Les vacances sont sacrées. Nous utilisons nos congés avec parcimonie, nous les attendons avec grande hâte et les savourons au maximum lorsqu’ils s’offrent enfin à nous. Il est tout à fait normal de ressentir un peu de nostalgie lorsque les vacances prennent fin et qu’il faut retourner au travail. Parfois, cependant, une petite tristesse peut prendre la forme d’une angoisse qui perdure, au point de se demander si ce ressenti n’est pas lié à un besoin de changement : rester ou quitter votre poste ?

Pour valider vos impressions, il convient de se poser les bonnes questions. S’agit-il d’une simple question de transition ou d’une véritable nécessité de changer de carrière ? VAST RH vous aide à faire le point à travers 8 questions essentielles.

 

1. Combien de temps votre pause a-t-elle duré ?

En matière d’arrêt de travail, même lorsqu’il s’agit de congés, plus la durée est longue, plus il est normal de se sentir contrarié à l’idée d’y retourner. Quelle que soit la raison qui nous impose de ne pas travailler pendant plusieurs jours, plusieurs semaines, voire plusieurs mois, la routine s’inscrit rapidement comme quelque chose de normal et acceptable. Par conséquent, le fait de se sentir nerveux et malheureux quant à l’idée de retourner au travail après une interruption de deux semaines n’est pas nécessairement inquiétant. Ce n’est que le reflet de la nature humaine.

En revanche, lorsque des interruptions d’une semaine ou moins prennent fin, une angoisse répétée peut indiquer un réel besoin. Il peut s’agir d’un besoin de congés supplémentaires tout comme un signe précurseur d’épuisement professionnel.

 

2. À quelle fréquence êtes-vous angoissé(e) par rapport à l’idée de retourner au travail ?

Si des sentiments de crainte se manifestent une ou deux fois par an – notamment après les vacances d’été et les longues vacances d’hiver, par exemple – il n’y a rien d’alarmant. Chaque être humain a besoin de prendre une pause et il est tout à fait normal de se sentir déstabilisé lorsqu’elle se termine.

En revanche, si vous êtes submergé(e) par l’angoisse à la fin de chaque weekend, cela est plus inquiétant. Un arrêt, même court, doit être ressenti comme un changement de rythme rafraîchissant, et non comme une échappatoire.

 

3. Combien de temps vous faut-il pour ne plus penser au travail pendant les vacances ?

Même si cela peut paraître contre-intuitif, l’un des signes révélateurs du stress au travail est le temps qu’il faut pour décompresser, lorsqu’arrivent les congés.

La plupart des individus ont besoin d’un jour ou deux pour se détendre lorsqu’ils ne travaillent plus. En revanche, si vous passez la majorité de votre temps de pause à ressasser mentalement et/ou en parlant à d’autres personnes de vos préoccupations professionnelles, si vous ne parvenez pas à ne plus consulter vos mails et que le travail reste omniprésent dans vos pensées, il est peut-être temps d’y prêter attention.

 

4. À quel moment commencez-vous à vous sentir malheureux ?

En temps normal, il est parfaitement légitime de se sentir un peu nostalgique le dernier jour, voire les deux derniers jours des vacances. Si le retour est anticipé plusieurs jours, voire plusieurs semaines, avant le retour au travail, en revanche, les choses sont plus compliquées.

Certaines personnes, alors qu’elles sont en phase d’épuisement professionnel, montrent des signes d’anxiété à la fin du weekend. Elles sont nerveuses, parfois en colère… D’autres passent la majeure partie de leur weekend à ressasser leur semaine de travail, oubliant de profiter du temps libre dont elles bénéficient. Cette situation n’est absolument pas normale, ni pour l’intéressé ni pour ses proches.

 

5. Quelle est la raison de votre angoisse ?

Être angoissé par rapport à son travail peut relever de deux raisons différentes : soit il manque quelque chose de positif dans le travail, auquel cas ce dernier n’est pas suffisant, pas assez stimulant ou utile. Soit un ou plusieurs éléments négatifs prennent trop d’importance dans le travail, conduisant la personne à ne pas vouloir y retourner. Un phénomène bouleversant, un collègue toxique, un conflit, une pression, des problèmes d’ordre éthique… les raisons possibles sont nombreuses.

Dans le premier scénario, il est tout à fait possible d’exercer un métier dans le cadre de votre fonction actuelle, pour mieux l’adapter. Dans le second cas, un changement de travail peut être la seule façon d’envisager l’avenir, même en restant dans le même secteur d’activité qui lui, peut tout à fait être une source de satisfaction.

 

6. Dans quelle mesure le travail est-il moins important que vos congés ?

Parfois, nous redoutons le retour au travail simplement parce que, relativement parlant, il est beaucoup moins intéressant que notre vie personnelle. Pour bon nombre de personnes, le temps passé en famille n’a pas de prix et le travail arrive loin derrière, en termes de priorités.

La différence de sens entre vie personnelle et vie professionnelle ne doit donc pas faire l’objet d’inquiétude. En réalité, c’est un signe de bonne santé, puisque le travail n’est pas une finalité en soi.

Cependant, si l’écart est notoire ou si votre travail est dénué de sens, peut-être est-il temps d’envisager de modifier votre situation actuelle…

 

7. Combien de temps vous faut-il pour vous adapter au travail ?

Une fois que vous êtes de retour en poste, notez-vous mentalement le temps qu’il vous faut pour vous éloigner des sentiments négatifs. L’adaptation peut prendre un certain temps après un événement marquant comme un décès, un mariage, une naissance. Après une période de congés, si le temps d’adaptation est long, si l’adaptation perdure, si vous sentez plus d’émotions négatives que positives pendant une grande partie de la semaine, il est temps de faire le point.

 

 

Les signes liés à l’angoisse du retour au travail après les vacances ne sont pas nécessairement tous alarmants. C’est la combinaison des signes et leur durée qui doit éveiller des soupçons. Parfois, il suffit de prendre un peu de recul et de faire le point pour se remettre en question et prendre un nouveau départ. VAST RH, cabinet de conseil en ressources humaines, vous accompagne dans votre carrière professionnelle. Et si nous prenions le temps de parler de vous ?

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En 2019, un article paru dans le journal Le Figaro transcrivait les résultats d’une étude sur l’ennui au travail. 63 % des Français étaient touchés par ce phénomène. Les chiffres ont très certainement évolué au gré de la crise sanitaire, mais quoi qu’il en soit, l’ennui au travail semble être une souffrance partagée par un grand nombre de personnes.

Contrairement au « burn-out », syndrome par lequel les employés subissent une pression les rendant incapables de fonctionner normalement, celles et ceux qui s’ennuient au travail (les victimes de bore-out) ressentent le stress de … ne pas avoir assez à faire ! VAST RH vous en dit plus sur un mal insidieux, bel et bien présent dans les entreprises de toutes tailles.

Bore-out : une définition

Le bore-out est un terme inventé initialement inventé par Peter Werder et Philippe Rothlin, deux auteurs suisses allemands, conseillers en organisation. Très simplement, ce terme définit le manque de travail, l’ennui et, par conséquent, le manque de satisfaction au travail.

Différent du burn-out, le bore-out est tout aussi dangereux. Les salariés ne se sentent pas surmenés, bien au contraire. Ils s’ennuient … à mourir ! Le manque de stimulation intellectuelle et créative peut, en effet, avoir un effet délétère sur leur carrière, ainsi que sur leur vie personnelle.

Les salariés qui souffrent du bore-out se sentent épuisés en permanence et, par conséquent, ne trouvant aucune gratification dans leur travail, s’enferment dans la routine au risque de s’effondrer à terme. Résultat des courses : une souffrance pouvant mener jusqu’à la dépression grave.

Difficile d’avouer qu’on est victime de bore-out !

Pour les victimes du bore-out, il est difficile d’identifier le problème, et encore plus d’en parler. La honte, l’incompréhension, la gêne… comment admettre à soi-même et aux autres que l’on est payé pour s’ennuyer au travail ?

Paradoxalement, les victimes de bore-out donnent souvent l’impression d’être très occupées. Sur leurs bureaux, les piles de papiers s’entassent, les documents ouverts abondent sur leurs ordinateurs et nul ne pense à leur donner une ou deux tâches supplémentaires. Dans un article intitulé « Bored to Death » publié dans The International Journal of Epidemiology (A. Britton & M.J. Shipley), il est précisé que les personnes qui s’ennuient au travail ont presque trois fois plus de risques de développer des maladies cardiovasculaires.  En effet, l’ennui multiplie les mauvaises habitudes : grignotage permanent, pauses cigarette de plus en plus nombreuses… jusqu’à l’abus d’alcool au travail.

Le bore-out au travail : à qui la faute ?

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le bore-out au travail n’est pas nécessairement la responsabilité du salarié. Ce dernier ne peut pas être tenu entièrement responsable de l’ennui constant auquel il est confronté. La direction, le management, ont également leur part à jouer, tout au moins lorsqu’il s’agit d’identifier le malaise général d’un salarié qui s’ennuie et faire en sorte de lui redonner la stimulation dont il a besoin pour retrouver de la satisfaction au travail.

Malheureusement, les managers ne sont pas tous aussi avenants lorsqu’il s’agit de proposer de nouveaux défis et projets à leurs équipes…

Est-il possible d’éviter l’ennui au travail ?

Le bore-out peut être évité, bien évidemment. Encore faut-il être dans le bon état d’esprit et dans les meilleures dispositions. En règle générale, les victimes du bore-out sont prises dans un tourbillon qui ne leur permet pas d’activement poursuivre ce qu’elles veulent et encore moins d’identifier précisément les actions à mener pour y parvenir. Coincées dans un travail qui ne leur correspond pas, elles sont un peu comme emprisonnées dans des cages dorées…

Vous êtes victime de bore-out et sentez qu’il est temps de prendre les choses en main. Vous aimeriez entrevoir une progression de carrière ? Une nouvelle mission ? Une formation ? Et si vous en parliez à un consultant RH, capable de vous faire voir les choses avec lucidité et clairvoyance ?

Dès aujourd’hui, contactez l’agence VAST RH la plus proche pour parler de vos besoins !

Être à l’aise dans la vie de tous les jours comme au travail permet de prendre plus de risques, de s’exprimer plus librement et de résoudre les problèmes plus rapidement. Il n’en reste pas moins que le travail offre un environnement au sein duquel les émotions peuvent parfois être considérées comme persona non grata… Peut-on être soi-même au travail ? Si vous avez tendance à continuellement regarder autour de vous avant d’ouvrir la bouche, à analyser ce que vous pouvez et ne pouvez pas dire ou faire, il est temps de parler de sécurité psychologique et d’environnement de travail…

 

Prend-on un risque à être soi-même au travail ?

A bien y réfléchir, une grande partie de ce que nous faisons au travail comporte une part de risque. Que se passe-t-il si votre personnalité déplaît à quelqu’un ? Quelle limite y a-t-il entre un comportement « amical » et une attitude jugée trop familière ? Jusqu’à quel point peut-on être soi-même et se « laisser aller » ?

Il s’avère que la manière dont les équipes permettent aux collaborateurs d’être soi-même au travail engendre d’importantes conséquences. Les récentes recherches sur le sujet indiquent que les environnements de travail dans lesquels les gens se sentent capables de prendre des risques dans leurs interactions avec les autres, sont non seulement plus performants, mais également plus créatifs lorsqu’il s’agit de résoudre les conflits. Cette caractéristique est parfois appelée « sécurité psychologique » ; elle présente de nombreux avantages. Plus encore, elle modifie le travail de manière plutôt surprenante.

 

La sécurité psychologique au-delà du talent

Au travail, il peut être difficile d’exprimer un désaccord avec un collègue. Dans certains environnements professionnels, le risque d’être gêné, rejeté, voire puni pour un comportement jugé « hors-norme » est répréhensible. L’intérêt de la sécurité psychologique est qu’elle permet la prise de risque sans peur des conséquences. Un individu qui évolue dans un contexte professionnel de sécurité psychologique peut ainsi partager des idées différentes sans pour autant se sentir mis à l’écart.

La sécurité psychologique est un concept développé en 1999 par Amy Edmonson, chercheuse à l’Université de Harvard. Elle recouvre des attitudes et des comportements tels que la possibilité de prendre la parole pour dénoncer des problèmes, les signaler, demander de l’aide ou tout simplement faire part d’une opinion différente. La chercheuse a mis en exergue l’intime relation entre sécurité psychologique et apprentissage, mettant en évidence le fait que plus une équipe se sent en sécurité, mieux elle apprend.

Il semblerait que la sécurité psychologique, telle qu’elle a été définie par Amy Edmonson, est aux ressources humaines ce qu’un médicament miracle serait à la science… Les études qui ont suivi celles de Mme Edmonson corroborent ce fait : il a été constaté que la sécurité psychologique est également liée à une meilleure performance et à une plus grande créativité au sein des équipes de travail, jusqu’à avoir un effet positif sur l’engagement et la motivation.

En 2016, une étude de Google a permis au concept de sécurité psychologique de refaire surface, révélant que les équipes les plus performantes n’étaient pas les plus capables ou les plus talentueuses, mais celles qui excellaient à travailler ensemble. La sécurité psychologique, quant à elle, s’est révélé un excellent indicateur de la bonne santé d’une équipe.

 

Pouvez-vous être vous-même au travail ?

La sécurité psychologique fait-elle partie du fonctionnement de votre équipe ? Pouvez-vous vraiment être vous-même au travail ? Pour le savoir, répondez aux 10 questions suivantes :

  • Dans une réunion d’équipe, osez-vous poser des questions sur des choses que vous ne connaissez pas ou que vous ne comprenez pas ? Ou, au contraire, essayez-vous de vous présenter sous votre meilleur jour en cachant certaines ignorances ?
  • Vous sentez-vous à l’aise dans les réunions d’équipe lorsqu’il s’agit de soulever des questions difficiles, des préoccupations et des réserves sur des éléments spécifiques liés au travail, sur « la manière dont les choses sont faites ici » ou sur la qualité du travail de l’équipe ? Ou bien ces conversations ont-elles généralement fait de manière informelle, en dehors des réunions ?
  • Que se passe-t-il lorsque des erreurs, des ratés, des échecs et les incidents critiques se produisent ? Quelle est votre première réaction ? Comment agissent vos collègues ? La première réaction est-elle de s’éloigner pour ne pas être blâmé(e) ? Ou bien, au contraire, l’occasion est-elle utilisée pour apprendre en équipe ?
  • À quelle fréquence donnez-vous ou recevez-vous du feedback de la part de vos collaborateurs et supérieurs ? Dans votre entreprise, exprime-t-on librement des propos, quel que soit le service et quelle que soit la position hiérarchique ?
  • Lors des réunions d’équipe, êtes-vous toujours invité(e) à contribuer, quelle que soit votre position ou votre fonction ?
  • Avez-vous le sentiment que vos compétences et vos talents sont pleinement appréciés et utilisés ? Êtes-vous encouragé(e) à apporter votre contribution de la manière dont vous vous sentez capable de le faire ? Ou bien avez-vous le sentiment qu’on attend de vous que vous vous limitiez à votre fiche de poste et que vous deviez demander la permission de faire autre chose ?
  • Avez-vous parfois eu le sentiment que votre contribution et vos efforts ont été compromis par d’autres membres de l’équipe ?
  • Vous sentez-vous libre de demander de l’aide aux autres membres de l’équipe lorsque vous en avez besoin ?
  • Lors des réunions de l’équipe, les participants ont-ils des conversations par rapport à leur désaccord et leurs points de vue divergents sur certaines questions ? Les réunions d’équipe incluent-elles des discussions et des débats sur des questions liées au travail ?
  • Que savez-vous des membres de votre équipe en tant qu’individus, en dehors du travail ?

 

Les questions ci-dessus vous permettront de dresser un état des lieux par rapport à la manière dont vous pouvez vous comporter dans votre environnement de travail aujourd’hui. Êtes-vous celui ou celle que vous êtes vraiment ? Devez-vous gérer vos émotions pour mieux vous intégrer ? Et si nous en parlions ? VAST RH vous accompagne grâce à des formations adaptées sur ce thème. Prenez contact avec nous pour en savoir davantage !

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Les derniers mois ont été… inhabituels, c’est le moins qu’on puisse dire. Maintenant que l’année scolaire est bel et bien bouclée, que le soleil est de la partie et que nous profitons des sorties et des vacances tout en respectant les gestes barrières, il est temps de se relaxer un peu. Que vous ayez télétravaillé pendant la période de confinement, que vous ayez cherché un emploi ou que vous ayez pris du temps pour vous occuper des enfants, l’été est l’occasion de faire une pause. Et pourquoi ne pas en profiter pour être bienveillant avec vous-même par la même occasion ? VAST RH vous informe.

 

Pourquoi est-il essentiel de vous débarrasser du stress ?

Se reposer est indispensable. Le corps humain n’étant pas une machine, il a besoin de souffler régulièrement. Notre cerveau fonctionne sans relâche, transmettant des mégadonnées d’informations et produisant des hormones de toutes sortes en permanence. L’excitation, la joie, la tristesse et le stress sont autant d’émotions qui forcent notre cerveau à réagir. Le jour comme la nuit, notre cerveau n’a de cesse de s’adapter et, bien évidemment, lorsque l’activité au travail est intense, lorsque la pression monte, notre cerveau est sollicité davantage, devant parfois se surpasser pour nous permettre d’affronter le quotidien.

Il n’est donc pas surprenant que vous soyez fatigué alors qu’arrive l’été, après que vous ayez demandé à votre corps de rester en alerte pendant des mois. Laisser son cerveau s’éloigner du mode « combat » et se détendre un peu engendre des effets positifs sur tout l’organisme et procure une réelle sensation de bien-être.

Dans votre corps, tout est intimement connecté. En aidant votre cerveau à se détendre, vous aidez également votre corps. Diminution du rythme cardiaque, baisse de la tension artérielle, contrôle des pensées, des émotions, des sentiments et de l’humeur… les bienfaits pour la santé sont nombreux !

Ce que votre esprit et votre corps apprennent de vos expériences personnelles vous fait réagir de différentes manières par rapport au stress. Il est donc très utile de savoir comment vous réagissez et d’apprendre à désactiver le système d’alarme naturel dont vous disposez, pour pouvoir vous reposer et profiter d’un moment de détente pendant les vacances !

 

Comment se détendre pendant les vacances d’été ?

Prendre soin de soi physiquement et émotionnellement est une bonne habitude à prendre pour toute une vie. Le repos permet à votre corps de décupler ses capacités de réparation et de récupération.

Respirez !

Le souffle, sans lequel il n’y a pas de vie, doit s’apprécier pleinement pendant les vacances. La respiration profonde aide à favoriser un échange complet d’oxygène et à déclencher les mécanismes d’autoguérison les plus puissants de l’organisme. Une simple activité comme la respiration peut réduire le stress de manière notoire, en diminuant votre rythme cardiaque et en coupant le système d’alarme qui se trouve au niveau de votre cerveau.

Dormez !

Rattraper le sommeil pendant les vacances peut ressembler à un cliché conçu de toutes pièces… Néanmoins, le repos est essentiel pendant les vacances, car il vous permet de vous ressourcer.

Faites le plein d’énergie !

Bien manger est l’une des choses les plus importantes que vous puissiez faire pour prendre soin de vous pendant les vacances d’été. S’autoriser quelques friandises est une chose, mais surveiller de près son alimentation et s’assurer que vous donnez à votre corps ce dont il a besoin pour se rebooster après une année plutôt stressante peut faire toute la différence à la rentrée.

Les repas entre amis, les fêtes qui terminent au petit matin, les événements familiaux… chacun est différent. Il convient d’être conscient de vos propres limites et de prendre soin de vous. 

Faites ce que vous aimez !

À quand remonte la dernière fois que vous avez fait quelque chose que vous avez vraiment aimé ? Par exemple, si vous aimez prendre soin de votre corps, un massage ou une manucure vous ferait-il plaisir ? Si vous aimez lire, mais que vous n’en avez jamais le temps, que diriez-vous d’une petite visite à la bibliothèque locale pour faire le plein ? Avez-vous un don pour l’écriture ? Lancez-vous ! Bricolage, sport, randonnée, jeux de société… quelle que soit l’activité dans laquelle vous trouvez votre bonheur, les vacances d’été sont le moment de vous y consacrer pleinement.

Regardez autour de vous

Sortez et profitez du beau temps. En observant attentivement, vous vous apercevrez que la beauté se trouve partout autour de vous. Si vous le pouvez, offrez un peu de votre temps pour venir en aide à des personnes que vous connaissez et qui traversent une période difficile … ou simplement pour une bonne cause, histoire de vous rappeler que chacun d’entre nous peut faire une différence et que la vie ne se résume pas à nous et à notre propre bulle. Prendre un peu de recul pendant les vacances fait beaucoup de bien !

Passez du temps avec vos amis

Ceux et celles que vous n’avez pas pu côtoyer en chair et en os pendant plusieurs semaines sont autour de vous cet été. Bien sûr, il est important d’avoir de l’espace et du temps libre pour soi-même, mais il est également utile et revigorant de passer du temps avec des amis, ceux qui vous aiment quoi qu’il arrive et avec qui vous vous pouvez vraiment être vous-même.

Rêvez et pensez à l’avenir

Prendre le temps de rassembler ses pensées peut être une excellente façon de se concentrer sur qui vous êtes et sur ce que vous aimeriez devenir. Faites face à vos rêves d’avenir et réfléchissez aux choses qui vous passionnent et vous excitent : tel est le meilleur moyen de retrouver une énergie que vous aviez probablement oubliée ou dont vous ignoriez l’existence ! Surtout, n’oubliez pas de rester fidèle à vous-même. Le fait que vous soyez unique, par rapport à votre propre personne, vos talents et vos capacités, peut changer la donne et vous faire envisager les choses différemment dès la rentrée.

Cet été, faites une pause et soyez bienveillant envers vous-même. Vous le méritez !

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