L’officier de police est un fonctionnaire du ministère de l’Intérieur qui appartient au corps du commandement. Une fois nommé, l’officier de police doit s’engager pour une période de 5 ans au service de l’Etat à compter de sa titularisation.

L’officier de police organise le travail des agents en tenue et les patrouilles sur le terrain. Il assure les fonctions de commandement opérationnel des services et d’expertise en matière de police et de sécurité intérieure. Il peut être chargé d’enquêtes ou de missions, seconder ou suppléer le commissaire de police.

Toutefois, une grande partie de son activité est dédiée aux tâches administratives. Sens des responsabilités, aptitude à commander, organisation, sens relationnel et résistance au stress lui sont indispensables.

Les missions de l’officier de police :

  • Réaliser des enquêtes
  • Encadrer des opérations de terrain
  • Gérer les évènements de voie publique
  • Effectuer des perquisitions
  • Participer à la résolution d’affaires
  • Procéder à des interpellations
  • Lutter contre la délinquance
  • Mener des interrogatoires
  • Effectuer des tâches administratives
  • Rédiger des procès-verbaux

Les compétences :

Un officier de police doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Le sens des responsabilités
  • Faire preuve de sang-froid
  • Un bon sens de l’observation
  • La capacité d’anticipation
  • La patience et la rigueur
  • La notion de travail en équipe

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Des connaissances juridiques
  • Aptitude à encadrer
  • Maitrise des langues étrangères
  • La capacité à manager des équipes
  • Maitrise de la gestion des ressources financières et matérielles
  • Les techniques de commandement opérationnel
  • Capacité à rédiger des comptes rendus
  • La gestion des outils informatiques

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Le salaire moyen de l’officier de police :

En général, on débute sa carrière entre 2.100 et 3.000 euros brut par mois, et on peut espérer gagner entre 4.000 et 5.000 euros brut en fin de carrière. La formation est rémunérée environ 1.400 euros nets par mois.

Formations & Diplômes pour devenir officier de police  :

Le poste d’officier de police est accessible avec un diplôme de niveau bac+3. La formation d’officier de police se déroule à l’école nationale supérieure de police (ENSP) et dure 18 mois. Pour y accéder, il faut réussir un concours d’entrée.

Le concours est réservé aux personnes répondant aux conditions suivantes :

  • Avoir entre 18 et 35 ans
  • Être de nationalité française
  • Être en règle avec la législation
  • Avoir casier judiciaire vierge
  • Posséder une licence ou un diplôme équivalent
  • Avoir une bonne condition physique, elle sera vérifier lors d’un examen médical.

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Le boulanger est un commerçant, il réalise toutes les étapes de la fabrication du pain et des viennoiseries. Il prépare la pâte dans un pétrin, surveille sa fermentation, la façonne en différentes formes.

Il peut également diversifier son offre de vente en fabriquant des pâtisseries de base ainsi que des produits traiteur salés tels que la pizza ou la quiche. Garant des modes de fabrication artisanale, le métier exige technicité, habileté manuelle et respect des règles d’hygiène et de propreté.

Les missions du boulanger :

  • La préparation de la pâte à pain
  • Effectuer de nombreuses fournées, préparer d’autres produits
  • Préparer et fabriquer des produits de boulangerie selon les règles d’hygiène et de sécurité alimentaires
  • Imaginer et tester de nouvelles recettes
  • Accueillir et conseiller les clients
  • Procéder à la vente des produits
  • Gérer les stocks

Les compétences :

Un boulanger doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Le sens du commerce
  • Avoir une habilité manuelle
  • Être aimable et souriant
  • Une bonne communication orale
  • Avoir une bonne condition physique et être endurant

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Maitrise des techniques de la fabrication du pain et des viennoiseries
  • Bonne culture culinaire
  • Maitrise de l’ensemble des spécialités de boulangerie
  • La capacité à créer de nouvelles recettes
  • Les techniques de vente
  • Capacité à associer des goûts
  • Maîtrise des règles d’hygiène et de sécurité alimentaires

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Le salaire moyen du boulanger :

La rémunération peut démarrer aux environs de 1.800 euros brut par mois, afin de pouvoir obtenir environ 3.000 euros brut par mois en fin de carrière.

Formations & Diplômes pour devenir boulanger  :

Le poste de boulanger est habituellement accessible avec un diplôme de niveau CAP ou équivalent. Au-delà, le Brevet ou Bac Professionnel permettent de développer des compétences en gestion et en commercialisation. Comme dans de nombreux métiers de l’artisanat, la reconnaissance suprême dans la profession est l’obtention du titre de Meilleur Ouvrier de France (MOF, reconnu au niveau Bac + 2), qui atteste d’un haut niveau de savoir-faire technique et d’une production de qualité.

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Crise sanitaire oblige, un délai de 6 mois supplémentaire a été accordé pour saisir vos heures DIF sur l’application Mon Compte Formation. Désormais, si vous avez exercé une activité de droit privé avant le 31 décembre 2014, vous avez jusqu’au 30 juin 2021 pour inscrire vos droits acquis au titre du Droit Individuel à la Formation (DIF).

Où se cache votre solde d’heures de DIF ?

À vos archives ! Votre solde d’heures de DIF est mentionné sur le bulletin de salaire de décembre 2014 ou, à défaut, sur le bulletin de salaire de janvier 2015. Il est également possible que vous ayez une attestation de droit fourni par votre employeur. Votre dernier certificat de travail peut également comporter les éléments dont vous avez besoin. Ces derniers formeront le justificatif qui vous sera demandé lors de la saisie de vos heures DIF, et ceux afin de contrôler le montant indiqué par vos soins.

Vous avez du mal à retrouver les informations manquantes ? Sur le site Mon Compte Formation, un formulaire de contact vous permet de contacter le service client.

Combien valent vos heures de DIF ?

A la question fréquemment posée, « Combien valent vos heures de DIF ? », la réponse est : jusqu’à 15 € par heure.

C’est une fois que vous aurez rempli le formulaire en ligne, que vos heures seront intégrées dans les droits la formation et pourront être utilisées pour financer une formation sans limite dans le temps.

Pour profiter de ce dispositif et du prolongement jusqu’au 30 juin 2021, il n’y a rien de plus simple :

  • Connectez-vous sur la page « Mes droits formation » sur Mon Compte Formation
  • Cliquez sur « Saisir mes heures DIF »
  • Enregistrez un montant puis charger le justificatif demandé
  • Validez

Cette opération est simple, d’autant plus qu’il serait dommage de perdre vos crédits DIF, qui peuvent monter jusqu’à 120 heures DIF collectées, soit une valeur de 1800€ !

Qui plus est, votre droit à la formation vous appartient. Si vous suivez la formation en dehors de vos heures de travail, vous n’avez pas besoin de passer par votre employeur ou par un conseiller Pôle Emploi pour agir, ni pour décider du type de formation dont vous souhaitez bénéficier.

Pour éviter de perdre vos heures DIF, connectez-vous sur votre compte en ligne avant le 30 juin 2021 et reportez vos heures DIF.

Comment utiliser vos heures DIF ?

Rappelons que si vous convertissez vos heures DIF avant la date du 30 juin 2021, vos droits à la formation seront valables sans limite dans le temps !

Vous pourrez ainsi bénéficier de la formation dont vous avez besoin pour progresser et pour évoluer professionnellement. En effet, le compte personnel de formation (CPF) vous appartient tout au long de votre vie active, même si vous êtes au chômage. Il vous permet de suivre une formation qualifiante ou certifiante.

L’utilisation des droits acquis au titre du DIF, à condition que le solde ait été enregistré sur l’application CPF avant le 30 juin 2021, vous appartient. Pour choisir la formation qui vous correspond, vous pouvez vous faire accompagner d’un conseiller en évolution professionnelle. Proches de vos besoins, les consultants VAST RH vous rencontrent et vous guident.

Prenez rendez-vous en cliquant ici pour un premier entretien offert, sans engagement.

Responsable de l’agence Aix-en-Provence chez VAST RH, Odile Lemanceau est également référente handicap. Un terme que notre consultante préfère remplacer par « diversité », pour bien des raisons, notamment les valeurs humaines et éthiques auxquelles elle adhère, au même titre que l’ensemble des membres de l’équipe. Quel est le rôle du référent handicap ? Comment répondre aux besoins des personnes concernées ? Interview.

Pourriez-vous décrire votre rôle de « référent handicap » chez VAST RH ?

Odile Lemanceau : La terminologie de « handicap » répond principalement à des préoccupations d’ordre administratif. En ce qui me concerne, et en ce qui concerne les prestations de VAST RH, dont le Bilan de Compétences et la VAE font partie, l’aspect humain et relationnel prévalant, il est plus approprié de parler de « diversité ». Néanmoins, mon rôle couvre deux aspects principaux : d’une part, les obligations administratives qui nous incombent en tant qu’organisme de conseil et de formation ; d’autre part, l’envie de faire progresser la méthode VAST RH pour l’adapter aux besoins des personnes en situation de handicap.

Pourriez-vous nous en dire plus sur les deux aspects de votre rôle ?

Odile Lemanceau : L’aspect administratif recouvre tout ce qui est en rapport avec la législation, le référencement Qualiopi et la certification. Ainsi, ma responsabilité est de mettre à disposition de quiconque les demande, les informations nécessaires et obligatoires. Je mets à jour le registre public d’accessibilité, c’est-à-dire l’ensemble des pièces officielles dont la fiche informative qui synthétise les informations essentielles et les pièces administratives relatives à l’accessibilité.
Je suis également la personne vers laquelle les autres consultants peuvent se tourner s’ils font face à une question qui touche à la diversité. Je suis à leur disposition pour informer et orienter les bénéficiaires en cas de besoin.

Le deuxième volet de mon travail concerne un projet qui me tient à cœur et qui s’inscrit complètement dans la démarche de VAST RH. En effet, c’est en personnalisant notre approche que notre cabinet répond avec le plus de précision possible aux demandes des bénéficiaires. Je souhaite notamment faire en sorte que les documents que nous leur mettons à disposition soient abordables par tous, dans le respect des différences. C’est donc en rédigeant les fiches informatives en FALC (Facile à Lire et à Comprendre), avec le soutien de l’Agefiph, que je réalise ce projet.

Comment contribuez-vous à l’évolution des personnes en situation de handicap ?

Odile Lemanceau : Les personnes qui ont un handicap, quel qu’il soit (autisme, handicap visuel, auditif etc.), sont souvent peu ou mal informées. Souvent, le handicap présente un frein à leurs yeux et crée des blocages et des frustrations. Lors des face à face avec ces personnes, parfois dès l’entretien de découverte, mon rôle est de les écouter, les informer et les conseiller. Dans certains cas, ce qui se présente comme un frein, le handicap lui-même dans bon nombre de cas, peut parfois être envisagé sous un angle différent et permettre d’ouvrir des portes. Elargir le champ des possibles, explorer toutes les possibilités et passer outre le handicap pour redonner, aux bénéficiaires, l’envie d’avancer…  c’est ainsi que l’on peut résumer mon rôle.

Chez VAST RH, notre mission de handicap s’inscrit dans la volonté d’individualiser nos prestations d’accompagnement. Nous le faisons dans le cadre de la loi et des demandes institutionnelles, bien évidemment, mais plus encore parce que cela correspond à notre état d’esprit, nos valeurs et notre mission.

Pour prendre rendez-vous avec Odile Lemanceau, Référente Handicap : odile.lemanceau (at) vastrh.fr

L’orthoptiste dépiste les défaillances visuelles chez des patients de tous âges. Il établit un diagnostic orthoptique et entreprend une rééducation si nécessaire. Une fois le diagnostic établi, le traitement consiste à faire travailler les muscles de l’œil pour corriger une fatigue oculaire, réduire un strabisme ou améliorer un trouble de la vue après un traumatisme, une maladie ou un accident, par exemple.

L’orthoptiste effectue aussi des examens d’exploration de la fonction visuelle. Le métier demande de la méthode, de la précision, de la patience et des aptitudes relationnelles.

Les missions de l’orthoptiste :

  • Dépister des troubles visuels
  • Observer et interroger le patient
  • Réaliser un bilan orthoptique
  • Proposer un traitement adapté et informer le patient
  • Travailler chez un ophtalmologiste

Les compétences :

Un orthoptiste doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Le sens de l’écoute
  • Savoir faire preuve de précision et de sureté dans ses gestes
  • Une bonne communication orale
  • Se montrer patient et réactif
  • Savoir s’adapter à chaque personne qu’il reçoit

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Des connaissances en biologie, optique, anatomie de l’œil
  • Bonnes capacités d’écoute pour évaluer les besoins des patients
  • La capacité à travailler en équipe
  • Des bonnes aptitudes relationnelles
  • Savoir inciter ses patients à participer au travail de rééducation en dehors des rendez-vous

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Le salaire moyen de l’orthoptiste :

La rémunération peut démarrer aux environs de 1.800 euros brut par mois, afin de pouvoir obtenir environ 4.000 euros brut par mois en fin de carrière.

Formations & Diplômes pour devenir orthoptiste  :

Le poste d’orthoptiste est habituellement accessible avec un diplôme de niveau bac+3. L’accès à cette profession paramédicale est encadré par une formation obligatoire. Celle-ci se déroule dans les Unités de Formation et de Recherche (UFR) rattachées aux facultés de médecine.

Il est fortement conseillé d’avoir un Bac scientifique pour se présenter à l’examen. Le Certificat de Capacité d’Orthoptiste (CCO) s’obtient par un examen en fin de formation. Le lauréat doit s’inscrire auprès de l’Agence Régionale de Santé (ARS) du département où il exerce.

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En mars 2020, alors que tous les esprits étaient préoccupés par les conséquences de la pandémie du Covid-19, les équipes de VAST RH, cabinet de conseil en ressources humaines et en évolution professionnelle, entamaient un processus de remise en question et de réflexion. C’est en effet au cours du premier trimestre 2020 que Stéphane Feuillet, l’actuel dirigeant de VAST RH, a réuni ses consultants RH pour repenser la manière d’offrir, autour de valeurs communes, le meilleur du conseil et de l’accompagnement aux professionnels et aux entreprises. Retour sur une année riche en évolutions et en apprentissages.

 

Quelle synthèse peut-on faire de l’année qui vient de s’écouler ?

Stéphane Feuillet : La période a été – et est encore – compliquée pour tout le monde. Mais elle a également montré que, même en temps de crise, l’agilité est essentielle pour avancer. Lors du premier confinement, mes équipes et moi-même avons réfléchi ensemble et adapté nos méthodes et nos outils. Il avait toujours été question d’intégrer des prestations en distanciel dans notre offre, et le développement rapide de nouveaux modes de travail ont accéléré les choses. Bien évidemment, il n’était pas question de répliquer purement et simplement un entretien en face à face via un outil de visioconférence. Nous avons jugé indispensable d’aller plus loin. C’est pour cette raison que nous avons saisi l’occasion d’une réflexion commune pour créer une méthode originale et personnalisable. Aujourd’hui, nous sommes heureux de pouvoir proposer un accompagnement en présentiel, à distance, ou encore un mix des deux à nos bénéficiaires.

 

Pourriez-vous nous en dire plus sur la méthode VAST RH ? En quoi est-elle différente ?

Stéphane Feuillet : La tendance actuelle, dans l’accompagnement RH, est à l’uniformisation. Par exemple, un bilan de compétences commence et termine d’une certaine manière et souvent, suit une forme linéaire. Or, les besoins des bénéficiaires ne sont pas uniformes. Il n’existe pas de profil standard ou de parcours type. Chez VAST RH, nous avons considéré cet aspect avec attention, pour aboutir à une méthode VAST RH originale et personnalisable. En termes concrets, nos consultants disposent d’outils qu’ils utilisent en fonction des besoins de chaque bénéficiaire. Ils adaptent leur programme avec, outre l’objectif d’aboutir à des résultats concrets, la volonté d’engager le bénéficiaire dans la démarche, d’obtenir son adhésion, de le rendre acteur de son évolution. Un bénéficiaire d’outplacement, par exemple, est nettement plus réceptif au changement si les outils utilisés répondent à ses besoins et sa personnalité. Nous sommes allés plus loin encore, avec la personnalisation de l’accompagnant. La méthode VAST RH, du fait qu’elle est personnalisable, est plus ludique, plus moderne, plus engageante et donc plus efficace.

 

Comment VAST RH s’est-il développé au cours des 12 derniers mois ?

Stéphane Feuillet : En parallèle au développement de notre méthode, nous avons souhaité renforcer nos équipes d’experts dans plusieurs domaines : le recrutement, le coaching, la VAE, la formation… L’accélération de notre développement ne doit pas nous faire oublier que nous souhaitons avant tout rester au plus proche des besoins des bénéficiaires. Plus proche de leurs préoccupations pour mieux les comprendre et mieux les accompagner, avec des spécialistes dans des domaines clés de la gestion des ressources humaines. Plus proche physiquement, également, avec l’ouverture de nouvelles agences dans le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône. Aujourd’hui, VAST RH est présent à Marseille, Aix-en-Provence, Salon de Provence, Avignon, Orange, Istres, La Ciotat… Même si le distanciel fait aujourd’hui partie des moyens mis en œuvre pour accompagner les personnes que nous suivons, nous tenons tout de même à assurer une présence physique qui, pour certains profils de bénéficiaires, s’avère parfois indispensable.

 

Avez-vous développé vos offres de prestations également ?

Stéphane Feuillet : L’outplacement, le coaching, la formation, l’accompagnement en VAE et Bilan de Compétences font partie du cœur de métier de VAST RH. Ces activités sont indissociables du recrutement de talents. C’est pourquoi nous avons récemment ouvert un pôle recrutement permettant aux entreprises de la région de s’appuyer sur une équipe de spécialistes et de chasseurs de têtes pour diffuser, tester et trouver de nouveaux collaborateurs.
Le pôle recrutement complète idéalement l’offre de VAST RH qui, aujourd’hui, est une offre à 360°. Les marchés d’outplacement que nous avons remportés récemment prouvent que les besoins des entreprises et des professionnels sont extrêmement variés. VAST RH étant capable d’accompagner au changement à travers des formations de techniques de recherche d’emploi, des bilans de compétences, du coaching, des formations etc., nous nous positionnons comme l’interlocuteur unique des entreprises, des collectivités et des organismes privés et publics. A titre d’exemple, la CCI d’Aix-Marseille Provence vient de nous confier l’accompagnement d’une quarantaine de dirigeants.

Notre proximité avec les entreprises de la région nous permet également de proposer des formations en lien avec leurs besoins. En conséquence, nous avons également étoffé notre catalogue de formations qui compte aujourd’hui une quarantaine de thématiques différentes.

 

Que réserve l’avenir pour VAST RH ?

Stéphane Feuillet : Pour le moment, nous allons nous concentrer sur ce dont les entreprises et les bénéficiaires ont besoin et faire valoir nos prestations, nos offres et nos valeurs ! Je souhaite que le développement de VAST RH se fasse harmonieusement, autant vers des évolutions professionnelles positives que vers des contraintes subies. J’ai totalement confiance dans mes équipes qui, depuis le premier jour, ont montré qu’à travers leur engagement et leur implication, il était tout à fait possible d’être agile. C’est cette agilité même qui nous a permis d’avancer et de nous développer. C’est également elle qui nous permet d’envisager l’avenir sous d’heureux auspices. Et l’aventure ne fait que commencer…

Les conducteurs de bus et d’autocar transportent des voyageurs selon des trajets définis à l’avance. Ils peuvent conduire des bus touristes, citadins, écoliers, … Ils accueillent et renseignent les passagers, vendent des titres de transport.

Responsable de la sécurité des usagers, il est particulièrement attentif lors de la montée et descente du véhicule.

Il signale les incidents rencontrés par radio au poste de commandement. Il s’efforce de respecter les horaires annoncés, tout en respectant toujours le Code de la route et en adoptant une conduite souple.

Les missions du conducteur de bus :

  • Transporter des passagers
  • Informer les usagers et veiller à leur sécurité à bord
  • Accueillir les voyageurs dans le bus
  • Vendre des titres de transport
  • Maitriser son parcours et réagir aux aléas de la circulation
  • S’adapter à des horaires de travail variables

Les compétences :

Un conducteur de bus doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Le sens des responsabilités
  • Être vigilant et rigoureux
  • Être force de conviction
  • Un bon sens du relationnel
  • Être courtois
  • Être autonome

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Savoir gérer les situations difficiles que peuvent représenter des conflits à bord du véhicule, ou des travaux et autres perturbations imprévues de la circulation routière
  • Maitrise de la réglementation routière
  • La capacité de repérer l’origine d’une panne pour la réparer ou transmettre les informations au service de maintenance
  • Bonnes connaissances en maintenance de véhicule

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Le salaire moyen du conducteur de bus :

Les rémunérations peuvent démarrer aux environs de 1.800 euros brut par mois, afin de pouvoir obtenir environ 3.000 euros brut par mois en fin de carrière.

Formations & Diplômes pour devenir conducteur de bus  :

Le poste de conducteur de bus est habituellement accessible avec un CAP agent d’accueil et de conduite routière, transport de voyageurs. Pour devenir conducteur il faut obligatoirement être titulaire du permis de conduire B et D et être âgé de 21 ans minimum.

Il existe également des formations professionnelles, comme la formation initiale minimale obligatoire (FIMO) voyageurs et le titre professionnel Conducteur de transport en commun sur route.

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