« Sans le bilan de compétences, je ne serais pas où je suis aujourd’hui », dit Marie-Christine. De la révélation d’un avenir professionnel qui lui ressemble au changement de carrière, le bilan de compétences de Marie-Christine à Salon-de-Provence a marqué un nouveau départ. Retour sur son parcours.

Une commerciale sédentaire qui ne se sentait plus à sa place

Commerciale sédentaire depuis une dizaine d’années, Marie-Christine a ressenti, après deux congés parentaux successifs, le besoin de faire autre chose. Les chiffres, le profit ne l’intéressaient plus autant qu’avant et, quelque part, elle sentait le besoin de se réorienter. Mais que faire ?

Le confinement lié à la crise sanitaire a été, pour Marie-Christine, l’événement déclencheur qui l’a fait aller de l’avant. Ne pouvant effectuer son métier en télétravail, Marie-Christine est donc restée à la maison avec ses enfants pendant 3 mois. Une interruption forcée qui, finalement, a été profitable, puisqu’elle a permis à Marie-Christine de prendre du recul et de réfléchir à sa carrière. « On a toujours peur de quitter sa zone de confort », dit-elle. La réflexion a donc permis à Marie-Christine d’envisager la suite qu’elle allait donner à sa carrière. C’est par le biais de recherches sur Internet qu’elle a découvert le site VAST RH et, peu de temps, après, fait la rencontre de Coralie Berger, consultante RH.

Le bilan de compétences à Salon-de-Provence

Dans le bureau de l’agence VAST RH à Salon-de-Provence, Marie-Christine a été accueillie par Coralie Berger. « J’ai tout de suite senti de la bienveillance », dit-elle. Le premier entretien a été l’occasion pour les deux femmes de faire le point et de vérifier que le bilan de compétences était la solution adaptée aux besoins de Marie-Christine.

Le bilan de compétences a commencé par une recherche personnelle. « Il s’agissait de faire le bilan de ma vie » explique Marie-Christine. Elle ajoute : « j’ai regardé tout ce que j’avais fait en amont pour me positionner et cet exercice a fait apparaître des choses que j’avais mises de côté. Le fait d’écrire fait beaucoup de bien ».

Au cours des échanges suivants, Coralie a cherché à mieux connaître Marie-Christine, à mieux cerner sa personnalité. C’est notamment par le biais de tests psychotechniques, de tests de profil que les attentes de notre bénéficiaire quant à son avenir professionnel sont apparues et « les tests ont confirmé ce besoin que j’avais de quitter le domaine commercial, le chiffre, le profit… » indique Marie-Christine. À l’issue des entretiens successifs, sa voie semblait de plus en plus évidente.

Vers une nouvelle vie dans le domaine de l’insertion professionnelle

Après une longue phase de recherches, Marie-Christine a trouvé plusieurs postes qui lui convenaient sur Internet. Grâce aux échanges avec Coralie et à son soutien, la recherche a été facilitée et Marie-Christine a trouvé deux postes qui répondaient à son profil et à ses objectifs. L’un d’entre eux, Conseiller en Insertion Professionnelle (CIP) a retenu son attention. L’enquête métier qu’elle a réalisé ensuite l’a confortée dans l’idée que cette voie serait la sienne. « J’ai pu me projeter dans le métier » dit Marie-Christine.

La suite ? Une formation à l’AFPA qui nécessite encore un peu de travail, notamment des enquêtes métier (dont le bilan de compétences effectué avec VAST RH) et une immersion en milieu professionnel, prévue en janvier 2022.

 

La bienveillance, le professionnalisme de Coralie ont marqué Marie-Christine qui reste assurée, après un parcours plein de rebondissements, qu’elle n’aurait pas abouti au résultat actuel sans avoir fait de bilan de compétences. Notre bénéficiaire, maman de deux enfants de 10 et 7 ans a une voie toute tracée, dans un milieu qui lui correspond et dans lequel nous lui souhaitons de s’épanouir pleinement.

Une nouvelle année frappe à nos portes et, comme à chaque fois, le sujet des bonnes résolutions revient sur les lèvres de chacun. Manger plus sainement, aller à la gym plus souvent, être plus en phase avec soi-même, passer plus de temps avec ses proches… En ce début d’année 2022, pourquoi ne prendriez-vous pas des résolutions simples qu’il est possible de tenir sur la durée ? VAST RH vous propose 10 résolutions à mettre en œuvre sans attendre :

Résolution n°1 : relooker votre profil LinkedIn

Votre profil LinkedIn correspond-il à la personne que vous êtes ? Correspond-il à l’image que vous souhaitez donner de vous-même ? Près de 7 employeurs sur 10 consultent les profils LinkedIn lorsqu’ils souhaitent embaucher. C’est une raison suffisante pour prendre soin de votre profil, texte et photo, non ?

 

Résolution n°2 : Faites au moins une chose pour vous-même chaque jour

Qu’avez-vous fait pour vous-même aujourd’hui ? La nature humaine est ainsi faite : nous avons tendance à nous laisser entraîner à faire des choses pour les autres, au risque d’en oublier notre propre personne ! Une pause déjeuner à l’extérieur, une petite balade de quelques minutes, un coup de téléphone à un proche… trouvez quelque chose qui vous remplit d’un bonheur simple au quotidien et bientôt, vos journées s’illumineront d’elles-mêmes.

 

Résolution n°3 : Rendez à César ce qui est à César

Avez-vous tendance à vous en vouloir pour quelque chose qui n’a pas fonctionné plutôt que de penser au travail fourni ? Si cela est le cas, il convient de vous donner une petite tape sur l’épaule, même si le résultat n’est pas à la hauteur de vos attentes. Un peu de reconnaissance, ne serait-ce qu’un tout petit peu, peut aller très loin en termes de motivation !

 

Résolution n°4 : Montrez-vous positif(ve)

L’herbe est plus verte ailleurs. C’est en tout cas ce que bon nombre d’entre nous ont tendance à penser. Il est important de commencer par changer d’état d’esprit en vous montrant plus positif(ve). Montrez-vous reconnaissant(e) par rapport à ce que vous avez, plutôt que de vous languir sur ce que vous n’avez pas ou pourriez avoir. Faites le point sur votre situation actuelle et énumérez, dans votre cerveau, ce qui vous convient au moment présent. Vous serez étonné(e) de voir à quel point un changement d’état d’esprit peut tout changer !

 

Résolution n°5 : Apprenez quelque chose de nouveau

Vous avez du mal à cerner certaines fonctionnalités d’un logiciel ? Vous aimeriez apprendre une nouvelle langue ? Qu’attendez-vous pour apprendre ? Plongez dans votre CPF et regardez s’il reste des heures de formation inutilisées. Ou bien, prenez le temps de découvrir les très nombreux cours en ligne, gratuits pour la plupart. Entre vous et quelque chose de nouveau, il n’y a qu’un pas !

 

Résolution n°6 : Faites de nouvelles connaissances

Même si vous n’êtes pas à la recherche d’un nouvel emploi, le réseautage est une véritable force. Assistez à des événements de réseautage et intéressez-vous à des personnes qui évoluent dans votre milieu. Vous apprendrez de nouvelles choses, vous améliorerez vos compétences sociales et professionnelles. Vous avez tout à gagner en étendant votre cercle de relations et de connaissances.

 

Résolution n°7 : Repensez vos objectifs professionnels

À quand remonte la dernière fois que vous avez revu vos objectifs professionnels ? Telle une plante verte, les objectifs professionnels nécessitent de l’attention et quelques soins. Si le moment est venu de passer à autre chose, que vous en ressentez le besoin dans votre for intérieur, pourquoi ne pas profiter de l’occasion pour faire un bilan de compétences ?

 

Résolution n°8 : Limitez le stress

Êtes-vous du genre stressé(e) au travail ? Est-ce une situation qui vous déplaît ? Il y a fort à parier que vos collègues et supérieurs hiérarchiques pensent la même chose. Si vous parvenez à identifier la cause de stress, c’est sur elle qu’il faut travailler. Le cas échéant, dites-vous que si quelque chose n’a aucune conséquences dans 5 ans, il est inutile de s’en préoccuper, même pour 5 minutes.

 

Résolution n°9 : Dormez plus

Bâillez-vous souvent ? La période qui suit les repas est-elle source de fatigue pour vous ? Le sommeil est votre meilleur allié. Il faut en reprendre le contrôle. En adaptant votre sommeil à vos besoins, vous aurez plus d’énergie et serez plus heureux(se). Essayez… et vous verrez !

 

Résolution n°10 : Prenez une résolution simple qui a du sens pour vous

À quelle résolution pensez-vous ? Réfléchissez à quelque chose de simple, peu contraignant et surtout… qui vous fait plaisir. La dixième résolution vous invite donc à réfléchir à un objectif personnel auquel vous vous tiendrez sur la durée. Nous vous en félicitons d’avance !

Salariée dans une entreprise de transports à Marseille, Claire D. ne se sentait plus à l’aise dans son poste. Elle s’est rapprochée de VAST RH pour bénéficier, aux côtés de Laurence Pytel, d’un bilan de compétences. Un accompagnement qui a contribué à la faire progresser et à envisager un avenir qui lui correspond vraiment.

« Depuis 9 ans, mon travail ne me convient pas »

Se rendre à l’évidence, après plusieurs années de poste : il a fallu, à Claire, une bonne dose de courage pour exprimer son ressenti. Salariée dans une entreprise de transports à Marseille, l’impression de ne pas être en phase avec son poste est apparue clairement après 9 ans en emploi. Gestionnaire de budget, Claire possède toutes les compétences nécessaires et s’applique à la tâche, mais elle ne ressent pas la motivation qui l’entraîne à se lever avec joie tous les matins, pour aller travailler.

Cette prise de conscience, qui est la même que bon nombre de personnes dans la même situation, a été suivie d’actions concrètes. Connaissant l’intérêt du bilan de compétences, Claire a décidé de mettre ses heures CPF à profit, pensant à elle-même et à son avenir : c’est vers VAST RH qu’elle s’est tournée, en vue de faire un bilan de compétences.

 

Un bilan de compétences réalisé en dehors des heures de travail

Travaillant quatre jours par semaine, Claire a pu s’octroyer la possibilité de compléter son bilan de compétences en dehors des heures de bureau. D’octobre à décembre 2020, le suivi s’est exclusivement fait sur son temps personnel, le bilan étant cependant pris en charge par le compte CPF de notre bénéficiaire qui, de ce fait, n’a pas eu à financer son accompagnement.

« J’avais besoin de savoir qui j’étais pour m’orienter » dit-elle. Une introspection nécessaire pour avancer, qu’elle n’aurait pas pu réaliser par ses propres moyens.

Le premier contact avec Laurence Pytel, experte en bilan de compétences et formation chez VAST RH, s’est révélé une véritable découverte. D’emblée, Laurence a présenté les tenants et les aboutissants du bilan de compétences et notre bénéficiaire est ressortie avec un élan d’enthousiasme dont elle se souvient encore aujourd’hui.

« Le bilan de compétences », dit Claire, « permet d’apprendre des choses sur soi et de dessiner des chemins… ». Malgré la crise sanitaire, Laurence et Claire se sont adaptées, continuant les entretiens en visioconférence. « A la fin de chaque entretien, j’étais ravie ; c’était une véritable découverte. Laurence a été formidable à tout point de vue. Le feeling général est positif… Le courant est très bien passé entre nous ». Que dire de plus ?

 

Un effort conséquent, mais nécessaire

Se connaître elle-même, réaliser qu’elle a du mal à dire non, parler à son conjoint, comprendre des éléments appartenant à la sphère privée pour les utiliser dans la vie professionnelle… Autant d’éléments qui ont permis, à Claire, de progresser grâce au bilan de compétences.

Entre chaque entretien, Claire a dû faire des recherches, des exercices, compléter des questionnaires, approfondir des notions… Certes, ce travail a pris du temps… mais Claire ne regrette rien, bien au contraire !

Au cours de son accompagnement, Claire a réalisé qu’elle avait un côté créatif qu’elle pourrait tout à fait mettre à profit pour évoluer professionnellement. Souhaitant d’abord devenir décoratrice d’intérieur, notre bénéficiaire a réorienté ses recherches vers un emploi qui lui correspond davantage. A l’heure où nous avons conduit cet interview, Claire s’apprêtait à passer un entretien d’embauche pour un poste dans le marketing. Nous lui souhaitons bonne continuation et l’encourageons dans la voie qu’elle a choisie.

À l’issue du premier confinement, 25 % des Français envisageaient une reconversion professionnelle. C’est ce qui ressort de l’enquête réalisée par OpinionWay pour le cabinet Emprunte Humaine. Une tendance qui se poursuit, puisque la demande de conseil en évolution professionnelle – dispositif accessible gratuitement au titre de la réforme de 2013 – ne cesse d’augmenter. En quête de sens, les actifs semblent avoir perdu, via le télétravail et autres effets collatéraux de la crise sanitaire, leur lien à l’entreprise, jusqu’à ne plus trouver la petite flamme qui leur permettait de continuer à avancer dans leur travail.

Alors que les démarches de réorientation continuent d’affluer, bon nombre de Français envisagent une reconversion professionnelle. Un changement de cap qui n’est plus réservé aux seuls quadras ou quinquas, mais qui touche tout le monde… et à tout âge. Mais, la crise sanitaire étant passée par là, la reconversion professionnelle a changé de visage. VAST RH fait le point.

 

La reconversion professionnelle post Covid-19

La crise sanitaire en a fait réfléchir plus d’un … Dans une enquête publiée par Nouvelle Vie Pro, près de 6 actifs sur 10 affirment que la crise a affecté leur situation professionnelle. Leur envie de reconversion est toujours omniprésente et, si beaucoup ne sont pas encore passés à l’action, l’envie de changer de job, de changer de vie, est de plus en plus palpable.

À quoi ressemble le candidat idéal à la reconversion ? Selon les dires de l’enquête de Nouvelle Vie Pro, il est âgé entre 20 et 29 ans (48 % contre 36 % pour les autres tranches d’âge) et habite dans une moyenne ou grande ville (18 %). Il n’a pas le bac (48 %) et, paradoxalement, il fait partie de la tranche qui hésite le plus quant à entamer une reconversion professionnelle (9 %).

 

Pourquoi avoir peur de se reconvertir ?

Si beaucoup de Français réfléchissent à une reconversion professionnelle, la peur et l’incertitude empêchent la plupart de passer à l’action. Ces deux facteurs ne sont d’ailleurs pas les seuls freins. Il y a également :

–        L’angoisse de sortir de sa zone de confort

–        Le manque d’information

–        Le risque financier jugé trop important

–        Le projet qui demande à mûrir

–        Le besoin de se faire accompagner

–        L’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle

Lorsqu’il s’agit de reconversion professionnelle, la crise sanitaire ne simplifie pas les choses, tant s’en faut. Pour beaucoup de sondés (enquête Nouvelle Vie Pro), la pandémie rend la reconversion plus compliquée pour les habitants des petites villes (près de 2 personnes sur 3) et les moins diplômés.

 

Les enquêtes qui mettent en parallèle la reconversion professionnelle et la crise sanitaire s’accordent sur un point : l’ennui et la quête de sens au travail sont les principales motivations pour songer à se reconvertir. La rémunération, quant à elle, a été supplantée par des considérations d’ordre psychologique ou médical.

Se reconvertir, c’est d’abord prendre conscience que le métier que l’on fait ne vous correspond plus. Passer à l’action, c’est concevoir un avenir professionnel qui vous ressemble, suivi d’un plan concret. Pour vous aider, VAST RH vous accueille dans l’une de ses agences : n’hésitez pas à contacter l’un de nos conseillers dans votre agence VAST RH la plus proche.

On connaissait déjà la semaine de 4 jours, le droit à la déconnexion, le zéro papier, le zéro mail, les vacances illimitées et l’entreprise libérée… Aujourd’hui, c’est de slow working dont il est question. Une tendance qui aboutit, disent ses adeptes, dont les coachs RH, au bonheur au travail. On en parle ?

 

Slow working : on travaille plus lentement, c’est ça ?

Pas du tout ! L’expression n’est pas à interpréter à la lettre. On ne déplace pas ses mains sur le clavier en analysant toutes les touches au préalable. On ne lève pas le stylo au ralenti, on ne se déplace pas d’un bureau à l’autre à petits pas. Le slow working, c’est tout … sauf ralentir !

En réalité, il s’agit d’un est un concept qui nous invite à changer notre rapport au travail pour nous rendre plus performants et surtout… pour rendre le travail plus agréable.

Crise sanitaire, burn-out, stress… l’épidémie de l’épuisement professionnel est bel et bien réelle. À tel point que les concepts visant à nous rendre plus heureux au travail connaissent un succès sans précédent, à l’image de la semaine de 4 jours évoquée par la ministre néo-zélandaise en 2020 pour relancer l’économie du pays.

Travailler moins, mais mieux : c’est ainsi que Diane Ballonad Rolland, auteure du premier ouvrage sur le slow working, définit ce concept. Cette coach spécialisée en gestion du temps et équilibre de vie professionnelle et personnelle apprend, à ses clients et lecteurs, à concilier sérénité et efficacité au travail. Le slow working, c’est donc le dosage d’efforts, l’octroi de pauses et surtout… un rythme de travail qui nous correspond mieux.

 

Comment pratiquer le slow working ?

La pratique du slow working passe essentiellement par la gestion du temps de travail. Faire les choses simplement pour être efficace. Tout réside dans l’art de bien maîtriser et savoir utiliser son temps. Pour ce faire, pas besoin d’outils numériques très sophistiqués : un simple bloc-notes et un stylo suffisent. On définit des priorités parmi la longue to-do list, puis on les découpe en tâches réalisables durant la semaine.

Le slow working passe également par une planification du temps… qui, elle aussi, prend du temps. Prendre, ne serait-ce que trente minutes ou une heure par semaine pour décider des tâches à accomplir avant de commencer à travailler, est un véritable gain de temps en soi. Une routine facile à mettre en œuvre, qui permet ensuite d’accepter ou de refuser des charges de travail supplémentaires.

Le slow working exclut l’immédiateté, ce déclencheur de stress inutile qui va de pair avec la société dans laquelle nous vivons. En effet, en travaillant uniquement dans le moment présent, nous sommes parfaitement… inefficaces. À force de combattre le feu jour après jour, heure par heure, nous nous écartons de l’essentiel. Autant d’éléments dont il faut se séparer en pratiquant le slow working : notifications incessantes, appels téléphoniques, réunions surprises, etc.

 

Notre relation au temps peut devenir toxique. Le slow working, c’est l’art de se recentrer sur ce qui est important et d’être bienveillant avec soi-même. Le jeu en vaut la chandelle puisque cette philosophie de vie aboutit à un meilleur équilibre entre vie privée et vie professionnelle. Prêt.e à essayer ?