Le comptable est en charge de la tenue des comptes. Il rassemble, coordonne et vérifie les données comptables. Il réalise les opérations de clôture et établit la liasse fiscale.

Polyvalent, il intervient sur tous les aspects de la comptabilité, il peut aussi intervenir sur la comptabilité analytique.

Le comptable travaille souvent seul grâce aux conseils de l’expert-comptable.

Dans une entreprise plus importante, sous la responsabilité du chef comptable, il travaille avec d’autres collègues. Il est alors souvent spécialisé sur un des aspects de la comptabilité : certains comptes ou certaines étapes comme les opérations de rapprochement bancaire…

Les missions d’un comptable :

  • Gérer les comptes de l’entreprise
  • Réaliser les opérations de clôture
  • Elaborer la liasse fiscale
  • Contrôler les opérations bancaires
  • Etablir les livres comptables
  • Réaliser les paies et les déclarations sociales
  • Préparer les éléments nécessaires à l’établissement des documents de synthèse annuels (bilan et compte de résultat)
  • Réaliser des travaux de gestion (seuil de rentabilité, budget trésorerie, …)

Les compétences :

Le comptable doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Etre rigoureux
  • Sens de l’organisation
  • Etre méthodique
  • Sens du relationnel

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Bonne connaissance des normes juridiques (droit du travail et des sociétés, code des marchés publics), fiscales et comptables.
  • Maîtrise des logiciels informatiques de bureautique et de traitement comptable et fiscal
  • Excellente connaissance de l’entreprise et de sa stratégie

 

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Le salaire moyen d’un comptable :

En général, on débute sa carrière entre le SMIC et 1800 euros brut par mois, et on peut espérer gagner entre 2100 et 3000 euros brut en fin de carrière.

La rémunération varie selon le contexte d’emploi : entreprise privée de plus ou moins grande taille, cabinet d’expertise

Formations & Diplômes pour devenir comptable :

 

Le poste de comptable est accessible avec un diplôme de niveau BAC+2

Plusieurs formations peuvent conduire à ce métier :

– des BTS

– des formations proposées par les Chambres de Commerce et d’Industrie (CCI)

– à Bac + 3, une licence professionnelle orientée vers la comptabilité ou BUT

– le Diplôme de Comptabilité et de Gestion (DCG, Bac + 3) qui constitue l’une des étapes dans la formation d’expert-comptable…

La connaissance du secteur d’activité de l’entreprise et du logiciel comptable qu’elle utilise est parfois demandée dans les offres d’emploi ; elle constitue toujours un atout. L’expérience en cabinet comptable est généralement très appréciée des entreprises.

Les collectivités territoriales, les hôpitaux, les banques… Ont leur propre nomenclature comptable : des formations spécifiques permettent de les appréhender.

Dans la fonction publique, les recrutements s’effectuent sur les concours de rédacteur (niveau Bac) ou d’attaché (niveau Bac+3).

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Salariée dans une entreprise de transports à Marseille, Claire D. ne se sentait plus à l’aise dans son poste. Elle s’est rapprochée de VAST RH pour bénéficier, aux côtés de Laurence Pytel, d’un bilan de compétences. Un accompagnement qui a contribué à la faire progresser et à envisager un avenir qui lui correspond vraiment.

« Depuis 9 ans, mon travail ne me convient pas »

Se rendre à l’évidence, après plusieurs années de poste : il a fallu, à Claire, une bonne dose de courage pour exprimer son ressenti. Salariée dans une entreprise de transports à Marseille, l’impression de ne pas être en phase avec son poste est apparue clairement après 9 ans en emploi. Gestionnaire de budget, Claire possède toutes les compétences nécessaires et s’applique à la tâche, mais elle ne ressent pas la motivation qui l’entraîne à se lever avec joie tous les matins, pour aller travailler.

Cette prise de conscience, qui est la même que bon nombre de personnes dans la même situation, a été suivie d’actions concrètes. Connaissant l’intérêt du bilan de compétences, Claire a décidé de mettre ses heures CPF à profit, pensant à elle-même et à son avenir : c’est vers VAST RH qu’elle s’est tournée, en vue de faire un bilan de compétences.

 

Un bilan de compétences réalisé en dehors des heures de travail

Travaillant quatre jours par semaine, Claire a pu s’octroyer la possibilité de compléter son bilan de compétences en dehors des heures de bureau. D’octobre à décembre 2020, le suivi s’est exclusivement fait sur son temps personnel, le bilan étant cependant pris en charge par le compte CPF de notre bénéficiaire qui, de ce fait, n’a pas eu à financer son accompagnement.

« J’avais besoin de savoir qui j’étais pour m’orienter » dit-elle. Une introspection nécessaire pour avancer, qu’elle n’aurait pas pu réaliser par ses propres moyens.

Le premier contact avec Laurence Pytel, experte en bilan de compétences et formation chez VAST RH, s’est révélé une véritable découverte. D’emblée, Laurence a présenté les tenants et les aboutissants du bilan de compétences et notre bénéficiaire est ressortie avec un élan d’enthousiasme dont elle se souvient encore aujourd’hui.

« Le bilan de compétences », dit Claire, « permet d’apprendre des choses sur soi et de dessiner des chemins… ». Malgré la crise sanitaire, Laurence et Claire se sont adaptées, continuant les entretiens en visioconférence. « A la fin de chaque entretien, j’étais ravie ; c’était une véritable découverte. Laurence a été formidable à tout point de vue. Le feeling général est positif… Le courant est très bien passé entre nous ». Que dire de plus ?

 

Un effort conséquent, mais nécessaire

Se connaître elle-même, réaliser qu’elle a du mal à dire non, parler à son conjoint, comprendre des éléments appartenant à la sphère privée pour les utiliser dans la vie professionnelle… Autant d’éléments qui ont permis, à Claire, de progresser grâce au bilan de compétences.

Entre chaque entretien, Claire a dû faire des recherches, des exercices, compléter des questionnaires, approfondir des notions… Certes, ce travail a pris du temps… mais Claire ne regrette rien, bien au contraire !

Au cours de son accompagnement, Claire a réalisé qu’elle avait un côté créatif qu’elle pourrait tout à fait mettre à profit pour évoluer professionnellement. Souhaitant d’abord devenir décoratrice d’intérieur, notre bénéficiaire a réorienté ses recherches vers un emploi qui lui correspond davantage. A l’heure où nous avons conduit cet interview, Claire s’apprêtait à passer un entretien d’embauche pour un poste dans le marketing. Nous lui souhaitons bonne continuation et l’encourageons dans la voie qu’elle a choisie.

L’esthéticien(ne) est le spécialiste de la beauté du visage et du corps.

En institut de beauté, dans un spa, un centre de remise en forme ou chez un coiffeur…

Il réalise diverses prestations : épilation, nettoyage de la peau, application de crèmes, bains, UV, manucure, maquillage… Il installe le client en cabine, examine son type de peau, lui propose des soins adaptés.

Il profite des soins pour prodiguer des conseils, faire la promotion des produits de beauté qu’il distribue.

Il veille à l’hygiène parfaite de son matériel et des locaux.

Les missions d’un(e) esthéticien(ne) :

  • Pratiquer des épilations sur diverses zones du corps et du visage
  • Effectuer des manucures et des pédicures
  • Pratiquer différents types de massages
  • Déterminer le type de peau de chaque client afin de choisir les produits et les soins appropriés
  • Effectuer des nettoyages de peau plus ou moins profonds selon diverses techniques
  • Maquiller les clientes en tenant compte de plusieurs facteurs : forme du visage, couleur des yeux, carnation naturelle, type de peau, …

Les compétences :

L’esthéticien(ne) doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Sens du contact
  • Sens de l’accueil
  • Etre rassurant
  • Sens de l’organisation

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Connaissance des différents types de peau
  • Maitrise des techniques de soin
  • Maitrise des techniques de massage
  • Connaissance des normes d’hygiène
  • Notion des techniques de vente

 

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Le salaire moyen d’un(e) esthéticien(ne) :

En général, on débute sa carrière entre le SMIC et 1800 euros brut par mois, et on peut espérer gagner 3000 euros brut en fin de carrière.

Les revenus d’un esthéticien dépendent de son statut, salarié ou artisan.

Formations & Diplômes pour devenir d’un(e) esthéticien(ne) :

Le poste d’esthéticien(ne) est accessible avec un diplôme de niveau CAP.

Le CAP est indispensable pour qui souhaite exercer et évoluer dans la profession. Il se prépare en deux ans par voie d’apprentissage ou en lycée professionnel.

Il est possible de poursuivre et de se perfectionner avec un Bac pro, un Brevet Professionnel, un Brevet de Maîtrise ou encore au niveau supérieur avec un BTS.

Ces diplômes peuvent conduire à la direction d’un institut, à des emplois dans le secteur de la vente de produits cosmétiques…

Pour ouvrir un institut de beauté, il faut obligatoirement :

– s’inscrire au Répertoire des Métiers à la Chambre de Métiers de son département

– avoir le CAP ou justifier de 3 ans d’expérience professionnelle

– ou placer cette entreprise sous la responsabilité d’un professionnel possédant la qualification évoquée ci-dessus.

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À l’issue du premier confinement, 25 % des Français envisageaient une reconversion professionnelle. C’est ce qui ressort de l’enquête réalisée par OpinionWay pour le cabinet Emprunte Humaine. Une tendance qui se poursuit, puisque la demande de conseil en évolution professionnelle – dispositif accessible gratuitement au titre de la réforme de 2013 – ne cesse d’augmenter. En quête de sens, les actifs semblent avoir perdu, via le télétravail et autres effets collatéraux de la crise sanitaire, leur lien à l’entreprise, jusqu’à ne plus trouver la petite flamme qui leur permettait de continuer à avancer dans leur travail.

Alors que les démarches de réorientation continuent d’affluer, bon nombre de Français envisagent une reconversion professionnelle. Un changement de cap qui n’est plus réservé aux seuls quadras ou quinquas, mais qui touche tout le monde… et à tout âge. Mais, la crise sanitaire étant passée par là, la reconversion professionnelle a changé de visage. VAST RH fait le point.

 

La reconversion professionnelle post Covid-19

La crise sanitaire en a fait réfléchir plus d’un … Dans une enquête publiée par Nouvelle Vie Pro, près de 6 actifs sur 10 affirment que la crise a affecté leur situation professionnelle. Leur envie de reconversion est toujours omniprésente et, si beaucoup ne sont pas encore passés à l’action, l’envie de changer de job, de changer de vie, est de plus en plus palpable.

À quoi ressemble le candidat idéal à la reconversion ? Selon les dires de l’enquête de Nouvelle Vie Pro, il est âgé entre 20 et 29 ans (48 % contre 36 % pour les autres tranches d’âge) et habite dans une moyenne ou grande ville (18 %). Il n’a pas le bac (48 %) et, paradoxalement, il fait partie de la tranche qui hésite le plus quant à entamer une reconversion professionnelle (9 %).

 

Pourquoi avoir peur de se reconvertir ?

Si beaucoup de Français réfléchissent à une reconversion professionnelle, la peur et l’incertitude empêchent la plupart de passer à l’action. Ces deux facteurs ne sont d’ailleurs pas les seuls freins. Il y a également :

–        L’angoisse de sortir de sa zone de confort

–        Le manque d’information

–        Le risque financier jugé trop important

–        Le projet qui demande à mûrir

–        Le besoin de se faire accompagner

–        L’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle

Lorsqu’il s’agit de reconversion professionnelle, la crise sanitaire ne simplifie pas les choses, tant s’en faut. Pour beaucoup de sondés (enquête Nouvelle Vie Pro), la pandémie rend la reconversion plus compliquée pour les habitants des petites villes (près de 2 personnes sur 3) et les moins diplômés.

 

Les enquêtes qui mettent en parallèle la reconversion professionnelle et la crise sanitaire s’accordent sur un point : l’ennui et la quête de sens au travail sont les principales motivations pour songer à se reconvertir. La rémunération, quant à elle, a été supplantée par des considérations d’ordre psychologique ou médical.

Se reconvertir, c’est d’abord prendre conscience que le métier que l’on fait ne vous correspond plus. Passer à l’action, c’est concevoir un avenir professionnel qui vous ressemble, suivi d’un plan concret. Pour vous aider, VAST RH vous accueille dans l’une de ses agences : n’hésitez pas à contacter l’un de nos conseillers dans votre agence VAST RH la plus proche.

Qui a dit que les bonnes résolutions ne se prenaient qu’au début d’une nouvelle année ? Les vacances d’été sont une période idéale pour faire le point, se reposer et… réfléchir à son évolution professionnelle. Parmi les bonnes résolutions suivantes, la(les)quelle(s) prendrez-vous ?

 

1. Je fais le point sur mes compétences et entame une formation

Depuis le temps que vous êtes en poste, avez-vous réfléchi quant à une éventuelle évolution ? Votre entreprise actuelle vous permet-elle de prétendre à un autre emploi et/ou de bouger horizontalement ou verticalement sur l’échelle hiérarchique ? Comment vous sentez-vous dans votre métier actuel ? Êtes-vous pleinement épanoui.e ?

Dans votre esprit, les questions abondent. Peut-être est-il temps de faire le point : un bilan de compétences est un formidable outil pour évaluer votre situation actuelle et envisager l’avenir. Et, contrairement aux idées reçues, le bilan de compétences ne sert pas uniquement qu’à évaluer vos compétences et connaissances professionnelles : il prend également en compte votre situation personnelle. La rentrée de septembre est une période idéale pour faire un bilan de compétences.

Réservez un entretien avec un conseiller VAST RH pour envisager un bilan de compétences

 

2. Je choisis d’évoluer dans mon poste actuel

Tous les métiers permettent d’acquérir de nouvelles compétences. Dans la vente, la restauration, le transport, le digital, le secteur bancaire… les choses évoluent. Il s’agit de rester à la page pour rester épanoui au travail. À votre disposition, la formation, qui permet de remettre en question certains acquis et de faire évoluer certaines pratiques.

Qu’elle soit diplômante ou qualifiante, la formation est une arme que tous les Français ont à portée de main, grâce au Compte Personnel de Formation (CPF). Pourquoi vous en priver ?

Découvrez les formations VAST RH

 

3. Je booste ma carrière grâce au coaching

Pour révéler votre talent, faire jaillir votre confiance et montrer votre motivation et votre ambition à vos supérieurs hiérarchiques, vous envisagez de vous faire accompagner, grâce au coaching. C’est un excellent choix ! Le coaching permet de clarifier des objectifs pour mieux les atteindre ; il permet également de prendre du recul et de gagner en confiance et se donner les moyens de passer à l’action.

Le coaching, par VAST RH

 

4. Je décide de prendre ma carrière en mains

Être heureux au travail, c’est également prendre sa carrière en mains pour mieux envisager l’avenir. Dans votre secteur d’activité, quelles sont les évolutions possibles ? À la rentrée, vous décidez de porter un regard lucide sur votre avenir professionnel, tout en prenant compte de vos contraintes personnelles. Pour vous aider à ouvrir les yeux sur votre secteur d’activité et étudier les possibilités d’évolution, faites-vous accompagner par un professionnel compétent.

Contactez l’agence VAST RH la plus proche

 

À la rentrée comme tout au long de l’année, les coachs VAST RH sont à vos côtés pour vous accompagner et vous aider à évoluer professionnellement. Réunis autour de valeurs fortes, nos conseillers RH agissent avec bienveillance, en toute objectivité. Contacter VAST RH, c’est envisager son avenir professionnel sous son meilleur jour. Et si nous faisions connaissance ?

 

Le dentiste est un professionnel de la santé qui soigne les dents et la bouche de ses patients.

Parfois aidé par un assistant, il soigne, conseille sur l’hygiène bucco-dentaire et rassure.

Il établit un diagnostic, propose les soins adaptés pouvant s’étaler sur plusieurs séances : détartrage, soins d’une carie, arrachage d’une dent endommagée, pose d’une couronne ou d’un bridge nécessitant la prise d’empreintes…

Il reçoit en urgence certains patients (douleur vive, abcès…).

Les missions d’un(e) dentiste :

  • Réaliser des bilans dentaires
  • Soigner les dents, réparer les dents cassées
  • Soigner les différentes pathologies qui concernent les dents et les gencives,
  • Choisir et commander les différents appareils dentaires destinés à ses patients, il doit aussi procéder aux moulages
  • Faire de la prévention en effectuant des détartrages et en conseillant ses patients,
  • Réaliser des radiographies,
  • Procéder à de petites opérations telles que l’extraction des dents de sagesse, la mise en place des pivots ou les greffes de gencives
  • Former les futurs dentistes

Les compétences :

Le dentiste doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Sens du contact
  • Sens de l’accueil
  • Etre rassurant
  • Sens de l’organisation

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Des connaissances médicales et anatomiques
  • Maitrise la lecture des radios
  • Connaitre chacun de ses outils et les maitriser
  • Se tenir informer des nouvelles technologies et faire diverses formations pour les maitriser

 

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Le salaire moyen d’un(e) dentiste :

En général, on débute sa carrière entre 2100 et 3000 euros brut par mois, et on peut espérer gagner plus de 6000 euros brut en fin de carrière.

En libéral, la rémunération peut dépasser les 6.000 euros par mois, au bout de quelques années d’installation.

Formations & Diplômes pour devenir d’un(e) dentiste :

Le poste de dentiste est accessible avec un diplôme de niveau BAC+6. Mieux vaut posséder un Bac de spécialités scientifiques pour s’orienter vers cette filière. Ces études se composent de 3 cycles.

Le 1er cycle dure 3 ans ; il comporte une 1ère année qui s’adresse aux futurs dentistes, sages-femmes, médecins, pharmaciens. Elle s’effectue dans une faculté de médecine ; celle-ci comprend une unité d’enseignement dédiée à chacune des professions citées.

Pour être admis en 2ème année dans la filière odontologie, les candidats doivent figurer parmi les candidats les mieux notés,

Le 2ème cycle dure 2 ans ; il mène au Diplôme de Formation Approfondie en Sciences Odontologiques (DFASO),

L’étudiant choisit ensuite entre :

le 3ème cycle court (1 an) pour obtenir le diplôme de « docteur en chirurgie dentaire »

– le 3ème cycle long des études odontologiques (TCLO) qui comprend trois spécialités : « orthopédie dento-faciale » (orthodontie, 3 ans), « médecine bucco-dentaire » (3 ans), « chirurgie orale » (4 ans).

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