L’œnologue est un expert aux connaissances techniques et scientifiques rompues. Vignerons, cavistes et laboratoires font appel à lui car c’est un spécialiste de la vinification et de la qualité du vin. Si dans l’imaginaire collectif, le métier d’œnologue semble se limiter à la dégustation, il est en réalité bien plus riche et complet. L’œnologue va suivre toute la vie du vin : du choix du raisin à sa mise en bouteille et à sa commercialisation.

Les missions d’un(e) œnologue-conseil :

  • Il accompagne et conseille les viticulteurs dans la production de leurs vins. Il intervient sur tout le processus d’élaboration du vin de la production du raisin jusqu’à la mise en bouteille.
  • Il analyse les raisins, vérifie leur maturité et recommande la période des vendanges.
  • Il surveille les vinifications, propose les assemblages à réaliser.
  • Il déguste régulièrement pour surveiller l’élevage du vin, pratique des échantillonnages et les fait analyser en laboratoire. En fonction des résultats observés et des propos recueillis auprès du producteur, il conseille sur les traitements à réaliser.

Les compétences :

L’œnologue doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Sens du contact
  • Patience
  • Rigueur
  • Sens de l’organisation
  • Passion du vin et de la gastronomie
  • Ouverture d’esprit

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • En biochimie
  • En analyse chimique et microbiologique
  • En biologie de la vigne
  • Travail en équipe

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Le salaire moyen d’un(e) œnologue-conseil :

Salaire brut mensuel d’un débutant : 2100 €

Formations & Diplômes pour devenir œnologue-conseil :

Après le bac : Le diplôme national d’œnologie se prépare en 2 ans après un bac + 3 (licence en sciences biologiques, chimiques, agronomiques…) ou un bac + 2 (BTS agricole viticulture-œnologie) suivi d’une licence professionnelle ou un BUT.

Devenir œnologue nécessite obligatoirement le DNO, diplôme national d’œnologue de niveau bac + 5. 6 universités proposent la formation DNO :

  • La Faculté d’Œnologie de l’Université Victor Segalen Bordeaux 2
  • Le centre de formation et de recherche en Œnologie de l’Université de Montpellier 1
  • Le centre de formation en Œnologie de l’Agro-Montpellier
  • Centre de formation et de recherche en Œnologie de l’Université de Reims
  • Centre de Viticulture-Œnologie de Midi-Pyrénées
  • L’Université de Bourgogne – Institut Jules Guyot

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On connaissait déjà la semaine de 4 jours, le droit à la déconnexion, le zéro papier, le zéro mail, les vacances illimitées et l’entreprise libérée… Aujourd’hui, c’est de slow working dont il est question. Une tendance qui aboutit, disent ses adeptes, dont les coachs RH, au bonheur au travail. On en parle ?

 

Slow working : on travaille plus lentement, c’est ça ?

Pas du tout ! L’expression n’est pas à interpréter à la lettre. On ne déplace pas ses mains sur le clavier en analysant toutes les touches au préalable. On ne lève pas le stylo au ralenti, on ne se déplace pas d’un bureau à l’autre à petits pas. Le slow working, c’est tout … sauf ralentir !

En réalité, il s’agit d’un est un concept qui nous invite à changer notre rapport au travail pour nous rendre plus performants et surtout… pour rendre le travail plus agréable.

Crise sanitaire, burn-out, stress… l’épidémie de l’épuisement professionnel est bel et bien réelle. À tel point que les concepts visant à nous rendre plus heureux au travail connaissent un succès sans précédent, à l’image de la semaine de 4 jours évoquée par la ministre néo-zélandaise en 2020 pour relancer l’économie du pays.

Travailler moins, mais mieux : c’est ainsi que Diane Ballonad Rolland, auteure du premier ouvrage sur le slow working, définit ce concept. Cette coach spécialisée en gestion du temps et équilibre de vie professionnelle et personnelle apprend, à ses clients et lecteurs, à concilier sérénité et efficacité au travail. Le slow working, c’est donc le dosage d’efforts, l’octroi de pauses et surtout… un rythme de travail qui nous correspond mieux.

 

Comment pratiquer le slow working ?

La pratique du slow working passe essentiellement par la gestion du temps de travail. Faire les choses simplement pour être efficace. Tout réside dans l’art de bien maîtriser et savoir utiliser son temps. Pour ce faire, pas besoin d’outils numériques très sophistiqués : un simple bloc-notes et un stylo suffisent. On définit des priorités parmi la longue to-do list, puis on les découpe en tâches réalisables durant la semaine.

Le slow working passe également par une planification du temps… qui, elle aussi, prend du temps. Prendre, ne serait-ce que trente minutes ou une heure par semaine pour décider des tâches à accomplir avant de commencer à travailler, est un véritable gain de temps en soi. Une routine facile à mettre en œuvre, qui permet ensuite d’accepter ou de refuser des charges de travail supplémentaires.

Le slow working exclut l’immédiateté, ce déclencheur de stress inutile qui va de pair avec la société dans laquelle nous vivons. En effet, en travaillant uniquement dans le moment présent, nous sommes parfaitement… inefficaces. À force de combattre le feu jour après jour, heure par heure, nous nous écartons de l’essentiel. Autant d’éléments dont il faut se séparer en pratiquant le slow working : notifications incessantes, appels téléphoniques, réunions surprises, etc.

 

Notre relation au temps peut devenir toxique. Le slow working, c’est l’art de se recentrer sur ce qui est important et d’être bienveillant avec soi-même. Le jeu en vaut la chandelle puisque cette philosophie de vie aboutit à un meilleur équilibre entre vie privée et vie professionnelle. Prêt.e à essayer ?

Un agent immobilier est un intermédiaire entre le propriétaire et l’acheteur du bien. Son rôle est de mandater un propriétaire qui souhaite vendre ou louer son bien. Après la conclusion du contrat, il aura pour objet de trouver un acheteur ou un bailleur et de transmettre l’offre ou l’acte de location au propriétaire.

Les missions d’un agent immobilier :

  • Chercher des biens immobiliers à vendre ou à louer
  • Signer un mandat avec le propriétaire
  • Définir le prix de vente ou de location et le cas échéant le coût des charges
  • Passer des annonces et afficher les biens immobiliers disponibles dans son agence,
  • Faire visiter le bien immobilier à l’acquéreur ou à la personne désireuse de louer le logement
  • Recueillir les offres d’achat ou les dossiers présentés par les candidats à location,
  • Présenter les offres d’achat ou les dossiers locataires au propriétaire,
  • Accompagner les deux parties dans la signature du compromis de vente ou du bail

Les compétences :

L’agent immobilier doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Mobilité
  • Goût du contact humain
  • Rigueur
  • Capacité d’organisation
  • Avoir le goût pour le commerce

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Des connaissances techniques en immobilier pour savoir évaluer les prix des biens de la manière la plus juste possible
  • Des compétences juridiques
  • Des compétences administratives pour assurer le suivi des dossiers
  • Des compétences commerciales afin de mener des négociations efficaces
  • Des compétences en marketing et communication pour promouvoir les biens qui lui sont confiés.
  • Des compétences managériales pour animer son équipe de négociateur.

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Le salaire moyen d’un agent immobilier :

La rémunération d’un agent immobilier est très variable, en fonction des agents et des périodes de l’année. Un agent immobilier débutant peut gagner entre 1 500 et 4 000 € brut par mois.

Formations & Diplômes pour devenir agent immobilier :

Les professionnels de la transaction immobilière sont généralement issu d’un BTS Professions Immobilières (BTS PI), une formation en immobilier de deux ans correspondant à un Bac+2.

Des diplômes type commercial comme le BTS NDRC ou le BTS MCO permettent également de devenir agent immobilier. Des écoles, reconnues par la profession, délivrent elles aussi des diplômes d’agent immobilier : l’École Supérieure des Professions Immobilières (ESPI) , l’Institut National Supérieur de l’Immobilier (INSI), l’École supérieure de l’immobilier (ESI), l’Institut du management des services immobiliers (Imsi), l’École française de l’administration de biens (Efab, pour le titre de négociateur immobilier). De plus en de titres professionnels permettent de se former à un métier de l’immobilier en moins d’un an : ces formations conviennent notamment aux personnes en reconversion professionnelle.

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Secrétaire médicale, une profession au service des patients et des spécialistes du monde médical. Le secrétaire médical est un spécialiste du secteur de la santé et des services sociaux. Il est le bras droit du médecin. L’aide et les soins personnels sont ses priorités. Il essaie toujours d’aider, d’apporter du soulagement et le bien être.

Il doit être à l’écoute des patients et de leurs familles pour les rassurer et les guider de manière appropriée. Pour chaque patient, il recueille également toutes les informations nécessaires à la création de son dossier médical.

Les missions d’un(e) secrétaire médicale :

  • Accueil physique et téléphonique
  • Suivi complet des dossiers médicaux des patients (création, mise à jour, archivage)
  • Réception et rédaction du courrier
  • Gestion des emplois du temps, avec rendez-vous à prendre et à confirmer
  • Gestion des stocks (matériel médical)
  • Enregistrer et communiquer aux unités concernées les éléments d’information relatifs aux soins d’un patient

Les compétences :

Le secrétaire médicale doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Sens du relationnel
  • Patience
  • Organisé(e)
  • Rigoureux et méthodique

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Être à l’aise avec les outils informatiques (logiciels médicaux et bureautiques classiques)
  • Avoir des connaissances de base sur les termes médicaux
  • Respecter le secret médical
  • Savoir gérer les priorités, distinguer ce qui est urgent de ce qui ne l’est pas
  • Maîtriser l’orthographe, l’expression écrite et orale
  • Savoir gérer les appels téléphonique
  • Savoir s’adapter à la personnalité des médecins dont il dépend

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Le salaire moyen d’un(e) secrétaire médicale :

Salaire moyen : 1400€ – 1900€* (net)

*Un secrétaire médical qui travaille dans le privé ne touche pas le même salaire qu’un secrétaire médical qui travaille dans le public.

Formations & Diplômes pour devenir secrétaire médicale :

Il n’y a pas de diplôme d’Etat spécifique pour devenir secrétaire médical. La profession est disponible après la fin des études professionnelles :

  • Bac pro Accueil-relation clients et usagers,
  • Bac pro Accompagnement, soins et services à la personne,
  • Bac technologique ST2S (sciences et technologies de la santé et du social).

Après le lycée, il est recommandé de suivre une formation spécialisée en secrétariat médical proposée par les écoles de la Croix-Rouge (huit écoles en France) ou par l’Université (DU technicien d’information médicale) ou par le CNED (titre certifié) .

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Doté d’un esprit créatif et d’un sens de la précision, le pâtissier confectionne toutes sortes d’entremets, de viennoiseries et de confiseries. Que ce soit dans une pâtisserie ou dans un restaurant, ses créations enchantent les pupilles et les papilles de ses clients.

Dans ce métier, l’habileté manuelle, la créativité et la sensibilité gustative sont indispensables. La fragilité des produits de base utilisés impose soin et rigueur dans le suivi des recettes et strict respect des normes d’hygiène.

Les missions d’un(e) pâtissier(e) :

  • Choisir les ingrédients qu’il va utiliser
  • Confectionner des produits de pâtisserie en respectant les règles d’hygiène
  • Travailler en coordination avec l’équipe de vente
  • Développer de nouvelles recettes
  • Gérer les stocks de matières premières et les relations commerciales avec ses fournisseurs
  • Effectuer des commandes,
  • Réaliser des inventaires réguliers

Les compétences :

Un pâtissier doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Le sens du commerce
  • Avoir une habilité manuelle
  • Être aimable et souriant
  • Une bonne communication orale
  • Avoir une bonne condition physique et être endurant

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Maitrise des techniques de fabrication de produits sucrés et salés
  • Bonne culture culinaire
  • Maitrise de l’ensemble des spécialités de pâtisserie
  • La capacité à créer de nouvelles recettes
  • Les techniques de vente
  • Capacité à associer des goûts
  • Maîtrise des règles d’hygiène et de sécurité alimentaires

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Le salaire moyen d’un(e) pâtissier(e) :

La rémunération peut démarrer aux environs de 1.800 euros brut par mois, afin de pouvoir obtenir environ 3.000 euros brut par mois en fin de carrière.

Formations & Diplômes pour devenir pâtissier(e) :

Le poste de pâtissier est habituellement accessible avec un diplôme de niveau CAP ou équivalent. Au-delà, le Brevet ou Bac Professionnel permettent de développer des compétences en gestion et en commercialisation. Comme dans de nombreux métiers de l’artisanat, la reconnaissance suprême dans la profession est l’obtention du titre de Meilleur Ouvrier de France (MOF, reconnu au niveau Bac + 2), qui atteste d’un haut niveau de savoir-faire technique et d’une production de qualité.

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Véritable bras droit du vétérinaire, l’auxiliaire vétérinaire accueille et conseille les clients. Il a pour mission première d’assurer à la fois le secrétariat médical et d’apporter une assistance sur certains types de soin. Dans le cadre de ses activités de gestionnaire et de secrétaire : il suit précisément les dossiers des clients et de leurs animaux de façon individuelle et tient au courant le vétérinaire des changements.

Ayant la fibre commerciale, l’auxiliaire vétérinaire joue un rôle essentiel dans la démarche de conseil et d’assistance au client dans leurs achats d’accessoires, de produits d’hygiène ou de nourriture animalière. Il a également un rôle de soutien technique et médical pour la partie médicale et chirurgicale.

Les missions d’un(e) auxiliaire vétérinaire :

  • Gestion des rendez-vous et de l’agenda du vétérinaire
  • Suivi et mise à jour des dossiers
  • Gestion des stocks de fourniture
  • Vente de produits spécialisés (aliments, antipuces, …)
  • Entretien des instruments et des locaux
  • Nettoyage des cages
  • Préparation du bloc chirurgical
  • Suivi des animaux hospitalisés
  • Assistance lors des soins et des interventions chirurgicales

Les compétences :

Un auxiliaire vétérinaire doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Le sens du contact
  • Avoir une maitrise de soi
  • Être polyvalent
  • Une bonne communication orale
  • Avoir une bonne condition physique et être endurant
  • Avoir de la compassion

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Un savoir irréprochable dans le domaine pratique, technique et médical
  • Bonnes qualités rédactionnelles et organisationnelles
  • La capacité à avoir une bonne organisation
  • Capacité de réactivité en cas d’urgence
  • Maîtrise des règles d’hygiène
  • Connaissances sur l’anatomie et la morphologie des animaux

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Le salaire moyen d’un(e) auxiliaire vétérinaire :

La rémunération peut démarrer aux environs de 1.600 euros brut par mois, afin de pouvoir obtenir environ 1.800 euros brut par mois en fin de carrière.

Formations & Diplômes pour devenir auxiliaire vétérinaire :

Le poste d’auxiliaire vétérinaire est accessible avec un diplôme de niveau BAC ou équivalent. Aucun diplôme n’est exigé pour exercer le métier d’auxiliaire vétérinaire.

Toutefois, APFORM est le seul organisme de formation habilité par le GIPSA (organisme certifiant les formations du secteur vétérinaire), qui propose aux personnes ayant 18 ans minimum, deux cursus :

– « Auxiliaire Vétérinaire Qualifié » (AVQ) dans le cadre d’un contrat de professionnalisation d’un an. Ce Certificat de Qualification Professionnelle est accessible aux candidats ayant le Bac.

– « Auxiliaire Spécialisé Vétérinaire » (ASV) dans le cadre d’un contrat de professionnalisation de deux ans, ou d’un contrat d’apprentissage. Ce titre homologué est accessible aux candidats titulaires d’une formation de niveau Bac. Le titre obtenu est reconnu au niveau Bac.

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