changement

Vous sentez-vous coincé(e) dans un emploi qui ne vous ressemble pas (ou plus) ? L’envie de changer de carrière vous tente mais vous ne savez pas par quel bout commencer ? Peut-être est-il temps de faire une pause et prendre du recul…

Si vous vous sentez à l’étroit dans votre job actuel et que le changement de carrière est une idée que vous repoussez chaque jour, sachez que vous devez d’abord apprendre à surmonter trois défis (ou paradoxes). VAST RH, cabinet de conseil en ressources humaines, vous explique.

1. Vous êtes votre propre plus grand obstacle

Au plus profond de votre désespoir à propos de votre travail actuel, tous les signaux vous indiquent que vous n’êtes pas au bon endroit. Vous ne parlez pas de votre travail avec les autres, vous ne vous voyez ni à la place de votre patron ni à celle de votre N+1 dans quelques années… Pire encore, vous êtes pétrifié(e) à l’idée d’arriver à l’âge de la retraite sans vous sentir fier(ère) du travail accompli au cours de votre vie.

Chaque jour, vous vous sentez un peu plus engourdi(e). Vous ne savez plus où puiser votre inspiration, votre motivation… et votre travail devient insignifiant. Contre votre propre gré, vous êtes le héros du film « Un jour sans fin »… et chaque jour ressemble à un autre.

Il se peut que vous soyez aveuglé(e) par votre vision du monde du travail. Une vision qui se limite au domaine d’activité dans lequel vous évoluez. Tous les autres postes et secteurs sont complètement en dehors de votre champ de vision. Vous avez également peur des conséquences : si vous quittez votre emploi, qu’en sera-t-il de votre salaire ? Que penseront vos amis ? Votre famille ? Etes-vous vraiment prêt(e) à perdre le statut pour lequel vous avez travaillé si dur ?

Les limites que vous observez dans le monde extérieur sont, en réalité, vos propres obstacles. Vos craintes et le manque de connaissances vous empêchent d’aller de l’avant.

2. Vous ne découvrirez pas votre nouvelle voie par hasard

Quel que soit votre travail actuel, vous êtes rémunéré pour accomplir des tâches spécifiques, pour jouer un rôle, interagir avec vos collègues et pour contribuer aux résultats d’une entreprise.

Comment savoir ce que vous pouvez faire d’autre ? Cette idée tourne en rond dans votre tête sans que vous puissiez y apporter de réponse. Vous parlez à certaines personnes (qui sont peut-être dans la même situation que vous), vous consultez Internet, vous lisez des livres… mais rien n’y fait. Vous n’avez toujours pas d’idée par rapport à ce que vous voulez faire. Pas de réponse claire.

La réalité est pourtant simple : si la solution à votre changement de carrière se trouvait dans une analyse plus approfondie ? En dressant plus de listes, en lisant plus de livres, en passant plus de tests psychométriques, vous trouverez certainement des réponses à vos questions.

3. Ce n’est pas en cherchant un travail que vous en trouverez un

Vous avez certainement passé des heures à parcourir des sites d’emploi, créé des dizaines d’alertes… et vous vous êtes rendu plus malheureux(se) encore en constatant que vous n’aviez pas nécessairement l’expérience ou les compétences requises…

Vous avez même envoyé votre CV à des entreprises dans des secteurs d’activité différents du vôtre… juste pour voir… Mais rien. Même pas un entretien…

Prenez un peu de recul : comment voulez-vous trouver un emploi et changer de carrière si vous ne savez pas dans quelle direction vous diriger ?

 

Chaque jour, VAST RH accompagne des hommes et des femmes qui, comme vous, souhaitent changer de carrière sans nécessairement avoir d’idées précises quant à leur avenir. Pour faire le point avec un consultant spécialisé, pour prendre du recul pour mieux avancer, contactez VAST RH dès aujourd’hui.

What do you want to do ?

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Pour des raisons diverses et variées, certaines entreprises choisissent de recourir à un dispositif de reconversion interne plutôt que de recruter. Il s’agit donc, pour ces entreprises, de conduire les collaborateurs vers un nouveau métier. Pour les RH, l’enjeu principal est de sélectionner les profils, de déterminer l’engagement et la motivation des salariés et d’assurer la réussite du processus dans son ensemble. En quoi consiste la reconversion professionnelle interne ? Comment l’aborder ? Quel est le rôle des RH ?

 

En quoi consiste la reconversion professionnelle interne ?

Lorsqu’une entreprise a besoin de nouvelles compétences et qu’elle observe des excédents d’effectifs dans certains postes, il n’est pas rare qu’elle veuille se pencher sur ses propres ressources en leur proposant de se reconvertir dans un métier pour lequel il existe un réel besoin. En choisissant d’agir ainsi, l’entreprise montre qu’elle se préoccupe des salariés en vue d’optimiser leur engagement, leur performance et, d’une manière générale, la qualité de leur travail. La reconversion professionnelle interne, quelle qu’en soit l’origine, se présente souvent comme une solution gagnant-gagnant pour l’entreprise et pour le salarié.

Pour le collaborateur, la reconversion professionnelle interne présente de nombreux avantages. Elle touche d’abord à la progression de carrière de l’individu concerné. Comme bon nombre de personnes, il est probable qu’un salarié en poste depuis plusieurs années souhaite insuffler un nouvel élan à sa carrière et changer de cap sans nécessairement changer d’entreprise. A l’aise avec les process, la culture, l’organisation et les codes, il souhaite ardemment s’engager et progresser à travers de nouvelles missions. Changer de poste tout en restant dans la même entreprise a donc du sens. Dans la réalité, la reconversion professionnelle interne présente des obstacles dont il est important de prendre conscience. Le salarié sera-t-il à la hauteur des tâches à accomplir ? Aura-t-il les compétences pour apprendre un nouveau métier ? Saura-t-il s’intégrer ? Comment gérera-t-il son nouveau rythme de travail ? Acceptera-t-il ce nouveau poste ?

 

Le rôle des Ressources humaines dans la reconversion professionnelle interne

Aujourd’hui, l’accompagnement fait partie intégrante des préoccupations et des missions des Ressources humaines dans les entreprises de toutes tailles. Dès le jour où un collaborateur se voit proposer un contrat d’embauche, la responsabilité des RH est de le former et de le fidéliser, afin qu’il ou elle devienne le talent dont l’entreprise a besoin pour progresser. Tout naturellement, la gestion de carrière de cet individu, comme celle de chaque salarié, devient une priorité majeure, car elle assure l’engagement de ce dernier, sa performance et, par conséquent, la productivité de l’entreprise dans son intégralité.

Une reconversion professionnelle interne s’appuie sur la mise en place de dispositifs spécifiques qui visent à identifier les motivations et les envies d’évolution des collaborateurs, leur niveau de compétences par rapport à un poste donné, ainsi que leur accompagnement avant et après la mise en œuvre du dispositif. Selon le contexte qui justifie la reconversion professionnelle interne, la mise en place de ces éléments peut parfois être compliquée, surtout en situation d’urgence.

Il appartient donc aux Ressources humaines de comprendre les raisons qui motivent un collaborateur à demander une reconversion professionnelle interne. En impliquant les supérieurs hiérarchiques et en évaluant le potentiel du collaborateur concerné en toute objectivité, les RH sont en mesure d’accompagner ce dernier dans ses nouveaux choix professionnels et de créer la motivation dont il a besoin pour continuer à offrir le meilleur de lui-même.

En répondant aux besoins de mobilité interne de leurs collaborateurs, les RH se dotent d’un puissant outil de fidélisation, au service de la productivité et de l’image de l’entreprise. Dès le premier jour, à travers la formation et l’accompagnement, les RH et le salarié forment un partenariat qui se traduit en engagement et en performance sur la durée. Si un collaborateur devient, pour une raison ou une autre, moins performant dans son travail, la responsabilité des RH est de mettre en œuvre les moyens nécessaires pour le fidéliser et relancer sa carrière. La reconversion professionnelle interne fait partie des outils à leur portée. Pour que le dispositif mis en œuvre aboutisse à un résultat satisfaisant, il est important que, dans l’entreprise, chacun soit informé de l’existence du processus de reconversion afin qu’il s’engage pleinement dans la démarche proposée par l’employeur.

 

Un changement de métier touche forcément à l’identité de l’individu. Le dispositif mis en place doit donc favoriser le changement tout en ayant du sens pour la personne comme pour l’entreprise. L’accompagnement, pour qu’un processus aboutisse à la réussite, doit se faire avant, pendant et après la mise en œuvre du dispositif de reconversion professionnelle interne.

VAST RH accompagne les entreprises dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet de reconversion professionnelle interne. Contactez-nous pour en discuter.

Reconnaître le moment où vous vous sentez épuisé(e) peut vous aider à éviter une crise émotionnelle potentielle. Soyez attentif(ve) à l’évolution de votre vie personnelle, à ce qui vous motive et vous inspire dans vos activités quotidiennes ainsi qu’au travail ou à l’école – ces changements pourraient indiquer des symptômes de burnout qui nécessitent une prise en charge immédiate !

Le burnout en quelques mots

Le burnout peut être décrit comme une maladie professionnelle qui se manifeste par plusieurs symptômes. Les signes avant-coureurs sont généralement les suivants : épuisement, négativité à l’égard du travail (y compris un manque d’intérêt), diminution de l’efficacité et sentiment d’inutilité ou de culpabilité excessive.

Les symptômes de l’épuisement professionnel (l’autre nom du burnout) peuvent être subtils au début. Ils peuvent inclure des sentiments comme la fatigue, le désespoir face aux engagements professionnels et une diminution de l’efficacité professionnelle, entre autres …

Une personne qui éprouve ces signes peut avoir légèrement progressé vers un burnout complet sans même le savoir ! La meilleure façon d’éviter l’épuisement professionnel semble évidente : veillez à ne pas être surmené(e) ou frustré(e) au point de faire chuter votre température émotionnelle…

Plus facile à dire qu’à faire ? Continuez à lire pour en savoir plus sur les symptômes physiques et psychologiques du burnout.

 

Quels sont les symptômes physiques du burnout ?

Les symptômes physiques de l’épuisement professionnel peuvent inclure la fatigue, les maux de tête, les tensions musculaires et les problèmes gastro-intestinaux. L’épuisement professionnel peut également entraîner une augmentation du niveau de stress et une diminution de la productivité.

D’une manière générale, les symptômes physiques du burnout incluent :

  • La fatigue
  • Le manque d’énergie
  • Des problèmes de sommeil (endormissement difficile, réveil au cours de la nuit…)
  • Des difficultés cognitives
  • Une faible concentration
  • Des problèmes de mémoire
  • Une grande difficulté, voire une incapacité à prendre des décisions

 

Comment reconnaître l’apparition de symptômes psychologiques du burnout ?

Les symptômes psychologiques de l’épuisement professionnel sont des sentiments d’épuisement émotionnel, une forme de cynisme et de détachement par rapport au travail, voire à ce qui touche à la sphère personnelle. L’épuisement professionnel peut également entraîner des problèmes physiques, tels que l’insomnie, les maux de tête et les troubles digestifs.

Voici une liste non exhaustive des signes psychologiques du burnout :

  • De l’épuisement
  • Un manque d’enthousiasme ou de motivation
  • Une forme de cynisme ou un détachement
  • Une incapacité à se concentrer
  • La prise de mauvaises décisions
  • Un sentiment d’accablement
  • Un isolement progressif
  • Une faible estime de soi
  • Un sentiment d’inadéquation
  • Une dépression
  • De l’anxiété

 

Le burnout vous guette ? Que faire ?

Si vous commencez à ressentir les symptômes du burnout, il est important de prendre rapidement la situation en main pour éviter que le problème ne s’aggrave. Il existe plusieurs solutions. En voici quelques exemples :

  1. Réduire votre charge de travail.

Si vous vous sentez débordé(e), une solution consiste à réduire votre charge de travail. Parlez-en à votre supérieur et voyez s’il existe un moyen d’alléger votre charge.

 

  1. Faire des pauses.

Une autre solution consiste à faire des pauses tout au long de la journée. Cela vous aidera à vous ressourcer et à vous rafraîchir.

 

  1. Dormir davantage.

Dormir davantage vous aidera à être plus alerte et plus concentré(e) pendant la journée.

 

  1. Prendre soin de soi.

Il s’agit simplement de prendre soin de vous, tant physiquement qu’émotionnellement. Cela signifie prendre du temps pour soi chaque jour et faire des choses qui vous rendent heureux(se).

 

Si, à l’occasion de la rentrée, comme tout au long de l’année, vous décelez des signes du burnout, n’attendez pas pour prendre les choses en main. Il est toujours possible de venir à bout d’un mal insidieux qui vous guette…

Si votre sentiment de fatigue est lié à votre travail, si vous ne trouvez pas de sens à ce que vous faites, peut-être est-il temps d’en parler à un conseiller VAST RH. Contactez l’agence VAST RH la plus proche pour un entretien confidentiel et sans engagement.

Le/ la barman/ barmaid est derrière le comptoir du bar d’un hôtel de luxe, d’une discothèque, d’un bar à cocktails… ce spécialiste des cocktails accueille les clients et les aide à faire leur choix.

Il prépare le verre, dose les ingrédients (jus de fruits, alcools, fruits frais…) et les mélange à l’aide d’un shaker, d’un verre à mélange, d’un blender… Il verse la boisson dans le verre, l’agrémente de garnitures et décorations, puis sert le client.

En dehors des heures d’ouverture, il nettoie ses ustensiles, approvisionne le bar, travaille de nouvelles recettes…

Les missions d’un(e) barman / barmaid :

  • Assurer l’approvisionnement, la mise en place et le service au bar
  • Accueillir et conseiller le client prendre leur commande et se charger de l’encaissement
  • Promouvoir les produits de l’établissement
  • Contribuer à la fidélisation et au développement de la clientèle
  • Assurer la plonge des verres avant, durant et après son service
  • Gérer le stock de boisson en passant les commandes auprès des fournisseurs et en s’occupant de leur réception et de leur rangement

Les compétences :

Le/la barman / barmaid doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Bonne mémoire
  • Etre réactif
  • Sens du relationnel
  • Bonne condition physique
  • Polyvalent
  • Faire preuve de créativité

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Maîtriser des règles d’hygiène et de sécurité alimentaire
  • Connaissances sur les différentes caractéristiques des alcools
  • Appliquer les réglementations en vigueur sur la consommation d’alcool

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Le salaire moyen d’un(e) barman / barmaid  :

En général, on débute sa carrière entre le SMIC et 1 800 euros brut par mois, et on peut espérer gagner entre 2100 et 3000 euros brut en fin de carrière.

Les revenus sont variables selon la catégorie, la fréquentation et la localisation de l’établissement. A la rémunération fixe s’ajoutent souvent des pourboires.

Formations & Diplômes pour devenir barman / barmaid  :

Le poste de barman est accessible avec un diplôme de niveau CAP.

Si le métier peut s’apprendre sur le tas, plusieurs formations allant du CAP au Bac facilitent l’insertion professionnelle. Un Brevet Professionnel (BP) ainsi qu’une Mention Complémentaire sont tout particulièrement adaptés au métier.

La branche professionnelle de l’hôtellerie-restauration délivre également le Certificat de Qualification Professionnelle (CQP) « barman du monde de la nuit ». Il permet de reconnaître les compétences des salariés en poste en délivrant une certification professionnelle qui correspond au métier exercé. Il permet également d’acquérir de nouvelles compétences grâce à la formation tout au long de la vie.

 

Par ailleurs, différents organismes privés et certains établissements (bars, pubs…) proposent des formations courtes.

Comme dans plusieurs corps de métiers, le titre « Un des Meilleurs Ouvriers de France » (MOF, reconnu niveau Bac + 2) vient mettre à l’honneur l’excellence et le savoir-faire du professionnel. Il s’obtient par la réussite à un concours national.

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Le juriste est un salarié d’une entreprise, d’une association, d’un cabinet d’avocat ou agent de la fonction publique.

Il conseille sa direction ou les différents services dans le montage de dossiers ou lors de décisions importantes. Il permet à sa structure de sécuriser ses projets en respectant la réglementation. Il vérifie ou rédige des courriers, des contrats, des accords, des notes internes…

Il fait parfois appel à un expert externe (fiscaliste, expert-comptable, avocat…).

Les missions d’un(e) juriste  :

  • Mener une veille juridique constante
  • Analyser les risques et les protections juridiques pour l’entreprise
  • Vérifier l’aspect juridique des investissements
  • Veiller aux évolutions de la législation en matière de droit commercial, droit du travail, droit des contrats…
  • Analyser la jurisprudence
  • Délivrer des actes juridiques
  • Intervenir en cas de litige

Les compétences :

Le/la juriste doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Capacité d’analyse et de synthèse
  • Etre réactif
  • Sens du relationnel
  • Précis et impartial dans ses jugements et évaluations

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Maîtriser le droit de l’entreprise
  • Avoir des connaissances dans le domaine juridique relatif au secteur d’activité de son entreprise (droit bancaire, droit immobilier, droit social…)
  • Avoir des bases en informatique et maitriser les bases de données juridiques
  • Se tenir informer sur les évolutions et modifications des lois

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Le salaire moyen d’un(e) juriste  :

En général, on débute sa carrière entre le SMIC et 1 800 euros brut par mois, et on peut espérer gagner 6 000 euros brut en fin de carrière.

Cela dépendra du cadre d’exercice, de la spécialité de ce professionnel, du degré d’expertise, de la taille de l’entreprise…

Formations & Diplômes pour devenir juriste  :

Le poste de jutiste est accessible avec un diplôme de niveau BAC+5 au minimum.

Une formation en droit de type master est le plus souvent demandée pour accéder à ce métier.

A noter que le juriste est de plus en plus souvent spécialisé : droit social, droit des affaires, droit de l’environnement, droit public… Cette spécialisation peut s’acquérir lors du master.

Le magistère « Diplôme de Juriste Conseil d’Entreprise » (DJCE) se prépare en trois ans, à partir de la licence 3, en même temps qu’un master de « juriste des affaires ». Ce diplôme peut se préparer dans 11 centres universitaires en France en lien avec la Fédération Nationale pour le Droit en Entreprise (FNDE, Paris).

Une double formation, à la fois juridique et dans un autre domaine (économique ou financière, ressources humaines, marketing…) constitue un atout important pour accéder à ce métier. Par ailleurs, pour travailler dans une grande entreprise, une expérience préalable en cabinet peut être exigée.

 

Enfin, une bonne connaissance de l’anglais, voire d’une seconde langue étrangère, est aujourd’hui indispensable dans toutes les entreprises travaillant à l’international.

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Le peintre en bâtiment réalise les finitions dans le cadre de chantiers de construction ou de rénovation. Après avoir lessivé, décapé, repris les défauts des murs, plafonds et menuiseries, il protège ce qui ne doit pas être peint.

Outre le fait de peindre le peintre en bâtiment est amené à appliquer des résines, vernis, poser du papier peint, moquette, réaliser des décors en patine, imitation bois, faux marbre…

En fin de travail, il nettoie le chantier et enlève les protections. Le métier demande de la précision, du soin et une certaine condition physique.
Avoir le sens de couleurs et du goût est également indispensable pour conseiller le client dans ses choix de teintes.

Les missions d’un(e) peintre en bâtiment  :

  • Montage des échafaudages
  • Protection du mobilier et des sols avec des bâches
  • Identifier la nature du support
  • Sécurisation d’une zone de chantier
  • Préparation les supports à enduire
  • Préparation des produits à appliquer : peinture, coloration, résines, …
  • Pose des revêtements muraux

Les compétences :

Le/la peintre en bâtiment doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Le sens du contact
  • Savoir coordonné une équipe
  • Être polyvalent
  • Avoir une bonne condition physique et être endurant

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Un savoir irréprochable sur les techniques et caractéristiques des peintures
  •  Bonnes connaissance des supports de revêtements
  • La capacité à établir des devis
  • Capacité à manipuler des outils
  • Maîtrise des règles de sécurité sur un chantier

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Le salaire moyen d’un(e) peintre en bâtiment  :

En général, on débute sa carrière entre le SMIC et 1 800 euros brut par mois, et on peut espérer gagner entre 2 100 et 3 000 euros brut en fin de carrière.

Formations & Diplômes pour devenir peintre en bâtiment  :

Le poste de peintre en bâtiment est accessible avec un diplôme de niveau CAP ou équivalent.
Le CAP est la formation de base au métier. Un Brevet Professionnel (BP),un Bac pro et une Mention Complémentaire permettent de se perfectionner…
Dans le cadre de la formation continue, il est possible également de passer un Brevet de Maîtrise, qui prépare aux fonctions d’encadrement d’équipe ou de chef d’entreprise.
Sous une autre forme, l’apprentissage et le perfectionnement peuvent se faire au travers des Compagnons du Devoir. Après le CAP et une évaluation, celle-ci peut comprendre un « tour de France » permettant d’enrichir son expérience professionnelle, d’acquérir des techniques particulières…
Le permis de conduire B (VL) est demandé sur de nombreux postes ;pour certains travaux, une formation à la prévention des risques électriques ou une attestation de compétences au montage d’échafaudages est exigée.

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Le maréchal-ferrant est le spécialiste de la locomotion des équidés adultes et de la pose de fers. Il « pare » les pieds (enlève l’excédent de corne), ajuste les fers au pied du cheval puis pose des fers en fonction de l’activité de l’équidé.

Après avoir identifié les défauts d’aplomb, de pied ou la boiterie, et pris les mesures nécessaires, il détermine le parage ou la ferrure qui pourra rectifier la démarche du cheval. Il réalise alors les fers et leur donne forme en chauffant, martelant… le métal sur la forge. Il pose le fer sur le sabot du cheval et enfin le broche. Il en profite pour tailler les cornes.

Les missions d’un(e) maréchal(e) ferrant(e)  :

  • Entretenir la locomotion du cheval
  • Examiner l’aplomb du cheval et choisir le type de fer le plus adapté à fabriquer
  • Chauffer une barre de métal dans la forge, et la martèle jusqu’à obtenir la forme souhaitée
  • Ferrer ou poser tout type de fer en préservant le confort de l’équidé
  • Gérer le fonctionnement de son atelier

Les compétences :

Le/la maréchal(e) ferrant(e) doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Etre calme
  • Organisation
  • Geste précis
  • Grande résistance physique

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Des connaissances de l’anatomie du cheval, de son appareil locomoteur et de biomécanique
  • Maîtrise des règles de sécurité et d’hygiène autour du cheval
  • Connaissances des différentes techniques de contention

 

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Le salaire moyen d’un(e) maréchal(e) ferrant(e)  :

En général, on débute sa carrière entre le SMIC et 1 800 euros brut par mois, et on peut espérer gagner entre 2 100 et 3 000 euros brut en fin de carrière.

Un indépendant est payé à la ferrure. Le tarif varie en fonction de la complexité du travail à réaliser, des matériaux utilisés…

Formations & Diplômes pour devenir maréchal(e) ferrant(e)  :

Le poste de maréchal(e) ferrant(e) est accessible avec un diplôme de niveau CAP.

L’exercice de l’activité exige une qualification de niveau CAPA minimum. Au-delà :

– le Brevet Technique des Métiers permet d’approfondir les techniques du métier

– le Brevet des Métiers certifie un haut niveau de pratique et des compétences en gestion

– le titre « Meilleurs Ouvriers de France » (MOF, reconnu au niveau Bac + 2) atteste d’un haut niveau de savoir-faire technique et d’une production de qualité.

 

Un minimum de connaissances sur les chevaux, acquises au préalable, reste un sérieux atout pour se diriger vers cette activité.

Pour s’installer comme artisan, il faut s’inscrire auprès de la Chambre de Métiers de son département. Une formation complémentaire à la gestion est alors vivement conseillée.

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Le carreleur-mosaïste est le professionnel de la pose du carrelage sur les murs et les sols. Il prépare les supports en appliquant un enduit pour les égaliser et un produit favorisant l’accrochage des carreaux. Il calcule le nombre de pièces nécessaires pour recouvrir la surface et définit leur meilleure disposition. Il réalise la découpe de certains carreaux, effectue soigneusement la pose avec de la colle ou du ciment en vérifiant que l’ensemble soit bien de niveau. Il réalise enfin les joints pour assurer l’étanchéité.

Les missions d’un(e) carreleur(se)-mosaïste :

  • Préparer les surfaces (la plus saine et lisse possible)
  • Habille les murs, parois et sols avec du carrelage ou de la mosaïque
  • A l’extérieur il effectue le dallage d’une terrasse ou pose le revêtement de la piscine
  • En cas de rénovation, enlève le revêtement existant

Les compétences :

Le carreleur(se)-mosaïste doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Habilité manuelle
  • Organisation
  • Sens artistique
  • Etre rigoureux
  • Bonne résistance physique

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Des connaissances sur les matériaux de revêtement et des techniques de pose de carreaux
  • Encadrer des équipes
  • Connaître et respecter les consignes de sécurité sur un chantier
  • Maîtriser les techniques de traçage, les normes d’isolation phonique ou thermique

 

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Le salaire moyen d’un(e) carreleur(se)-mosaïste :

En général, on débute sa carrière entre le SMIC et 1 800 euros brut par mois, et on peut espérer gagner entre 2 100 et 3 000 euros brut en fin de carrière.

Des primes de déplacement et des primes de panier peuvent se rajouter au salaire de base.

Formations & Diplômes pour devenir carreleur(se)-mosaïste  :

Le poste de carreleur(se) est accessible avec un diplôme de niveau CAP carreleur.

Il est possible de poursuivre par un Brevet Professionnel et un Brevet de Maîtrise, qui permettent de perfectionner la pratique, d’accéder plus rapidement à l’encadrement de chantiers ou qui préparent à l’installation comme artisan. Dans le cadre de la formation continue, la branche du bâtiment propose un Certificat de Maîtrise Professionnelle « carrelage – revêtement mosaïque » aux titulaires d’un Bac pro ou de la qualification de compagnon professionnel, assortis d’une expérience professionnelle d’au moins 5 ans dans la spécialité.

L’apprentissage et le perfectionnement dans le métier peuvent se faire au travers de la formation des Compagnons du Devoir. Après le CAP et une évaluation, celle-ci peut comprendre un « tour de France » permettant d’enrichir son expérience professionnelle et d’acquérir des techniques particulières…

Le titre « Meilleurs Ouvriers de France » MOF, reconnu au niveau Bac + 2) atteste du meilleur niveau de savoir-faire technique.

 

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Le gouvernant est responsable de l’entretien et du confort des chambres, des parties communes dans un hôtel ou une structure d’hébergement collectif. Il planifie le travail des valets de chambre et des employés de lingerie, en se basant sur les indications de la réception (clients qui partent ou qui vont arriver…). Il contrôle l’exécution du ménage et informe le service de maintenance des incidents rencontrés (ampoules grillées, fuites d’eau…). Il gère le stock des produits d’entretien, l’approvisionnement en linge et produits d’accueil.

Les missions d’un(e) gouvernant(e) :

  • Veiller au confort et au bien-être des clients dans un établissement hôtelier
  • Prendre en charge la gestion du service d’étages en coordonnant, contrôlant et planifiant l’activité du personnel d’étages
  • Gérer les stocks de produits, consommables, linge…

Les compétences :

Le/la gouvernant(e) doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Sens du relationnel
  • Organisation
  • Sens pratique
  • Etre rigoureux
  • Bonne résistance physique

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Encadrer des équipes
  • Des connaissances sur l’application des normes d’hygiène et de sécurité
  • Évaluer la charge de travail en fonction des réservations

 

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Le salaire moyen d’un(e) gouvernant(e) :

En général, on débute sa carrière entre le SMIC et 1 800 euros brut par mois, et on peut espérer gagner entre 2 100 et 3 000 euros brut en fin de carrière.

Formations & Diplômes pour devenir gouvernant(e) :

Le poste de gouvernant(e) est accessible avec un diplôme de niveau BAC.

Un diplôme de l’hôtellerie comme le Brevet Professionnel (BP) et une expérience dans le secteur permettent d’acquérir les savoir-faire du métier. Pour certains établissements (de grand standing notamment), un Bac techno puis un BTS du secteur constituent le cursus le plus adapté.

A noter que deux Certificats de Qualification Professionnelle (CQP) peuvent conduire au métier ; ils sont accessibles aux jeunes souhaitant compléter leur formation initiale, aux salariés en poste, aux demandeurs d’emploi

 

Enfin, la pratique de l’anglais est souvent appréciée, voire exigée dans les établissements accueillant une clientèle internationale.

Comme dans plusieurs corps de métiers, le titre « Un des Meilleurs Ouvriers de France » (MOF, niveau Bac + 2) vient mettre à l’honneur l’excellence et le savoir-faire du professionnel. Il s’obtient par la réussite à un concours national.

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Le brancardier Agent des services hospitaliers, le brancardier est responsable du transport des malades entre les murs des centres de soins. Sa fonction est à distinguer de l’ambulancier, qui les déplace hors des établissements. De fait, transporter un malade ne constitue par une manoeuvre anodine : elle exige, selon l’état de santé du patient, une technique particulière. Le brancardier tient par ailleurs un rôle particulier auprès du patient, il veille sur sa sécurité et sait se montrer à l’écoute du patient.

Les missions d’un(e) brancardier(ère) :

  • Assurer la sécurité du patient dans le cadre d’une maintenance régulière du matériel
  • réapprovisionner le stock de produits à usage unique du plateau technique
  • A partir du planning, vérifier toutes les conditions de la prise en charge en amont auprès du personnel soignant
  • Assurer le brancardage entre le pôle EH et les différents services de soins internes et externes, dans les délais impartis
  • Effectuer le transport des défunts dans une zone intermédiaire

Les compétences :

Le brancardier(ère) doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Sens du relationnel
  • Capacité à travailler en équipe Autonomie
  • Maîtrise de soi
  • Capacité à mettre en confiance
  • Sens du service
  • Sens de l’organisation et des priorités
  • Rigueur

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Le salaire moyen d’un(e) brancardier(ère) :

En général, on débute sa carrière entre le SMIC et 1800 euros brut par mois, et on peut espérer gagner entre 1800 et 2100 euros brut en fin de carrière.

Dans le secteur privé, la rémunération minimale est fixée par la convention collective auquel appartient l’établissement.
Dans la fonction publique, la rémunération varie selon le corps auquel appartient ce professionnel et ensuite en fonction de l’ancienneté, selon le barème de la grille indiciaire.

Formations & Diplômes pour devenir brancardier(ère) :

Le poste d’agriculteur(trice) est accessible avec un diplôme de niveau collège.

Chaque établissement de santé recrute selon ses propres critères (lettre, CV, entretien), sans condition de diplôme. Différents points peuvent représenter un atout vis-à-vis d’un employeur :
– une première expérience en milieu hospitalier et la connaissance des règles d’hygiène spécifiques à ce secteur
– le fait d’avoir suivi la formation « Prévention et Secours Civiques de Niveau 1 » (PSC 1, dure une journée).
La formation au métier est délivrée en interne par l’établissement qui recrute, mais il existe aussi de nombreuses formations proposées par des organismes privés.
D’autres établissements de santé recrutent des personnes ayant la qualification d’ambulancier, voire d’aide-soignant.

Pour exercer, il est obligatoire :
– de posséder « l’Attestation de Formation aux Gestes et Soins d’Urgence » (AFGSU) de niveau 2 délivrée à la suite d’une formation spécifique (3 jours)
– d’être reconnu apte physiquement aux activités de manutention.
Dans cette profession, certains vaccins sont recommandés ou peuvent être obligatoires.

Dans la fonction publique hospitalière, les brancardiers peuvent avoir le statut d’Agent des Services Hospitaliers (ASH).

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L’agriculteur peut être propriétaire ou occuper des terres en fermage (c’est-à-dire en location). En fonction de la taille de son exploitation, il peut embaucher des ouvriers, saisonniers ou permanents, qu’il encadre.

Travail de la terre, techniques d’élevage, conduite et réparation des équipements agricoles, gestion comptable et administrative, suivi de la politique agricole commune… font partie du quotidien de ce professionnel rural.

Les missions d’un(e) agriculteur(trice) :

Pour les éleveurs :

  • Assurer l’alimentation et la reproduction des animaux
  • Surveiller leur développement et leur état de santé
  • Gérer les stocks de nourriture
  • Vendre les animaux ou commercialiser leurs productions (lait, œufs, …).

Les compétences :

L’agriculteur(trice) doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Capacité de gestion et d’organisation
  • Sens du commerce
  • Bonne résistance physique et habileté
  • Goût pour le travail en plein air
  • Assiduité
  • Polyvalence

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Le salaire moyen d’un(e)agriculteur(trice) :

En général, un agriculteur gagne un revenu moyen de 30 360 euros par an, soit 2 530 euros par mois, un montant qui comprend les subventions et aides. Ils peuvent gagner un salaire de complément.

Formations & Diplômes pour devenir agriculteur :

Le poste d’agriculteur(trice) est accessible avec un diplôme de niveau CAP.

Même s’il reste possible d’accéder au métier par l’expérience, sans formation préalable, il est fortement conseillé de se former afin d’évoluer dans la profession. Le Cap BEP en production agricole est une première étape pour accéder à des postes d’ouvriers agricoles.

Pour appréhender la fonction de plus en plus complexe de chef d’exploitation, un Bac Pro Conduite et Gestion de l’Exploitation Agricole, Brevet Professionnel de Responsable d’Exploitation Agricole -BPREA, ou un BTSA (brevet de technicien supérieur agricole) sont conseillés et même nécessaires afin d’être éligible aux financements de soutien de l’Etat aux exploitants débutants.

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Le tatoueur décore la peau. Il perfore la couche superficielle de la peau avec un dermographe (machine électrique reliée à une aiguille qui insère des pigments colorés sous la peau).

Le tatoueur doit tout d’abord être à l’écoute des souhaits du client. Ensuite, il essaie de concilier souhaits du client et faisabilité, c’est-à-dire ce qu’il peut vraiment réaliser.

Les missions d’un(e) tatoueur(euse) :

  • Conseiller les clients sur la faisabilité de tel ou tel dessin
  • Fournir des informations utiles et obligatoires afin que les clients fassent le bon choix
  • Réaliser le dessin du futur tatouage ou proposer au client un book
  • Reproduit le dessin par pochoir ou décalcomanie
  • Prépare le matériel dans le respect des règles sanitaires en vigueur
  • Effectue le tatouage

Les compétences :

Le/la tatoueur(euse) doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Sens du relationnel
  • Etre à l’écoute
  • Sens de la créativité
  • Etre rassurant
  • Etre patient

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Bonne connaissance des techniques de tatouages
  • Maîtrise des machines
  • Excellente connaissance des règles sanitaires et de sécurité
  • Exceller dans l’art du dessin

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Le salaire moyen d’un(e) tatoueur(euse) :

En général, le salaire du tatoueur varie en fonction de son expérience, de sa clientèle et de sa notoriété. Le contrat en temps partiel est fréquent.

Le salaire varie entre 1 000 € et 2 000 € mensuels.

Formations & Diplômes pour devenir tatoueur(euse) :

l existe une seule formation reconnue pour exercer le métier de tatoueur :

Le diplôme officiel d’artiste tatoueur (niveau bac +2) : Ecole française de tatouage.

Cette formation intègre aussi l’attestation de formation obligatoire pour exercer ainsi que l’attestation PSC1 (prévention et secours civique de niveau 1). Elle est accessible à tous les profils artistiques.

L’apprentissage du métier de tatoueur peut se faire par ailleurs en autodidacte, auprès d’un tatoueur expérimenté, en stage (6 mois) ou en salarié débutant. Certains fournisseurs d’équipement proposent des stages (qui se limitent à l’utilisation de leur matériel).

Cependant, l’apprenti tatoueur devra suivre une formation obligatoire aux règles d’hygiène et de salubrité auprès d’un organisme habilité. Durée : minimum 21 heures réparties sur 3 jours consécutifs.

 

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