faire accompagner pour une meilleure gestion de fin de carrière ?

À l’approche de la fin de votre carrière, il est important de commencer à réfléchir à la manière dont vous souhaitez gérer la transition. Il peut être difficile de savoir par où commencer, mais il y a quelques éléments clés à garder à l’esprit.

Tout d’abord, il est important de rester positif et de garder l’esprit ouvert. Facile à dire ? La fin de votre carrière ne doit pas nécessairement signifier la fin de votre vie professionnelle ! Il peut tout à fait y avoir des possibilités de travail à temps partiel ou en qualité de microentrepreneur qui vous permettront de rester engagé et actif(ve).

Ensuite, il est important d’obtenir le soutien de votre famille et de vos amis. Ils peuvent être une grande source de soutien émotionnel pendant cette période de changement.

Enfin, il est important de demander l’aide d’un professionnel si vous vous sentez perdu(e) ou incertain(e) de ce que vous devez faire ensuite. Avez-vous pensé à un conseiller professionnel qui pourra vous aider à explorer vos options et à établir un plan pour la prochaine étape de votre vie ? Avec un peu de planification et de soutien, la fin de votre carrière peut être … le départ vers une nouvelle vie !

Hélène M. a 39 ans. Elle se prépare à faire un bilan de compétences, sur les conseils de la DRH de la société de conseil dans laquelle elle travaille depuis 8 ans. « C’est la première fois que je vais faire un bilan de compétences, mais je ne sais vraiment pas à quoi m’attendre. Est-ce qu’il faut que je prépare quelque chose ? »

Au titre du Code du travail (C. trav., art. R. 6322-35), le bilan de compétences se déroule en
trois phases :

  • Une phase préliminaire
  • Une phase d’investigation
  • Une phase de conclusion

Le déroulement du bilan de compétences fait partie des conditions indispensables qui permettent au bénéficiaire de mobiliser ses droits CPF.

La phase préliminaire du bilan de compétences a pour objectif :

  • D’analyser la demande et le besoin du bénéficiaire
  • De déterminer le format le plus adapté à la situation et au besoin
  • De définir conjointement les modalités de déroulement du bilan

La phase d’investigation permet au bénéficiaire de :

  • Construire son projet professionnel et en vérifier la pertinence
    ou
  • Elaborer une ou plusieurs alternatives

La phase de conclusion du bilan de compétences

Elle prend place sous forme d’entretiens personnalisés. Elle permet au bénéficiaire de :

  • S’approprier les résultats détaillés de la phase d’investigation
  • Recenser les conditions et les moyens favorisant la réalisation du ou des projets professionnels
  • Prévoir les principales modalités et les étapes du ou des projets professionnels, dont la possibilité de bénéficier d’un entretien de suivi avec le prestataire de bilan.

A l’issue de la troisième phase, les résultats détaillés sont présentés au bénéficiaire, ainsi qu’un document de synthèse. Ces informations deviennent la propriété du bénéficiaire et ne peuvent être communiquées à un tiers qu’avec son accord.

 

Le conseil de Martine Travaille, Consultante VAST RH

 » Hélène, un bilan de compétences est toujours réalisé avec un prestataire agréé. Les méthodes varient d’un organisme à l’autre, mais elles sont toujours encadrées. Il est tout à fait possible de vous préparer en amont, plusieurs jours ou plusieurs semaines avant le démarrage prévu, sachant que la phase préliminaire sera l’occasion de balayer tous les éléments de votre profil personnel et professionnel, le plus largement
possible. Il vous faudra être active tout au long du processus. »

Cette étude de cas est extraite de notre livre blanc intitulé « Comment optimiser son Bilan de Compétences pour évoluer professionnellement ?« . Pour obtenir une copie de ce livre blanc, contactez-nous en cliquant ici.

Quel lien y a-t-il entre le profil personnel d’un individu et son projet professionnel ? À quels défis font face les bénéficiaires d’un bilan de compétences dans le contexte actuel ? Quel est le rôle du consultant ? Sommes-nous tous égaux devant la perte de sens au travail ?

En plus de 20 ans d’expérience dans l’évolution professionnelle, Martine Travaillé a observé des changements profonds dans la manière dont les outils RH résonnent et raisonnent en nous. Décryptage d’une discussion passionnante avec une experte en RH passionnée !

 

Tenir compte du profil personnel dans le projet professionnel

Quelques années en arrière, le bilan de compétences impliquait la concentration du conseiller et du bénéficiaire sur le seul environnement et projet professionnels. Aujourd’hui, notre experte en psychologie et bilan de compétences se donne plus de latitude, partant du principe que tout projet professionnel est nécessairement lié à un contexte personnel.

« On ne peut pas ne pas tenir compte des problématiques personnelles » affirme Martine. Par exemple, une personne qui, a une confiance en soi amoindrie sera d’autant plus affaiblie en cas de harcèlement au travail.

En outre, « un projet professionnel est toujours lié à un projet d’entreprise » indique Martine Travaillé. « Si les deux ne sont pas équilibrés, il y a dissonance ». Dans ses propos, notre coach met en avant l’importance, pour l’entreprise en quête de réussite et de profitabilité saine, de tenir compte de la diversité et de la richesse des profils.

 

Les salariés sont devant des projets d’entreprise qui ne leur correspondent plus

Au gré de l’évolution technologique et de la course à la productivité, dans un contexte de crise sanitaire difficile pour beaucoup, les individus font face à des projets d’entreprise qui ne correspondent plus à leur personne. « On en demande de plus en plus aux salariés » indique Martine Travaillé. Dans son bureau, elle accueille des bénéficiaires qui ne sont pas (ou plus) en accord avec les exigences de l’entreprise.

Pour Martine, le projet de l’entreprise doit prendre en compte le projet individuel. Or, l’organisation peut aller à contresens du confort humain. Les faits et chiffres sont formels : le nombre de personnes qui ne se sentent plus bien au travail est en augmentation. Au-delà de ce qui ne fait plus lien avec l’entreprise, il s’agit aussi de trouver la source des problématiques plus personnelles, en dehors de la sphère professionnelle.

« Nous sommes tous mus par des schémas neuronaux », explique Martine. Mon travail est d’accompagner la personne dans le repérage des schémas dysfonctionnels pour les rendre fonctionnels dans un contexte plus actuel ». Martine se sert d’outils empruntés à la Thérapie des schémas.

 

Se poser, identifier l’origine de son mal-être, comprendre et changer de schémas

La mise à jour des schémas neuronaux – ceux à l’origine du ou des comportements à modifier parce qu’inadaptés – est une tâche quelquefois ardue. Elle nécessite de se poser, de prendre du recul. Un exercice difficile lorsque l’émotion est encore bien présente. Se poser est nécessaire pour détricoter le mécanisme à l’origine du mal-être. Détricoter pour retricoter un chemin neuronal plus approprié.

Un accompagnement individuel s’étend sur dix séances d’une heure. Une durée souvent suffisante pour s’approprier des outils. L’entretien initial commence souvent par : « Je suis noyé(e) ». La personne sent une forme d’emprise et il s’agit, pour le consultant, de décortiquer le mouvement de la pensée, d’identifier quelle pensée automatique induit un comportement qui génère de la souffrance.

Le rôle de Martine est de transformer la pensée automatique en pensée adaptée. L’objectif est de supprimer la charge émotionnelle associée à la pensée : un exercice délicat, puisque la pensée automatique vient tout droit de l’inconscient. De séance en séance, le travail permet à la personne de se rendre compte qu’elle peut agir sur ses pensées automatiques. « C’est un peu comme lorsque l’on apprend à jouer de la guitare » explique Martine, « au début, le mouvement des doigts qui se baladent sur le manche n’est pas naturel. Il faut penser le mouvement, l’anticiper, préparer la note suivante. Après, tout devient automatique. »

 

Inégalités par rapport à la situation actuelle et à la perte de sens

Nos différences nous amènent à penser, agir et réagir au monde selon des mécanismes qui nous sont propres.

Nous ne vivons pas la crise sanitaire actuelle de la même manière. Elle peut être, pour certains d’entre nous, une invitation au changement ; une opportunité à rebondir. Elle s’avère être pour les autres un véritable obstacle et une source de fragilisation.

Face à ce double sens du sens donné aux événements, l’accompagnement consiste à comprendre et se comprendre pour pouvoir se projeter au mieux de qui nous sommes.

 

Titulaire de plusieurs masters et d’un parcours en psychanalyse et psychologie, Martine Travaillé a aussi parcouru le monde et fait l’expérience de la réussite, du doute et de la remise en question.

Aujourd’hui, elle œuvre avec passion pour répandre plus largement en France la Thérapie dite des Schémas Précoces, approche plus largement développée aux Etats-Unis par J. Young, son fondateur.

Inspirée par des maîtres à penser comme Irvin Yalom, elle œuvre en créant des liens et en puisant de son vécu des exemples qu’elle n’hésite pas à partager, faisant ainsi de ses accompagnements une alliance qui lui est propre. Elle dit, avec beaucoup d’humilité, qu’une alliance thérapeutique est une œuvre d’art tant ce partage peut être sublimant.

Y a-t-il un âge pour changer de métier ? La question semble banale… et elle est très fréquente. En réalité, cette question ne trouve pas de réponse précise, tout simplement parce qu’il n’y a pas d’âge pour changer de métier. Tout comme il n’est jamais trop tôt ni trop tard pour changer de job. Et si nous passions les différentes périodes d’une vie professionnelle au crible pour y voir d’un peu plus près et tenter de répondre à la question : à quel âge est-il intéressant de changer de métier ?

 

Changer de métier avant 30 ans

Certaines personnes pensent se diriger vers le métier qui semble fait pour elles. Le collège, le lycée, les études supérieures, le diplôme… les événements se suivent et s’enchaînent le plus naturellement du monde… pour qu’en fin de compte, on réalise que l’on n’est pas fait pour telle ou telle profession. Des avocats en devenir qui se reconvertissent dans le commerce ? Des orthophonistes qui décident de devenir infirmières ? Des futurs comptables qui choisissent d’ouvrir une boutique de fleuriste ? Ce sont des choses qui arrivent tous les jours. L’essentiel est de comprendre ses aspirations et ses envies, et de se donner la possibilité d’atteindre ses rêves, même si la voie initiale n’est pas la bonne.

 

Changer de métier entre 30 et 40 ans

La trentaine est la période de tous les possibles. Fraîchement sorti.e de l’école ou avec quelques années d’expérience, il s’agit de faire le point sur ses propres compétences pour être certain.e d’avoir choisi la bonne voie. Les qualités et les diplômes sont autant d’attributs qui séduisent les employeurs, certes, mais plus encore, l’envie de suivre une carrière dans une voie bien précise. Est-ce votre cas ?

 

Changer de métier entre 40 et 50 ans

Certains considèrent la quarantaine comme une période charnière pour changer de métier. Entre le junior et le senior, le quadra souhaite mettre ses compétences et connaissances à profit pour briller et continuer d’évoluer. Fort.e de vos expériences précédentes, c’est le moment d’aller de l’avant. Dans votre voie ? Dans un métier différent ? Si le doute et l’incertitude subsistent, profitez-en pour faire un bilan de compétences !

 

Changer de métier après 50 ans

Certains croient encore que, après 50 ans, il est trop tard pour changer de métier. D’autres vont jusqu’à le déconseiller ! Il est légitime de se demander pourquoi, puisqu’à 50 ans, même si l’on n’a pas la même vigueur qu’à 20 ou 30 ans, l’expérience et le vécu forment un bagage très intéressant pour savoir ce que l’on veut faire de son avenir professionnel !

Séduire un employeur après 50 ans, c’est tout à fait possible. Quelles qualités, quelles expériences et quelles compétences mettrez-vous en avant pour vous faire remarquer ? Contactez VAST RH pour en discuter avec un consultant.

 

Changer de métier, c’est possible à tout âge ! Comme à tout âge, il est parfois difficile de faire le point et de se projeter dans un avenir qui nous ressemble. VAST RH accompagne ses bénéficiaires à trouver leur voie et à gagner la confiance en eux dont ils ont besoin pour rebondir. Et si, vous aussi, vous preniez votre vie en mains ? Contactez VAST RH pour rencontrer un consultant lors d’un premier entretien offert et sans engagement.

En quoi le reclassement professionnel constitue-t-il une stratégie gagnante à la fois pour l’entreprise et pour le salarié ? Pourquoi toutes les entreprises, même les PME, ont-elles intérêt à recourir à l’outplacement ? En cas de rupture conventionnelle du contrat de travail, d’un licenciement individuel ou collectif ou encore d’un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), certaines entreprises ont recours à l’outplacement.

Comprendre l’outplacement

Le reclassement professionnel ne s’improvise pas. Il est piloté par des professionnels en gestion de carrière, chargés d’accompagner les étapes de séparation entre l’entreprise et son salarié. Il s’agit de donner, à ce dernier, de nouvelles perspectives professionnelles et de l’aider à franchir le cap le plus sereinement possible.

Contrairement aux idées reçues, l’outplacement n’est pas réservé aux grands groupes amenés à se séparer de leurs cadres. Il est également intéressant pour les entreprises de taille plus modeste, à bien des égards.

Recourir à l’outplacement, c’est se doter d’un professionnel possédant une solide expérience et une connaissance irréprochable des processus de recrutement, du marché de l’emploi et des éléments qui entourent le retour à l’emploi. Du CV au networking via le profil LinkedIn et le personal branding, le consultant touche à toutes les facettes de la vie professionnelle de la personne qu’il accompagne, dans un but bien précis : le retour rapide à l’emploi.

Quel intérêt pour les entreprises de proposer l’outplacement ?

Faire face à un licenciement n’est jamais facile. Ni pour l’entreprise ni pour le salarié concerné. Retrouver du travail, lorsque l’on est cadre dirigeant, est loin d’être évident, malgré l’expérience et la motivation. Par ailleurs, une personne en poste depuis plusieurs années s’est très probablement éloignée des démarches liées à la recherche d’emploi ; il est même possible qu’elle ne soit plus en phase avec les exigences actuelles des recruteurs…

Généralement proposé par l’employeur, l’outplacement présente des avantages :

  • Il permet à l’entreprise de montrer que, même si elle se sépare d’un membre (ou plusieurs), elle le respecte. Le rôle joué par le consultant est en effet essentiel, dans la mesure où la première étape consiste à clarifier les attentes du collaborateur. Ce dernier se sent écouté et soutenu.
  • Il atténue le choc émotionnel lié au licenciement et à ce que cela implique. Ceci est important dans la mesure où la décision de rompre provoque souvent un séisme pouvant avoir des répercussions sur l’état émotionnel du collaborateur, comme sur le plan personnel, l’ambiance familiale étant nécessairement affectée.
  • Il contribue à éviter les bagarres juridiques, la première phase de la situation délicate ayant été désamorcée.
  • Il aide, selon les cas, à éviter de ternir l’image de l’entreprise, en interne comme en externe, qui conserve sa réputation et son attractivité en tant qu’employeur

Le cabinet VAST RH possède une solide expérience en matière d’outplacement. Selon la situation, nous adaptons notre démarche pour aboutir au résultat escompté.

  • Si le collaborateur est incertain quant à son choix professionnel, nous lui proposons :
    • Soit un bilan de compétences puis une formation technique de recherche d’emploi et un accompagnement à la prise de poste. Des séances de coaching complètent cette prestation.
    •  Soit un Bilan de Compétences puis un accompagnement à l’entrepreneuriat, le tout également complété par des séances de coaching
  • Si le collaborateur est sûr de son choix professionnel, nous lui proposons une formation technique de recherche d’emploi et un accompagnement à la prise de poste. Le tout est complété à tout moment par des séances de coaching.

Choisir l’outplacement pour un ou plusieurs salariés dont il faut se séparer, c’est miser sur un prestataire sérieux, expérimenté et professionnel. VAST RH, à travers ses valeurs et coachs chevronnés, vous accompagne dans ce choix, pour un résultat à la hauteur de vos exigences. Contactez-nous pour parler de votre projet.

« J’aimerais bien faire un bilan de compétences, mais je n’ose pas le demander à mon supérieur hiérarchique ». Cette crainte revient en boucle dans les bureaux et les couloirs des entreprises. Pourquoi le bilan de compétences n’est-il pas évoqué au grand jour ? Pourquoi s’inquiéter de la réaction de son responsable ? Il est temps de faire le point pour enfin oser demander un bilan de compétences à son responsable.

 

Quelle est votre idée du bilan de compétences  ?

La manière dont vous envisagez le bilan de compétences influera systématiquement sur la manière dont vous en ferez la demande. La question à se poser est la suivante : quelle est votre motivation principale ? Souhaitez-vous évoluer à l’intérieur ou à l’extérieur de votre entreprise actuelle ? Souhaitez-vous valoriser certains savoir-faire, connaissances et compétences pour évoluer professionnellement ?

Il faut se souvenir que le bilan de compétences doit permettre au salarié d’analyser ses qualités professionnelles et personnelles en vue de bâtir un projet réaliste et personnalisable. En faire la demande est un bon signe, puisqu’il indique que l’on est prêt à progresser. Par ailleurs, la remise en question est une chose que le management valorise, préférant être entourés d’individus qui cherchent à identifier leurs forces et points à améliorer que de personnes qui n’avancent pas !

 

Renseignez-vous bien avant de demander un bilan de compétences

Avant de faire une demande pour un bilan, il est important de se poser la question de savoir si cet outil correspond à ce dont vous avez réellement besoin. En effet, la démarche implique une analyse du passé, du présent et une projection dans l’avenir. Il s’agit d’identifier des actions à mettre en œuvre. L’ensemble de ces éléments devra être intégré dans votre argumentation, lorsque vous évoquerez la possibilité de faire un bilan de compétences avec votre supérieur hiérarchique.

En outre, il faudra également étudier, en amont :

  • Le financement de votre bilan de compétences : utilisation du CPF ? Financement par votre entreprise ?
  • Effectuerez-vous votre bilan pendant vos heures de travail ou en dehors ? Dans ce dernier cas, vous n’êtes pas tenu.e d’informer votre employeur de votre démarche.

Il faudra, bien évidemment, prendre en compte la sensibilité de votre entreprise par rapport au développement des salariés. N’hésitez pas à échanger avec vos collègues : peut-être y a-t-il des personnes qui ont déjà vécu une situation similaire.

 

Votre supérieur hiérarchique peut vous guider dans votre démarche

Selon le type de relation que vous entretenez avec votre supérieur hiérarchique, il est tout à fait possible de lui demander conseil. Demander son avis par rapport à votre projet est un témoignage de la confiance que vous lui accordez. Il ou elle appréciera très certainement votre transparence et votre franchise.

Dans les entreprises qui ont un département RH, il est intéressant de se rapprocher d’un membre de ce service pour obtenir des informations utiles. Les responsables des ressources humaines sont généralement très bien placés pour conseiller les salariés quant à la pertinence du bilan de compétences, comme tout autre outil ou solution d’évolution professionnelle. A ce titre, rapprochez-vous des RH pour obtenir leur soutien, avant de demander un bilan de compétences à votre responsable.

 

Vous vous posez des questions et n’osez pas demander un bilan de compétences à votre chef ? Pourquoi ne pas en parler avec nous d’abord ? Contactez l’agence VAST RH la plus proche.

Chaque année, bon nombre d’hommes et de femmes décident de « changer de vie ». Ils quittent leur travail, pour entamer une nouvelle carrière, se reconvertir professionnellement et redonner un sens à leur existence.

Si 9 actifs sur 10 souhaiteraient se reconvertir, beaucoup hésitent encore à franchir le cap. Pourquoi attendre que l’ennui au travail devienne insupportable, que les problèmes de santé s’accumulent ou qu’une procédure administrative nous force à rebondir ? Oser changer de vie pour être enfin heureux, c’est possible !

Changer de vie : (presque) tous concernés !

Les études montrent que les Français se demandent souvent si le moment est venu de donner un nouvel élan à leur carrière. Toutes, sans exception, traduisent l’envie de changement d’une majorité d’hommes et de femmes. Une envie qui loge tout le monde à la même enseigne : actifs en poste, demandeurs d’emploi, personnes travaillant à leur compte, dirigeants d’entreprises, salariés du privé ou du public…

Les chiffres de l’étude menée par la plateforme nouvelleviepro.fr en mars 2019 sont éloquents :

  • 93 % des actifs interrogés ont déjà songé à une reconversion professionnelle
  • Plus d’une personne sur 2 n’a jamais osé franchir le cap

Quelles sont les raisons qui motivent les répondants à vouloir se reconvertir professionnellement ? L’ennui, le manque de sens, la pression, les problèmes de santé (burn-out), les incidents professionnels (licenciement, restructuration…) et les contraintes familiales arrivent en tête du palmarès.

Devenir plus heureux : qu’est-ce que ça veut dire ?

Certaines raisons expliquent la volonté de changement des hommes et des femmes qui envisagent la reconversion professionnelle.  Cependant il est également intéressant de se pencher sur la manière dont ils voient leur avenir. A cela, les intéressés (toujours sur la base de la même étude) parlent de se sentir plus utiles et de donner un sens à leurs actions (64 %). Ils souhaitent également gagner en liberté en créant un meilleur équilibre entre vie privée et vie professionnelle (53 %). L’idée de gagner plus d’argent est évoquée par 3 personnes sur 10, tandis que la possibilité de se tourner vers un secteur d’avenir ou de vivre de sa passion n’intéresse que 19 % des répondants.

Cette étude démontre que l’idée de vouloir changer pour être plus heureux dépend de plusieurs facteurs et que nous n’avons pas tous la même définition du bonheur, lorsqu’il s’agit de tourner la page. En revanche, la plupart des gens s’accordent à dire que, s’ils envisagent une reconversion, ils souhaitent le faire rapidement.

Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ?

“Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ?” Cette mélodie vous dit-elle quelque chose ?,. Changer de vie pour enfin être heureux, c’est une chose… mais qu’est-ce qui nous freine ? La réalité est que la plupart d’entre nous, même si nous songeons à changer, devenons les rois et les reines de la procrastination…

Oser changer sans avoir connu d’événement déclencheur marquant, est une grande aventure. Une aventure exaltante à travers un parcours marqué de tournants, dont le départ nécessite bien souvent un peu d’aide. Tout simplement, le fait de ne pas savoir par où commencer, explique les raisons pour lesquelles beaucoup (trop ?) d’hommes et de femmes ne passent pas à l’action. Pour eux, la reconversion reste un rêve lointain.

Saviez-vous qu’un simple bilan de compétences ou une formation peut être un formidable déclencheur de changement, capable de vous donner la confiance dont vous avez besoin pour tourner la page ? Donnez-vous la chance de tourner la page et osez être heureux. Contactez VAST RH et ensemble, construisons la prochaine phase de votre vie.

Dès le collège, l’orientation scolaire est abordée avec les enfants et, dans certains cas, les parents. Au fur et à mesure, il faut faire des choix, s’informer, évaluer les pour et les contre, prendre des décisions… l’orientation scolaire n’est pas de tout repos ! Il est néanmoins possible de l’aborder sereinement, en se faisant accompagner et conseiller. VAST RH vous informe.

L’orientation scolaire se pose dès la classe de cinquième

La réforme du collège de 2016 a conduit les collégiens à faire des choix dès la classe de cinquième. Ces choix portent sur leur parcours de scolarité. Par exemple, ils doivent décider d’une seconde langue. Si, pour certains élèves, le choix est une évidence, il est bien plus difficile pour d’autres.

En classe de quatrième, l’équipe pédagogique propose d’orienter certains élèves vers la voie professionnelle. Les autres, quant à eux, sont invités à continuer vers la troisième générale.

En classe de troisième, c’est-à-dire en dernière année de collège, l’orientation scolaire fait l’objet de nombreuses discussions entre les enfants, les parents et les professeurs. Voie générale, voie technologique ou voie professionnelle ? Les choix sont faits en fonction des résultats scolaires et l’orientation de l’enfant fait l’objet d’une décision finale du conseil de classe.

De la cinquième à la troisième, il est judicieux de faire appel à un consultant spécialisé en orientation scolaire. Ce dernier, expérimenté, informé et à l’écoute, sera déterminé le parcours le plus adapté à l’enfant. Bien évidemment, les besoins, les envies et l’avis de ce dernier sont pris en compte. Il est important, pour que l’enfant reste motivé, qu’il fasse partie intégrante des choix d’orientation.

S’orienter au lycée

Au lycée, les changements sont nombreux. Plus l’enfant avance dans son parcours scolaire, plus il va devoir affiner ses choix d’orientation. En seconde générale, depuis la réforme du baccalauréat, les élèves sélectionnent des enseignements de spécialité. Alors que, auparavant, un élève pouvait être littéraire ou scientifique, les possibilités sont aujourd’hui bien plus larges, ce qui complexifie encore davantage les choses.

Faire le bon choix au lycée, sélectionner les matières qui feront l’objet d’enseignements de spécialité en première et en terminale : ceci est important pour la suite, c’est-à-dire la période post bac. C’est également le moment de permettre au jeune de comprendre ses besoins et ses envies et surtout, de les exprimer.

Un coach en orientation scolaire proposera des tests de personnalité et analysera le profil de l’élève afin de l’aider au mieux à s’orienter. Il n’est pas rare de voir des jeunes, lorsqu’ils sont informés et accompagnés par leur coach, se sentir libérés et voir jaillir en eux, une véritable vocation.

Le choix du métier en classe de terminale

La Terminale, c’est-à-dire la dernière année avant le bac, prépare les enfants à devenir de jeunes adultes. Les épreuves du baccalauréat, les étapes sur Parcoursup, les inscriptions dans les établissements d’études supérieures… pour bon nombre de parents, c’est un véritable casse-tête.

En Terminale, l’aide d’un professionnel de l’orientation scolaire est souvent d’une très grande utilité. Elle soulage les parents, diminue les tensions et surtout, conforte le jeune dans ses choix.

Après le bac, l’orientation scolaire peut encore être envisagée. En effet, lorsqu’il s’agit de réorientation ou de poursuite d’études, les jeunes apprécient d’être accompagnés et guidés. Par exemple, le nombre d’échecs et d’abandons à l’issue de la première année de licence, conduit beaucoup de jeunes à se sentir perdus. Un professionnel de l’orientation scolaire les aidera à aborder cette étape avec sérénité et réalisme. Le coach leur redonnera confiance en eux et les aidera à ouvrir le champ des possibles.

Pour parler de l’orientation scolaire de votre enfant, contactez VAST RH !

Si le bilan de compétences est connu comme étant un outil capable de faire progresser un individu, il se présente également comme une étape de transition dans une vie entière. Une étape qui, sur plusieurs semaines, fait jaillir des idées, des émotions, voire parfois des larmes.

Le bilan de compétences peut secouer et déranger. Au cœur même de l’action, le consultant RH qui s’inscrit comme un facilitateur, un accompagnateur. Si l’on parle beaucoup de belles histoires et de résultats obtenus à l’issue d’un bilan de compétences, on en dit moins sur celles et ceux qui entrent dans la vie des bénéficiaires, juste avant que ces derniers tournent la page. Interview avec Laurence Pytel, Consultante RH chez VAST RH, qui nous en dit plus sur l’humain derrière les outils et les process.

Laurence Pytel, Consultante VAST RH depuis le début

Laurence Pytel a rejoint VAST RH en 2018, après avoir passé une vingtaine d’années à la direction de centres de profit dans le domaine des produits d’art. Une reconversion professionnelle accompagnée de la naissance de son enfant a été l’occasion pour Laurence de se questionner sur plusieurs sujets. Si le domaine dans lequel elle avait travaillé pendant de nombreuses années l’intéressait, elle de sentait moins à l’aise dans le management d’équipes. En revanche, c’est dans son rôle de formatrice que Laurence s’épanouissait, en formant ses collaborateurs sur les méthodes de vente. « Même si ce n’était pas mon job, j’aimais creuser les potentiels et j’accompagnais les gens de manière informelle dans leur transition » dit-elle. C’est ainsi qu’est apparue l’idée qui, peu à peu, a fait son chemin vers le rôle actuel de Laurence chez VAST RH.

A force de réseautage et de détermination, Laurence s’est ensuite dirigée vers la voie qui l’intéressait en rejoignant un organisme de formation à Paris. A l’époque, elle était chargée de former des jeunes en insertion sur des méthodes de vente tout en œuvrant en tant que coach de jeunes sur le contrat d’autonomie. Laurence a également accompagné des cadres sur un dispositif de Pôle Emploi (Cibl’Emploi).

Nouvelle étape pour Laurence, nouvelle région. Elle quitte Paris pour s’installer dans le Sud et rejoint une association spécialisée dans l’accompagnement à l’emploi. Neuf ans plus tard, Laurence subit un licenciement économique brutal. Cette expérience, même si elle n’en a pas conscience au moment où elle se produit, lui sera très utile dans son rôle de consultante RH… Pour l’heure, Laurence trouve un nouvel emploi dans un cabinet RH dans lequel elle accompagne des personnes licenciées économiques. Les choses s’enchaînent à une cadence infernale… et Laurence décide de prendre le temps de réfléchir à ce qu’elle souhaite vraiment faire…

Accompagner les gens, les encourager à puiser au fond d’eux-mêmes

Aujourd’hui, c’est avec beaucoup de simplicité que Laurence affirme : « J’aime accompagner les personnes. Je souhaite qu’elles en aient envie également ! ». Lorsque j’ai rencontré Stéphane Feuillet, l’actuel dirigeant de VAST RH, le courant est bien passé. Il a trouvé mon profil intéressant et j’ai été séduite par son approche et ses valeurs… beaucoup de cases étaient cochées !

Depuis trois ans, Laurence Pytel réalise des bilans de compétences avec ses bénéficiaires. « Je m’éclate dans mon travail » dit-elle, avec un enthousiasme et une joie de vivre contagieux. Très impliquée dans la création de la nouvelle méthode VAST RH, Laurence s’épanouit dans son rôle de consultante RH en se nourrissant des autres, de ce qu’ils font.

Lorsqu’elle est interrogée sur la qualité principale qui permet d’avancer professionnellement, Laurence parle d’ouverture. « Si le bénéficiaire d’un bilan de compétences est ouvert dès le départ sur le champ des possibles, il/elle a plus de chances d’atteindre le but recherché ». Généralement, le premier contact avec le consultant RH forme l’élément déclencheur qui va entraîner la personne à vouloir avancer. « Le bilan de compétences n’est pas toujours une partie de plaisir » affirme Laurence. « Il secoue, fait apparaître des choses enfouies, parce que l’on demande aux personnes de puiser au fond d’elles-mêmes… ». Une recherche intarissable, semble-t-il, puisqu’à peine revenue d’une séance de partage et d’échange avec l’un de ses collègues spécialiste de l’ennéagramme, Laurence nous confie avoir encore découvert de nouvelles choses sur elle-même…

 

Bienveillante et généreuse, Laurence s’appuie sur sa propre expérience pour nouer une relation avec chacun de ses bénéficiaires. Et « quoi qu’il arrive, le bilan de compétences aboutit toujours à quelque chose » dit-elle. Se découvrir, se connaître, s’accepter tel que l’on est … autant d’objectifs que notre consultante RH cherche à atteindre avec chaque individu. Une aventure humaine dans laquelle elle donne le meilleur d’elle-même et qui la comble chaque jour un peu plus…