Alors que vous vous préparez à votre prochain entretien d’embauche, vous cherchez à mettre toutes les chances de votre côté. Déterminé(e), vous avez toutes les compétences qu’il faut pour décrocher le poste. Mais cela ne suffit pas. Il arrive en effet parfois que, malgré les diplômes et la motivation, les recruteurs ne soient pas conquis après une première impression qui les laisse pantois. Et si nous passions de l’autre côté du bureau, le temps d’un article, en nous mettant à la place du recruteur. Comment énerver les recruteurs au plus haut point ? Quelles gaffes les candidats font-ils pour passer à côté du job de leurs rêves ? Explications sous forme de conseils… à ne surtout pas suivre !

Allez-y la fleur au fusil, les mains dans les poches

Le candidat qui n’a rien préparé : c’est l’une des bêtes noires des recruteurs. Se rendre à un entretien d’embauche sans même avoir pris la peine de se renseigner sur l’entreprise, sa raison d’être, ses collaborateurs, c’est un moyen sûr de faire perdre son temps au recruteur… et de le lui faire comprendre.

Comment éviter ce faux-pas ? : Aujourd’hui, il est impensable de ne pas trouver d’informations concernant une entreprise, quelle qu’elle soit. Google est votre ami… mais il y a également LinkedIn et les réseaux sociaux sur lesquels l’entreprise communique activement ou de manière occasionnelle.

Arrivez quelques minutes en retard et surtout ne vous excusez pas

Arriver à l’heure, voire en avance, est un signe de politesse. Pour montrer au recruteur qu’il est la dernière de vos priorités dans la liste des tâches à accomplir le jour même, arrivez en retard, frais comme un gardon, et surtout, ne vous excusez pas. S’ils vous veulent vraiment, c’est à eux de s’adapter !

Comment éviter ce faux-pas ? Un retard est toujours possible. Néanmoins, s’il est possible de l’éviter le jour de l’entretien, c’est mieux… La veille, ou quelques jours avant, renseignez-vous quant aux moyens de transport à votre disposition pour vous rendre sur place et prévoyez de la marge. La politesse fait partie des critères les plus importants pour les entreprises, alors… autant commencer sur une note positive !

 

Ne parlez que de vous

« Moi je », « Je pense que », « Personnellement »… lorsqu’elles s’accumulent ces expressions font bouillir les recruteurs. Et cerise sur le gâteau, si vous voulez vraiment faire très fort, placez une ou deux fois : « si j’étais à votre place… ». Généralement, vous atteignez la porte de sortie en un temps record, escorté(e) ou non.

Comment éviter ce faux-pas ? Certes, vous êtes à l’entretien pour parler de vous… mais pas seulement ! Montrez que vous vous intéressez à l’entreprise, parlez des autres, de votre équipe. Dans le bureau d’un recruteur, souvenez-vous que vous n’êtes pas le centre du monde.

 

Esquivez les questions

Une question trop personnelle ? Une question qui vous met mal à l’aise ? En deux temps, trois mouvements, évitez-la. Avec de la chance, le recruteur n’y verra que du feu. Ou… il/elle verra rouge… Car lorsqu’un candidat ne répond pas aux questions, cela ne veut-il pas dire qu’il ou elle ne se soumet pas aux ordres de la hiérarchie ?

Comment éviter ce faux-pas ? Certes, il y a des questions que l’on préfèrerait éviter. Mais il y a également des moyens de répondre aux questions difficiles intelligemment, en transformant le négatif en positif. Pour ce faire, il n’y a qu’une solution : la préparation en amont.

 

Restez muet(te) ou répondez par monosyllabes

Lorsqu’il doit vous soutirer des informations, si le recruteur doit faire preuve de patience et d’ingéniosité, il y a des chances pour que sa tension augmente au fil des minutes. Pour être sûr(e) de ne pas décrocher le job, répondez par « oui » ou par « non ». Roi ou reine du silence, abusez également de moues et de hochements de tête. Ça énerve au plus haut point.

Comment éviter ce faux-pas  : Les réponses très (trop) courtes mettent les recruteurs mal à l’aise. Même si vous êtes stressé(e), il est important de faire preuve de motivation. Une question doit être propice à l’ouverture d’une conversation. Ne confondez pas « entretien d’embauche » avec « interrogatoire de police »… c’est important pour la suite des opérations.

 

Quelle que soit la raison pour laquelle vous devez vous soumettre à un entretien d’embauche, la préparation est le maître mot. Et si vous contactiez le spécialiste en la matière ? VAST RH, cabinet de conseil en ressources humaines, met ses compétences à votre disposition pour faire, de chaque expérience, une réussite. Contactez-nous pour discuter de votre projet.

Oubliez le présent. Oubliez votre âge. Oubliez les contraintes. Répondez à une seule question : « Que voulez-vous faire de votre vie ? ». Une question qui en suscite une dizaine d’autres (qui êtes-vous ? qu’est-ce qui donne un sens à votre vie ? où voulez-vous être dans cinq ans ? comment y parviendrez-vous ?…). Vivre sa passion exige un effort mental et une prise de conscience. L’exercice n’est pas sans risque, mais le jeu en vaut la chandelle. À terme, vivre sa passion se transforme en satisfaction durable, car vous finissez par faire ce que vous aimez vraiment. Et puis… vivre sa passion, c’est tout à fait possible !

 

La passion selon Larry Smith

« Cet après-midi, j’aimerais discuter avec vous… les raisons pour lesquelles vous n’aurez jamais une grande carrière ». C’est ainsi que Larry Smith commence son TED Talk. Dans une conférence pinçante, pleine d’humour, l’économiste américain dévoile sans ambages les multiples (et absurdes) excuses que les gens inventent lorsqu’ils ne parviennent pas à satisfaire leurs passions. Une liste de raisons introduites par des « oui mais », complétées de « si » et de « peut-être »…

Larry Smith définit la passion comme un sentiment puissant, qu’il convient de distinguer d’un simple intérêt. « La passion est la chose qui vous aidera à créer la plus haute expression de votre talent. La passion, l’intérêt, ce n’est pas la même chose. ». La passion va bien au-delà de l’intérêt. Il est possible d’avoir une liste de 20 choses que l’on trouve intéressantes et qu’une seule d’entre elles nous attire tout particulièrement. C’est dans celle-ci que se situe la passion.

L’économiste va plus loin, expliquant, toujours avec beaucoup d’humour, que si nous sommes effrayés par le mot « destin » et que nous nous contentons de ce qui est « intéressant », nous passons à côté de formidables opportunités.

Alors, pourquoi sommes-nous si peu nombreux à poursuivre notre passion ? La peur d’avoir l’air ridicule, peur d’essayer, peur d’échouer. Ce sentiment puissant, cette peur, se présente comme une barrière infranchissable à laquelle on trouve bien des excuses. Il explique également la raison précise pour laquelle la plupart d’entre nous n’auront jamais une grande carrière.

À moins que…

 

Un rêve (pourtant) accessible

Vivre sa passion, c’est faire face à son destin, à ses peurs et à ses angoisses, pour enfin se révéler soi-même. Alors que, pour tant d’individus, vivre sa passion restera toujours un rêve, d’autres le transforment en réalité. Comment ?

  • Ayez confiance en vos propres possibilités :  pour vivre votre passion, il faut dépasser les barrières et les limites que vous vous imposez à vous-même. Ayez confiance en vous et nourrissez-vous d’idées positives et inspirantes ;
  • Créez un environnement propice à la réussite. Soyez attentif aux autres, aux lieux et aux situations qui vous entourent. Côtoyez des personnes admirables, trouvez des mentors et éloignez-vous d’individus toxiques ;
  • Investissez en vous-même, car c’est ainsi que vous vous développerez personnellement.
  • Maximisez chacune des 86 400 secondes par jour dont vous disposez. Le temps est précieux ; évitez de le gaspiller. Planifiez votre journée, fixez-vous des objectifs clairs et poursuivez-les avec passion, conviction, énergie et enthousiasme.
  • Créez de la valeur et utilisez les traits, les talents et les compétences uniques que vous possédez en vous.
  • Dites « oui » aux opportunités lorsqu’elles se présentent. Vous gagnerez en expérience, en sagesse et en caractère. Gardez l’esprit ouvert et soyez toujours conscient des personnes et des situations qui peuvent vous faire voir les choses différemment.
  • Prenez les responsabilités et ne condamnez jamais les autres. Vous êtes seul responsable de votre vie et, pour suivre votre passion, vous ne pouvez pas attendre en restant assis à espérer qu’une occasion se présente.
  • Soyez prêt à faire des erreurs et apprenez à prendre des risques et à faire face à l’incertitude. Le meilleur professeur est l’échec, ne l’oubliez pas.
  • Conservez une vision claire et nette, c’est-à-dire une image globale de la direction que prend votre vie. Tel un sportif, concentrez-vous sur la ligne d’arrivée et la récompense en fin de course.
  • Gardez l’équilibre : émotionnellement, mentalement, spirituellement, physiquement et sur le plan relationnel, il est important de conserver un mode de vie équilibré. Vivre sa passion, c’est également organiser sa vie en fonction de ce que l’on veut faire.

 

Vivre sa passion est tout à fait accessible. La plupart d’entre nous, pour mettre les choses en marche, ont besoin d’un coup de pouce. Et si nous parlions de votre passion ?

 

 

Nous passons une grande partie de notre vie au travail. 99 117 heures plus précisément, soit l’équivalent de 11,5 années complètes. Ces chiffres suffisent à faire réfléchir. Si le travail est épanouissant, qu’il est accompli dans des conditions optimales, il peut apporter du bonheur et impacter positivement sur chaque individu. C’est pour cette raison que certaines personnes trouvent, dans leur travail, bien plus qu’un simple salaire…

Pour la simple raison qu’une large partie de votre existence est consacrée au travail, il importe de savoir si vous êtes heureux(se) ou non dans le poste que vous occupez actuellement. Si la manière dont le bonheur au travail se manifeste différemment selon les individus, les ingrédients de base, quant à eux, restent toujours les mêmes. Dans cet article, nous vous proposons de revenir sur les fondamentaux du bonheur au travail.

 

La liberté

Nous sommes peu nombreux à apprécier que quelqu’un regarde par-dessus notre épaule en disant « Il faudrait changer ceci », « Il vaut mieux faire comme cela »…

En admettant que l’on vous confie la gestion d’un projet en vous accordant une confiance quasi-aveugle basée sur votre créativité, vous retirerez de votre travail un grand sentiment de confiance et de joie. Vous aurez véritablement l’impression d’avoir fait la différence.

La liberté est un élément fondamental du bonheur au travail. Elle permet à un adulte de se sentir considéré comme tel, c’est-à-dire une personne digne de confiance, capable de répondre aux besoins de l’entreprise et de produire un résultat satisfaisant.

Cette liberté signifie également qu’il est important d’avancer sans être remis(e) en question à chaque étape. Ainsi, elle est importante au quotidien dans tous les aspects de nos vies, dont le travail fait bien évidemment partie.

Les relations positives avec les autres

Les personnes que vous côtoyez au travail sont des contacts que vous n’avez pas choisis. Néanmoins, elles sont inévitables et il va sans dire que la qualité de vos relations a un impact significatif sur votre bonheur au travail. De nombreuses personnes estiment d’ailleurs que les collègues avec qui elles travaillent sont l’une des principales raisons pour elles de se sentir bien dans leur entreprise.

Les relations entre collègues, lorsqu’elles sont bonnes, ont un impact positif sur la concentration et la productivité au travail. Elles contribuent également à minimiser le niveau de stress au travail.

Les tâches stimulantes

Qui trouve de la satisfaction se lever le matin pour aller remplir des feuilles Excel à longueur de journée ? L’une des raisons du bonheur au travail est directement liée au fonctionnement de notre cerveau. En effet, ce dernier doit être stimulé… mais cela ne signifie pas nécessairement que le travail en lui-même doit l’être. Ainsi, une personne qui pense que ses activités sont intéressantes, quelles qu’elles soient, se procurera un grand sentiment de plaisir.

Considérer le travail comme une vocation

Et si vous envisagiez votre activité comme une « vocation » et non comme un simple job ?

Si vous pensez que votre travail n’est qu’un moyen de payer les factures et de remplir le frigo, vous le traiterez comme tel. En revanche, si vous le considérez comme une vocation et que vous en appréciez l’impact positif, vous serez plus heureux(se) de l’accomplir.

La communication positive

Prenez le temps de tendre l’oreille pendant les réunions, les face à face, à la cantine, dans les couloirs… Les entreprises dans lesquelles les employés sont heureux sont celles qui font usage de communication positive. A coups de bienveillance, d’encouragements et de mots bien choisis, il est possible de transformer les individus et de les rendre plus heureux.

La flexibilité

La flexibilité au travail ne concerne pas uniquement le fait de faire face à l’inattendu ou aux situations exceptionnelles comme les urgences, les congés maternité, etc. Elle est davantage liée à l’art de conjuguer vie personnelle et vie professionnelle pour trouver une forme d’équilibre.

Télétravail, horaires flexibles… la flexibilité peut se traduire en véritable bonheur au travail et fait partie des fondamentaux, elle aussi.

Les opportunités de carrière

Qu’il s’agisse de la vie de tous les jours ou de la vie professionnelle, nous avons tous besoin d’avancer pour arriver quelque part. Chaque être humain doit pouvoir espérer que demain sera meilleur qu’aujourd’hui, et qu’en travaillant dur, nous pouvons y arriver.

Ce même principe s’applique au lieu de travail, dans la mesure où il engendre un grand sentiment de bonheur à partir du moment où nous savons que nous pouvons évoluer et progresser au sein de l’entreprise. Quelle que soit la manière dont cette dernière choisit de faire de ce principe une réalité, une culture d’entreprise positive est une voie éprouvée vers le bonheur au travail.

 

Parmi les fondamentaux du bonheur au travail, le(s)quel(s) connaissez-vous aujourd’hui ? Sur le(s)quel(s) pouvez-vous agir ? Et si vous en discutiez avec un conseiller VAST RH à l’occasion d’un Bilan de Compétences ?

Chez VAST RH, le coaching est une prestation qui a du sens. Il prend la forme d’un véritable accompagnement, dans la mesure où les personnes qui en bénéficient constatent leur propre évolution vers un objectif précis. Entretien avec Fabien Meli, consultant en évolution professionnelle chez VAST RH.

Le coaching, pour qui ? Pour quoi ?

Chez VAST RH, les bénéficiaires du coaching sont tantôt des hommes et des femmes qui souhaitent se faire accompagner, avec l’envie d’atteindre un objectif et de lever des barrières. Ce sont également des personnes qui, à l’issue d’un Bilan de Compétences, par exemple, réalisent que le coaching est la solution pour aller de l’avant.

Qu’il s’agisse d’un challenge personnel ou professionnel (les deux étant souvent intimement liés), la mission du coach est d’identifier la source du problème. « Il s’agit de passer de l’impossible au possible » affirme Fabien Meli. Notre consultant en évolution professionnelle s’attelle alors à la tâche, en faisant prendre conscience de certaines choses à son client. En partant d’une simple question, comme « Quelle sera votre vie demain ? », l’idée est de projeter le bénéficiaire vers une vie qui lui ressemble, celle dont il a vraiment envie. Pour ce faire, il faut également outrepasser les barrières et autres croyances limitantes qui empêchent le projet de voir le jour. Il s’agit de changer de vision pour envisager une autre possibilité et avoir plusieurs choix.

 

Être honnête avec soi-même, être honnête avec son coach

Toujours les pieds sur terre, le coach amène progressivement son interlocuteur à prendre conscience des pas à réaliser pour avancer dans le sens souhaité. « Vous souhaitez gagner 5000 euros par mois : aujourd’hui, c’est difficilement envisageable, mais demain ? Que faut-il faire pour arriver à ce niveau de rémunération ? ».

Le processus de réflexion et le cheminement semblent évidents et pourtant, bon nombre d’hommes et de femmes éprouvent le besoin de se faire coacher. « Nous sommes conditionnés par notre environnement » explique Fabien. Le regard extérieur, l’écoute et le conseil apportés par un consultant RH prennent rapidement la forme d’un guide bienveillant, qui nous amène vers des horizons semblant jusqu’alors inatteignables.

« Il faut être honnête avec soi-même et honnête avec son coach » dit Fabien Meli. Pour qu’il y ait un résultat, le coach doit devenir votre meilleur ami, votre confident. Il ou elle vous dira ce que vos amis les plus proches n’oseront jamais vous dire.

Objectif à atteindre et amorce du changement

« Dans le coaching, le changement a déjà été amorcé. Celles et ceux qui se font accompagner se montrent engagés à 100 %, avec la volonté d’atteindre un véritable objectif ». Au départ, c’est précisément l’identification d’un objectif qui fait défaut aux bénéficiaires. « Nous rencontrons des gens qui naviguent à vue et qui finissent par drifter » dit Fabien. « Ils se laissent porter par la vague et ne contrôlent rien ». Or, dit notre consultant RH spécialisé en évolution professionnelle, « ce que je fais dépend de moi ». Evoluer dans son poste, être heureux avec son conjoint et ses enfants, créer une entreprise et atteindre un chiffre d’affaires annuel spécifique… les objectifs à atteindre sont multiples. Le rôle du coach est d’abord d’aider son bénéficiaire à identifier l’objectif principal.

 

« Neutre et connecté ». C’est ainsi que Fabien se décrit dans son rôle de coach. Ne pas être dans le jugement et savoir apporter, à la personne qui en a besoin, des clés pour évoluer. Père de trois enfants, Fabien Meli a évolué vers son métier de consultant RH en se frottant au monde de Pôle Emploi où il a œuvré comme conseiller. Apporteur d’affaires puis formateur dans un centre de formation, Fabien a repris les bancs de l’école pour obtenir un Bachelor RH. Aujourd’hui, il met ses qualités interpersonnelles, son expérience et son goût de l’autre au service de bénéficiaires chez VAST RH. Un consultant inspirant comme on les aime. Un guide précieux et dévoué avec lequel on se sent à l’aise dès le premier contact.

Ø  Découvrez la prestation de coaching chez VAST RH

Pour rester motivé, saviez-vous qu’en utilisant des techniques de psychologie simple, même lorsque les objectifs sont difficiles ? Les psychologues utilisent des techniques éprouvées, parées à toute épreuve, dans la vie quotidienne comme au travail. Perte de poids, affirmation de soi, démarrage d’une nouvelle entreprise, employabilité… VAST RH vous invite à découvrir 4 moyens imparables pour garder votre motivation et atteindre vos objectifs.

Le pacte d’Ulysse pour s’en tenir à un objectif et rester motivé

Vous vous souvenez très certainement d’Ulysse, ce héros intelligent de la guerre de Troie… Ce que l’on appelle le « pacte d’Ulysse » est une technique qui vise à vous rendre responsable de vous-même et à vous tenir à un seul objectif, même s’il est difficile.

L’ingrédient clé du pacte d’Ulysse, pour rester motivé, est de faire un choix dans le présent, au moment où les choses sont relativement faciles, en vous obligeant à effectuer une action dans le futur, au moment où les choses seront plus compliquées.

La technique du pacte d’Ulysse aide à rester motivé lorsque les choses se compliquent, par le verrouillage d’un comportement futur connu à l’avance.

Le chunking pour découper en morceaux

En psychologie, le chunking est simplement une méthode d’organisation de contenus ou d’informations qui permet de favoriser sa mémorisation à court terme.

Outil de psychologie cognitive, le chunking (que l’on pourrait traduire en « découpage en morceaux ») est destiné à améliorer les performances de la mémoire. Prenez par exemple une série de chiffres : 235574998745254. Comment retenir des nombres aléatoires ? Il est probable que cela soit plus facile en divisant cette série en morceaux : 235-574-998-745-254.

Bien évidemment, le chunking s’applique à bien d’autres domaines que la simple mémorisation des chaînes de nombres ! Le fait de décomposer des tâches et des objectifs en segments plus petits et plus digestes constitue une stratégie redoutablement efficace dans n’importe quelle entreprise. Pour accomplir un projet, mener à bien une tâche, éviter la procrastination, le chunking est le meilleur moyen d’arriver à ses fins et de rester motivé. En outre, le sentiment d’efficacité personnelle est renforcé, au même titre que la conviction de votre capacité à atteindre un objectif avec succès.

Le renforcement positif pour montrer sa gratitude envers soi-même

Qu’il s’agisse de jeunes enfants ou d’employés, tout le monde répond favorablement au renforcement positif. En effet, il s’agit d’un principe fondamental du comportement humain qui dit qu’un comportement est plus susceptible de se produire et d’être durable dans le temps, lorsqu’il est suivi de quelque chose d’agréable ou de gratifiant.

Dans le monde professionnel, par exemple, les collaborateurs sont plus susceptibles de s’adresser à leurs responsables en faisant des suggestions et des commentaires utiles, si ces derniers les écoutent attentivement et les prennent au sérieux en leur faisant part de leur gratitude de leur appréciation.

Si l’équation est simple à comprendre, nous sommes plutôt médiocres lorsqu’il s’agit de faire usage du renforcement positif et de le mettre en place. En effet, celui-ci ne se produit pas naturellement. Nous avons cependant la capacité d’intégrer des mécanismes de renforcement positif à nos propres défis et objectifs. Il suffit, pour cela, de mettre en place un système de récompense par soi-même.

La visualisation pour rester motivé

Si la visualisation d’un résultat semble tout droit sortie d’un livre de psychologie ou d’une théorie bon marché, il n’en est rien ! La visualisation est une pratique très simple et très puissante pour rester motivé. En effet, la représentation mentale d’un objectif et des avantages qui en découlent est spécifique, concrète et à la portée de tout le monde. Plus nous visualisons un objectif accompli, plus nous sommes motivés pour l’atteindre.

Quel que soit votre objectif, prenez le temps de le visualiser, de peindre l’image dans votre esprit de ce à quoi les choses ressembleront lorsque vous l’aurez atteint. Votre motivation sera plus soutenue et vous serez d’autant plus fier.ère d’avoir accompli votre travail.

 

VAST RH vous accompagne pour développer votre employabilité, retrouver un sens dans votre activité et pour mener à bien vos projets. Bilan de compétences, coaching, évaluation de potentiel, formations… Faites appel à VAST RH pour progresser professionnellement !

Quel lien y a-t-il entre le profil personnel d’un individu et son projet professionnel ? À quels défis font face les bénéficiaires d’un bilan de compétences dans le contexte actuel ? Quel est le rôle du consultant ? Sommes-nous tous égaux devant la perte de sens au travail ?

En plus de 20 ans d’expérience dans l’évolution professionnelle, Martine Travaillé a observé des changements profonds dans la manière dont les outils RH résonnent et raisonnent en nous. Décryptage d’une discussion passionnante avec une experte en RH passionnée !

 

Tenir compte du profil personnel dans le projet professionnel

Quelques années en arrière, le bilan de compétences impliquait la concentration du conseiller et du bénéficiaire sur le seul environnement et projet professionnels. Aujourd’hui, notre experte en psychologie et bilan de compétences se donne plus de latitude, partant du principe que tout projet professionnel est nécessairement lié à un contexte personnel.

« On ne peut pas ne pas tenir compte des problématiques personnelles » affirme Martine. Par exemple, une personne qui, a une confiance en soi amoindrie sera d’autant plus affaiblie en cas de harcèlement au travail.

En outre, « un projet professionnel est toujours lié à un projet d’entreprise » indique Martine Travaillé. « Si les deux ne sont pas équilibrés, il y a dissonance ». Dans ses propos, notre coach met en avant l’importance, pour l’entreprise en quête de réussite et de profitabilité saine, de tenir compte de la diversité et de la richesse des profils.

 

Les salariés sont devant des projets d’entreprise qui ne leur correspondent plus

Au gré de l’évolution technologique et de la course à la productivité, dans un contexte de crise sanitaire difficile pour beaucoup, les individus font face à des projets d’entreprise qui ne correspondent plus à leur personne. « On en demande de plus en plus aux salariés » indique Martine Travaillé. Dans son bureau, elle accueille des bénéficiaires qui ne sont pas (ou plus) en accord avec les exigences de l’entreprise.

Pour Martine, le projet de l’entreprise doit prendre en compte le projet individuel. Or, l’organisation peut aller à contresens du confort humain. Les faits et chiffres sont formels : le nombre de personnes qui ne se sentent plus bien au travail est en augmentation. Au-delà de ce qui ne fait plus lien avec l’entreprise, il s’agit aussi de trouver la source des problématiques plus personnelles, en dehors de la sphère professionnelle.

« Nous sommes tous mus par des schémas neuronaux », explique Martine. Mon travail est d’accompagner la personne dans le repérage des schémas dysfonctionnels pour les rendre fonctionnels dans un contexte plus actuel ». Martine se sert d’outils empruntés à la Thérapie des schémas.

 

Se poser, identifier l’origine de son mal-être, comprendre et changer de schémas

La mise à jour des schémas neuronaux – ceux à l’origine du ou des comportements à modifier parce qu’inadaptés – est une tâche quelquefois ardue. Elle nécessite de se poser, de prendre du recul. Un exercice difficile lorsque l’émotion est encore bien présente. Se poser est nécessaire pour détricoter le mécanisme à l’origine du mal-être. Détricoter pour retricoter un chemin neuronal plus approprié.

Un accompagnement individuel s’étend sur dix séances d’une heure. Une durée souvent suffisante pour s’approprier des outils. L’entretien initial commence souvent par : « Je suis noyé(e) ». La personne sent une forme d’emprise et il s’agit, pour le consultant, de décortiquer le mouvement de la pensée, d’identifier quelle pensée automatique induit un comportement qui génère de la souffrance.

Le rôle de Martine est de transformer la pensée automatique en pensée adaptée. L’objectif est de supprimer la charge émotionnelle associée à la pensée : un exercice délicat, puisque la pensée automatique vient tout droit de l’inconscient. De séance en séance, le travail permet à la personne de se rendre compte qu’elle peut agir sur ses pensées automatiques. « C’est un peu comme lorsque l’on apprend à jouer de la guitare » explique Martine, « au début, le mouvement des doigts qui se baladent sur le manche n’est pas naturel. Il faut penser le mouvement, l’anticiper, préparer la note suivante. Après, tout devient automatique. »

 

Inégalités par rapport à la situation actuelle et à la perte de sens

Nos différences nous amènent à penser, agir et réagir au monde selon des mécanismes qui nous sont propres.

Nous ne vivons pas la crise sanitaire actuelle de la même manière. Elle peut être, pour certains d’entre nous, une invitation au changement ; une opportunité à rebondir. Elle s’avère être pour les autres un véritable obstacle et une source de fragilisation.

Face à ce double sens du sens donné aux événements, l’accompagnement consiste à comprendre et se comprendre pour pouvoir se projeter au mieux de qui nous sommes.

 

Titulaire de plusieurs masters et d’un parcours en psychanalyse et psychologie, Martine Travaillé a aussi parcouru le monde et fait l’expérience de la réussite, du doute et de la remise en question.

Aujourd’hui, elle œuvre avec passion pour répandre plus largement en France la Thérapie dite des Schémas Précoces, approche plus largement développée aux Etats-Unis par J. Young, son fondateur.

Inspirée par des maîtres à penser comme Irvin Yalom, elle œuvre en créant des liens et en puisant de son vécu des exemples qu’elle n’hésite pas à partager, faisant ainsi de ses accompagnements une alliance qui lui est propre. Elle dit, avec beaucoup d’humilité, qu’une alliance thérapeutique est une œuvre d’art tant ce partage peut être sublimant.