Si le bilan de compétences est connu comme étant un outil capable de faire progresser un individu, il se présente également comme une étape de transition dans une vie entière. Une étape qui, sur plusieurs semaines, fait jaillir des idées, des émotions, voire parfois des larmes.

Le bilan de compétences peut secouer et déranger. Au cœur même de l’action, le consultant RH qui s’inscrit comme un facilitateur, un accompagnateur. Si l’on parle beaucoup de belles histoires et de résultats obtenus à l’issue d’un bilan de compétences, on en dit moins sur celles et ceux qui entrent dans la vie des bénéficiaires, juste avant que ces derniers tournent la page. Interview avec Laurence Pytel, Consultante RH chez VAST RH, qui nous en dit plus sur l’humain derrière les outils et les process.

Laurence Pytel, Consultante VAST RH depuis le début

Laurence Pytel a rejoint VAST RH en 2018, après avoir passé une vingtaine d’années à la direction de centres de profit dans le domaine des produits d’art. Une reconversion professionnelle accompagnée de la naissance de son enfant a été l’occasion pour Laurence de se questionner sur plusieurs sujets. Si le domaine dans lequel elle avait travaillé pendant de nombreuses années l’intéressait, elle de sentait moins à l’aise dans le management d’équipes. En revanche, c’est dans son rôle de formatrice que Laurence s’épanouissait, en formant ses collaborateurs sur les méthodes de vente. « Même si ce n’était pas mon job, j’aimais creuser les potentiels et j’accompagnais les gens de manière informelle dans leur transition » dit-elle. C’est ainsi qu’est apparue l’idée qui, peu à peu, a fait son chemin vers le rôle actuel de Laurence chez VAST RH.

A force de réseautage et de détermination, Laurence s’est ensuite dirigée vers la voie qui l’intéressait en rejoignant un organisme de formation à Paris. A l’époque, elle était chargée de former des jeunes en insertion sur des méthodes de vente tout en œuvrant en tant que coach de jeunes sur le contrat d’autonomie. Laurence a également accompagné des cadres sur un dispositif de Pôle Emploi (Cibl’Emploi).

Nouvelle étape pour Laurence, nouvelle région. Elle quitte Paris pour s’installer dans le Sud et rejoint une association spécialisée dans l’accompagnement à l’emploi. Neuf ans plus tard, Laurence subit un licenciement économique brutal. Cette expérience, même si elle n’en a pas conscience au moment où elle se produit, lui sera très utile dans son rôle de consultante RH… Pour l’heure, Laurence trouve un nouvel emploi dans un cabinet RH dans lequel elle accompagne des personnes licenciées économiques. Les choses s’enchaînent à une cadence infernale… et Laurence décide de prendre le temps de réfléchir à ce qu’elle souhaite vraiment faire…

Accompagner les gens, les encourager à puiser au fond d’eux-mêmes

Aujourd’hui, c’est avec beaucoup de simplicité que Laurence affirme : « J’aime accompagner les personnes. Je souhaite qu’elles en aient envie également ! ». Lorsque j’ai rencontré Stéphane Feuillet, l’actuel dirigeant de VAST RH, le courant est bien passé. Il a trouvé mon profil intéressant et j’ai été séduite par son approche et ses valeurs… beaucoup de cases étaient cochées !

Depuis trois ans, Laurence Pytel réalise des bilans de compétences avec ses bénéficiaires. « Je m’éclate dans mon travail » dit-elle, avec un enthousiasme et une joie de vivre contagieux. Très impliquée dans la création de la nouvelle méthode VAST RH, Laurence s’épanouit dans son rôle de consultante RH en se nourrissant des autres, de ce qu’ils font.

Lorsqu’elle est interrogée sur la qualité principale qui permet d’avancer professionnellement, Laurence parle d’ouverture. « Si le bénéficiaire d’un bilan de compétences est ouvert dès le départ sur le champ des possibles, il/elle a plus de chances d’atteindre le but recherché ». Généralement, le premier contact avec le consultant RH forme l’élément déclencheur qui va entraîner la personne à vouloir avancer. « Le bilan de compétences n’est pas toujours une partie de plaisir » affirme Laurence. « Il secoue, fait apparaître des choses enfouies, parce que l’on demande aux personnes de puiser au fond d’elles-mêmes… ». Une recherche intarissable, semble-t-il, puisqu’à peine revenue d’une séance de partage et d’échange avec l’un de ses collègues spécialiste de l’ennéagramme, Laurence nous confie avoir encore découvert de nouvelles choses sur elle-même…

 

Bienveillante et généreuse, Laurence s’appuie sur sa propre expérience pour nouer une relation avec chacun de ses bénéficiaires. Et « quoi qu’il arrive, le bilan de compétences aboutit toujours à quelque chose » dit-elle. Se découvrir, se connaître, s’accepter tel que l’on est … autant d’objectifs que notre consultante RH cherche à atteindre avec chaque individu. Une aventure humaine dans laquelle elle donne le meilleur d’elle-même et qui la comble chaque jour un peu plus…

Le moniteur d’auto-école enseigne la conduite de véhicules et le Code de la route.

Il assure dans un premier temps, l’apprentissage théorique du Code de la route puis dans un second temps, il donne des leçons de conduite.

Il varie les situations d’apprentissage, amène l’élève vers l’autonomie, tout en l’observant et en intervenant si nécessaire.

Le moniteur d’auto-école peut dans le cadre de ses fonctions être amener à former d’autres moniteurs, mener des actions de prévention en milieu scolaire ou en entreprise.

Les missions d’un moniteur d’auto-école :

  • Préparer et animer les séances du code de la route
  • Expliquer le fonctionnement et le maniement du véhicule
  • Donner les cours pratiques de conduite
  • Adapter le programme d’apprentissage de ses élèves en fonction de leur rythme de progression
  • Analyser avec son élève sa prestation à l’épreuve pratique du permis de conduire
  • Gérer la maintenance et l’entretien des véhicules
  • S’occuper de la gestion administrative de l’auto-école

Les compétences :

Le moniteur d’auto-école doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Etre observateur et réactif
  • Sens de la pédagogie
  • Etre patient
  • Sens du relationnel
  • Bonne résistante physique et nerveuse
  • Etre disponible

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Connaissance des procédures réglementaires et administratives
  • Maîtrise des règles de conduite et de sécurité routière
  • Excellente connaissance des véhicules
  • Avoir une bonne capacité d’adaptation et d’attention

 

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Le salaire moyen d’un moniteur d’auto-école :

En général, on débute sa carrière entre le SMIC et 1800 euros brut par mois, et on peut espérer gagner 2100 euros brut en fin de carrière.

Certains moniteurs bénéficient parfois de l’utilisation du véhicule école en dehors de leur temps de travail, ce qui constitue un avantage en nature.

Formations & Diplômes pour devenir moniteur d’auto-école :

Le poste de moniteur d’auto-école est accessible avec un diplôme de niveau BAC+2.

L’exercice de la profession exige la possession d’une autorisation préfectorale accordée aux candidats :

– âgés de 20 ans minimum

– reconnus aptes à l’exercice de la profession par un médecin agréé par l’Etat

– ne faisant pas l’objet de condamnations incompatibles avec l’exercice de la profession

– titulaires de la catégorie B du permis de conduire dont le délai probatoire est expiré

– titulaires du Titre Professionnel Enseignant de la Conduite et de la Sécurité Routière (TP ECSR).

 

Il n’existe pas de diplôme pour l’enseignement de la conduite des bateaux ; seule la possession des permis correspondants (mer et rivière) est indispensable.

Mentionnons d’autres diplômes du domaine d’activité :

– le Brevet d’Aptitude à la Formation de Moniteur (BAFM), qui permet de former les futurs moniteurs

– le Brevet d’Animateur pour la Formation des Conducteurs Responsables d’infractions (BAFCRI).

 

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« Dépêche-toi », « Sois fort », « Sois parfait », « Fais plaisir », « Fais un effort » … L’une de ces expressions retentit-elle plus fort dans votre esprit ? Les injonctions parentales, ces fameux « drivers », sont ancrées en nous et conditionnent nos comportements, notre manière de penser et de communiquer. Zoom sur les drivers qui nous habitent…

Fais plaisir

« Pense aux autres avant de penser à toi-même », « Donne ton jouet au petit garçon qui n’a rien », « Laisse-la passer avant toi » … Le driver « Fais plaisir » rime avec la dévotion, la gentillesse et l’attention aux autres… pour mériter qu’ils nous aiment.

Alors qu’il est parfaitement honorable d’être gentil et de faire plaisir aux autres, cela se fait parfois au détriment de soi-même. En conséquence, les personnes « trop gentilles » se laissent envahir trop rapidement. Elles ne sont pas prêtes au conflit et ont du mal à décider, prêtes à aider les autres, même si on ne leur demande rien.

Sois parfait

Dans votre enfance, vous avez peut-être souvent entendu des phrases comme « peut mieux faire » ou encore « tu aurais pu t’appliquer ». En d’autres termes, vous avez été amené.e à penser que lorsqu’on fait quelque chose, on le fait parfaitement. Ou pas du tout.

Vous êtes certainement pointilleux.se, excellent vérificateur et… vous hésitez lorsqu’il s’agit de déléguer. La perfection vous caractérise et vous produisez certainement un excellent travail. Mais le contrôle est chronophage… Si la barre est placée trop haut, vous risquez de laisser passer des opportunités…

Sois fort

« Il n’y a que les bébés qui pleurent », « Arrête de gémir et montre que tu es fort.e »… Les personnes dont le driver principal est « Sois fort » sont mues par le résultat. Elles ont tendance à intérioriser leurs émotions et savent être autonomes. Résistantes au stress, elles savent gérer les situations problématiques et se montrent capables de prendre des risques. Souvent, elles ne demandent d’aide à personne, allant jusqu’à éprouver du mépris pour celles et ceux qui en ont besoin.

Le « sois fort » conduit celles et ceux qui en sont remplis de ne pas montrer leur ressenti, au risque de dévoiler une forme de faiblesse. Durs avec eux-mêmes, ils cherchent à dominer et peuvent être perçus comme étant intolérants envers les autres qui, eux, apparaissent comme étant faibles.

Dépêche-toi

« Ben alors, tu n’as pas encore fini ? », « Arrête de traîner ! », « A ce rythme, on y sera encore à Noël ». Les personnes dont le driver principal est « dépêche-toi » vivent une perpétuelle course contre la montre. Il faut être efficace, car le temps est précieux. Les décisions doivent se prendre rapidement : on va droit au but et tout le reste n’est que futilités.

Les personnes pressées réagissent vite, se montrent impatientes et cherchent des solutions rapides pour gagner du temps. Le risque, pour ces personnes, est de ne pas aller jusqu’au bout des choses. Souvent en tête de peloton, elles considèrent les autres comme des « mous », s’affligeant une perception d’elles-mêmes qui n’est pas toujours positive.

Fais un effort

« Trop facile, tu n’as aucun mérite ! », « C’est tout ce que tu as fait ? » … Les personnes qui sont animées essentiellement par le driver « Fais un effort » pensent qu’il ne faut jamais reculer devant l’effort. Pour cela, il faut persévérer pour y arriver. Parce que, pensent ces personnes, l’effort finit toujours par payer.

Le driver « Fais un effort » pousse les individus à se dépasser et à reconnaître l’effort des autres. Parfois perçus comme sévères, ils peuvent considérer ceux qui n’en font pas assez comme des paresseux, même si cela n’est pas vrai. Ils ne valorisent pas leurs efforts et considèrent parfois le travail des autres comme quelque chose de trop facile à accomplir, sans effort nécessaire.

 

Connaître son driver principal est important, dans la sphère professionnelle comme dans la vie privée. Chaque jour, VAST RH accompagne des femmes et des hommes qui cherchent à mieux se connaître pour définir leur avenir plus clairement et aller jusqu’au bout de leurs objectifs. Et si vous rencontriez un consultant VAST RH ? Trouvez l’agence la plus proche et bénéficiez d’un premier entretien gratuit.

Le garagiste est un mécanicien automobile installé à son compte.

Il reçoit les clients, établit un diagnostic et établit un devis avec la nature et le coût des interventions à réaliser.

Il gère le planning des réparations et répartit le travail au sein d’une équipe plus ou moins étoffée.

Il participe aux interventions sur les véhicules, conseille les mécaniciens sur les opérations complexes, vérifie que les temps d’intervention sont respectés…

Comme tout chef d’entreprise, il gère un budget, négocie avec ses fournisseurs, met en place de nouvelles offres pour la clientèle.

Rigueur, bon relationnel et capacités de management lui sont nécessaires.

Les missions d’un garagiste :

  • Réparer les pannes
  • Remplacer les pièces usées et les composants cassés
  • Démonter et remonter les pièces du véhicule.
  • Tester le véhicule afin de vérifier que le problème est résolu
  • Effectuer les activités d’entretien ordinaire du véhicule

Les compétences :

Le garagiste doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Sens du contact
  • Sens de l’accueil
  • Avoir une bonne condition physique
  • Etre consciencieux et habile de ses mains

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Des connaissances de tous les nouveaux équipements
  • Maîtrise des règles de sécurité
  • Capacité d’adaptation aux nouveaux véhicules
  • Maîtrise des outils de diagnostic

 

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Le salaire moyen d’un garagiste :

En général, on débute sa carrière entre le SMIC et 1800 euros brut par mois, et on peut espérer gagner entre 4000 et 5000 euros brut en fin de carrière.

Les revenus du garagiste peuvent être très variables selon la taille et la localisation de son garage, le dynamisme de son activité…

Formations & Diplômes pour devenir garagiste :

Le poste de garagiste est accessible avec un diplôme de niveau CAP ou équivalent.

Pour gérer son entreprise, le garagiste doit obligatoirement :

– posséder un CAP, un Bac Pro ou un BTS en mécanique automobile ou justifier de 3 ans d’expérience professionnelle dans le même domaine.

– s’inscrire au Répertoire des Métiers de la Chambre de Métiers de son département.

Un certain capital est également nécessaire avant d’envisager de se mettre à son compte.

 

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