Le psychothérapeute intervient auprès des personnes rencontrant des difficultés. Il se spécialise parfois sur un type de patient ou une problématique. Il détermine le type de thérapie la plus adaptée parmi différentes techniques auxquelles il s’est formé et qu’il associe parfois. Dans son cabinet, il pratique souvent l’entretien en face à face, sur des périodes assez courtes.

Bon équilibre personnel, capacités d’écoute et d’analyse, ouverture d’esprit lui sont indispensables.

Les missions du psychothérapeute :

  • Réaliser des évaluations psychologiques
  • Poser des diagnostics
  • Accompagner les patients présentant des troubles du comportement et de la personnalité
  • Mettre en place des activités d’enseignement et de recherche
  • Participer à des conférences

Les compétences :

Un psychothérapeute doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Le sens de l’observation
  • Des qualités d’écoute
  • Être force de conviction
  • Une bonne communication
  • Le sens de la discrétion et de la confidentialité
  • La notion d’ouverture d’esprit
  • Un bon équilibre émotionnel

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Maitrise des compétences en matières psychologiques
  • Une capacité naturelle à faire parler les personnes
  • La capacité à inspirer confiance
  • La capacité à faire une critique
  • Des connaissances des aspects théoriques, pratiques de la psychothérapie
  • Les techniques de communication

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Le salaire moyen du psychothérapeute :

La rémunération peut démarrer aux environs de 1.800 euros brut par mois, afin de pouvoir obtenir environ 6.000 euros brut par mois en fin de carrière.

Formations & Diplômes pour devenir psychothérapeute  :

Le poste de psychothérapeute est habituellement accessible avec un diplôme de niveau bac+5 et de l’expérience professionnelle. Le titre de psychothérapeute est désormais encadré par la loi : chaque candidat à son obtention doit déposer un dossier auprès de l’Agence Régionale de Santé (ARS).

Ce titre est réservé aux titulaires d’une formation théorique et pratique de psychopathologie clinique (400 heures minimum), et parmi eux :

– aux personnes possédant un master (Bac + 5) de psychologie ou de psychanalyse

– aux médecins psychiatres.

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L’éducateur canin apprend au maître la meilleure façon de donner les ordres et travaillent avec les chiens qui leur sont confiés pour leur inculquer notamment des règles d’obéissance et d’hygiène. L’éducateur prend en compte des éléments important dans ses méthodes d’apprentissage comme la race de l’animal, son caractère, et son environnement.

Il met en œuvre un apprentissage spécifique qui vise à rendre l’animal utile : accompagnement de personnes en situation de handicap, la chasse, entraînement pour des compétitions jusqu’aux missions de sécurité et de secours assurées par les chiens de l’armée, de la police, de la douane, des pompiers…

Les missions de l’éducateur canin :

  • Dresser des chiens
  • Résoudre des problèmes de comportement ou d’hygiène
  • Travailler sur la sociabilisation de l’animal
  • Enseigner des gestes et méthodes à appliquer pour se faire obéir
  • Faire acquérir des bonnes habitudes pour l’harmonie entre l’animal et son maitre

Les compétences :

Un éducateur canin doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Avoir l’amour des animaux
  • Un bon relationnel
  • Être patient et doux
  • Faire preuve de pédagogie autant que de fermeté
  • Être autoritaire et persévérant pour se faire obéir
  • Une bonne forme physique

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Maitrise de l’anatomie et psychologie de l’animal
  • Des compétences solides en matière d’éducation canine
  • La capacité d’adaptation
  • Des compétences sur la réglementation spécifique au milieu canin
  • Un esprit d’observation aiguisé
  • Les techniques de communication
  • Capacité en gestion et action commerciale

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Le salaire moyen de l’éducateur canin :

Les rémunérations varient en fonction du mode d’exercice salarié ou à son compte, mais peuvent démarrer aux environs de 1.800 euros brut par mois, afin de pouvoir obtenir environ 3.000 euros brut par mois en fin de carrière.

Formations & Diplômes pour devenir éducateur canin :

Le poste d’éducateur canin est accessible avec un diplôme de niveau bac. Les éducateurs canins doivent être titulaires du brevet professionnel d’éducateur canin, qui se prépare dans des établissements de formation agricole. Le Ministère de l’agriculture et de l’alimentation répertorie neuf établissements qui proposent cette formation, des centres de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA) et des centres de formation des apprentis agricoles.

La formation comprend un volet de stages pratiques, sur le terrain.

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Dans un récent article de blog, VAST RH présentait les avantages du dispositif FNE-Formation. Cette mesure mise en place par le gouvernement pour aider les entreprises à adapter les compétences de leurs salariés aux transformations consécutives aux mutations économiques et techniques, permet au plus grand nombre de se former pour être prêt pour le monde de demain.

Pour parler concrètement du FNE-Formation, nous avons rencontré Coralie Berger, Consultante RH et responsable de l’agence VAST RH de Salon-de-Provence.

Le FNE-Formation : petit rappel

C’est en vue d’encourager la formation des salariés en activité partielle en raison de la pandémie du Covid-19 que le gouvernement, au début de la crise sanitaire, a facilité l’accès des employeurs au FNE-Formation. L’idée ? Prendre en charge tout ou partie des coûts pédagogiques des formations.

Le 1er janvier 2021, les conditions d’application du FNE-Formation ont été revues et, aujourd’hui, chaque salarié répondant aux critères d’éligibilité peut prétendre à une formation sans toucher à son CPF et sans que la formation n’impacte le plan formation de l’entreprise. « Un dispositif gagnant-gagnant » dit Coralie Berger, puisque la formation est gratuite pour le salarié tout en permettant à l’entreprise de développer ses ressources tout en préservant son plan formation.

Le FNE-Formation est proposé à tous les salariés et à toutes les entreprises !

Quels que soient le secteur d’activité et le nombre de salariés, les entreprises peuvent faire bénéficier du FNE-Formation à leurs salariés dès lors qu’elles ont recours à l’activité partielle ou à l’activité partielle de longue durée. « Il faut savoir », dit Coralie, « qu’un salarié qui n’est pas en activité partielle, mais dont l’entreprise propose l’activité partielle ou l’APLD à ses collaborateurs, peut demander à bénéficier du dispositif FNE-Formation ». Les seuls à ne pas être concernés sont les alternants en contrat d’apprentissage et en contrat de professionnalisation.

Je veux me former, mais je ne sais pas quoi faire…

Des personnes de tout âge, en quête de sens au travail, dont l’entreprise a été plus ou moins durement affectée par la crise sanitaire, c’est le quotidien de notre consultante RH, Coralie Berger. À ces derniers, Coralie répond, en toute bienveillance, que c’est maintenant l’occasion de faire le point pour progresser et envisager un nouveau métier, un nouvel avenir !

À toute situation de crise, et aussi difficile que cela paraisse, il est essentiel de chercher du positif. Faites-vous partie de ces personnes qui ont travaillé dans un seul domaine d’activité pendant de nombreuses années et qui, tout à coup, se retrouvent nez à nez avec une situation a priori inextricable ? « Je vais faire émerger la merveille que vous êtes et vous faire avancer ! » annonce Coralie aux bénéficiaires qu’elle rencontre.

 

Professionnels du secteur du tourisme, des transports, de l’hôtellerie et de la restauration… ou tout autre secteur que la crise impacte durement, il est temps de réagir ! Le FNE-Formation pourrait être le coup de pouce dont vous avez besoin pour avancer et pour grandir, professionnellement et humainement.

La mise en place d’une formation, par le biais du FNE-Formation, peut être très rapide (2 à 3 semaines). Par ailleurs, les demandes FNE-Formation déposées jusqu’au 31 décembre 2021 permettent de bénéficier d’une formation jusqu’au 31 décembre 2022, sans minimum de durée !

Coralie Berger, comme toute l’équipe de consultants VAST RH, est à votre écoute pour un premier entretien gratuit, confidentiel et sans engagement. Un entretien qui vous ouvrira, très certainement, le champ des possibles et l’avenir radieux que vous méritez.

Réservez votre entretien gratuit !

 

 

 

Le maître-nageur sauveteur assure la surveillance des basins dans les piscines, des bases nautiques, des centres de remise en forme mais également des plages ; et enseigne la natation ainsi que les activités aquatiques.

Il s’adapte à des publics variés : du bébé qu’il initie au milieu aquatique aux nageurs qu’il prépare à la compétition, en passant par les scolaires à qui il apprend les différentes nages ou les adultes qu’il aide, afin de vaincre leur peur de l’eau.

Il fait également respecter les consignes de sécurité, intervient lorsqu’un nageur est en difficulté et lui administre éventuellement les premiers secours.

Les missions du maître-nageur :

  • Veiller à la sécurité des baigneurs
  • Surveiller les lieux de baignade
  • Assurer l’enseignement de la natation
  • Encadrer l’animation de différentes activités aquatiques

Les compétences :

Un maître-nageur doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Le goût du contact, des relations humaines
  • Être attentif, réactif et rapide
  • De bonnes qualités d’animation
  • Le sens de la pédagogie
  • Une bonne condition physique

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Maitrise des règles de sécurité et gestes de premier secours
  • Bonne connaissance des activités aquatiques existantes
  • Maitrise des différentes nages
  • La capacité à mobiliser et motiver les élèves
  • La gestion d’équipe et administrative
  • L’accueil et l’encadrement des publics
  • Capacité à concevoir et animer des séances d’enseignement et de pratique

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Le salaire moyen du maître-nageur :

Les rémunérations peuvent démarrer aux environs de 1.800 euros brut par mois, afin de pouvoir espérer gagner entre 2.100 et 3.000 euros brut par mois en fin de carrière.

Formations & Diplômes pour devenir maître-nageur :

Pour devenir maître-nageur il faut être titulaire du Brevet Professionnel de la Jeunesse, de l’éducation Populaire et du Sport (BPJEPS).

Pour intégrer la formation, le candidat doit être majeur, titulaire de la formation aux « Premiers Secours en Equipe » de niveau 1 (PSE1) ou du Brevet National de Sécurité et de Sauvetage Aquatique (BNSSA) et admis aux tests physiques d’entrée et à l’épreuve de sauvetage.

Le diplôme DEJEPS permet de réaliser des entraînements. Le diplôme d’état supérieur de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, (DESJEPS) permet d’accéder à des fonctions d’entraîneur expert. La licence sciences des activités physiques et sportives (STAPS) ou la licence animation, gestion et organisation des activités physiques et sportives (AGOAPS) conduisent également a ce métier.

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Rencontre avec une consultante VAST RH

Aujourd’hui, nous partons à la rencontre d’Amandine Pontonnier, responsable des agences du Vaucluse et experte en bilan de compétences et bilans jeunes. Amandine nous explique, dans des termes simples et clairs, le rôle que joue le consultant dans un bilan de compétences et la relation entre le bénéficiaire et le consultant. Elle aborde également la manière dont un bilan de compétences est conduit.

Quel rôle le consultant joue-t-il dans le bilan de compétences ?

Amandine Pontonnier : Le rôle du consultant est de guider, d’accompagner le bénéficiaire dans sa démarche de réflexion, dans le cadre de la construction d’un nouveau projet professionnel. Cela peut être une évolution professionnelle en interne ou en externe, une reconversion, une création d’entreprise… Il y a de nombreuses finalités possibles lorsque l’on fait un bilan de compétences. Le but est d’aider le bénéficiaire à réfléchir sur ses valeurs, sa personnalité, ses besoins, ses intérêts professionnels… Il s’agit également de le faire réfléchir sur ses propres compétences et ses talents, que ce soit des compétences en termes de savoirs, savoir-faire ou savoir-être, mais également en termes de compétences ignorées, c’est-à-dire un potentiel. Il s’agit de compétences dont le bénéficiaire n’a pas conscience.

Le consultant cherche à faire en sorte que le bénéficiaire se révèle par rapport aux compétences ignorées.

Amandine Pontonnier : Le rôle du consultant demande de la neutralité. Le consultant RH n’est pas dans le jugement par rapport au parcours, aux profils et aux compétences du bénéficiaire. Il porte un regard extérieur et accompagne son client en toute bienveillance. Il est important que le bénéficiaire se sente à l’aise pour exprimer tous les éléments nécessaires à la construction de son projet, que ce soit en termes de valeurs ou en termes de compétences jugées importantes par les RH.

Le consultant est là également pour donner une méthodologie précise, pour que le bénéficiaire ne soit pas perdu. De nombreux bénéficiaires affirment qu’ils veulent changer, mais ne savent pas par où commencer. Le consultant arrive pour donner une méthodologie et un rythme dans sa progression, dans la construction de son nouveau projet.

Pour remplir sa mission, le consultant dispose de plusieurs outils. Par exemple, il peut avoir recours à des questionnaires, des tests, des lectures, des vidéos… l’idée est d’aider le bénéficiaire et de lui donner matière à réfléchir afin qu’il puisse faire émerger par lui-même ce qui est important, ce qui va l’animer dans son avenir professionnel.

Quelle est la relation entre le bénéficiaire d’un bilan de compétences et le consultant ?

Amandine Pontonnier : Pour arriver à accompagner et à guider au mieux les bénéficiaires, le consultant doit créer un climat de confiance avec son client. C’est pour cette raison qu’il doit rester neutre. Le consultant est à l’écoute du client, ce dernier devant être à l’aise pour parler de tout : de ses freins, de ses limites… ces éléments sont importants pour permettre aux consultants d’aider au mieux le bénéficiaire afin que ce dernier aborde le changement en toute sérénité.

Dans la relation qui s’établit entre le consultant et le bénéficiaire, le consultant doit également être garant d’une certaine dynamique. Nous sommes là pour le booster, le coacher dans la décision, pour l’aider à prendre des décisions dans son projet professionnel.

Comment conduit-on un bilan de compétences lorsqu’on est consultant ?

Amandine Pontonnier : Je pense qu’il y a deux aspects dans la conduite d’un bilan de compétences : le premier peut être résumé ainsi : « comment aborder le changement ? ». En effet, de nombreux bénéficiaires ont une certaine appréhension, des peurs par rapport au changement qui va s’opérer. Il s’agit de leur donner des leviers pour dépasser les appréhensions, les doutes et les incertitudes. Le deuxième aspect est celui d’un accompagnement personnalisé, sur mesure. Il s’agit d’être à l’écoute du bénéficiaire par rapport à sa situation professionnelle (mais aussi personnelle). Le consultant doit prendre en considération de nombreux aspects de la personne (personnalité, motivation, compétences, etc…) et doit savoir prendre de la hauteur par rapport à ce qui est énoncé par le bénéficiaire. Quelquefois, il s’agit de le mettre face à ses incohérences, et lui faire se poser les bonnes questions. Il encourage également le bénéficiaire à s’ouvrir à toutes les possibilités, puis l’aide à se recentrer sur un projet réaliste (en termes de formation, marché du travail, etc…).  En résumé, nous endossons le rôle de « guide » en permettant au bénéficiaire de se poser les bonnes questions, et en l’aidant à prendre ses propres décisions.

Dans la forme, on a à peu près 8 rendez-vous individuels en face à face. Lors de chacun de ces rendez-vous, nous échangeons sur des thématiques précises. Le bilan de compétences dure entre 2 et 3 mois, généralement. Entre chaque rendez-vous, je donne matière à réfléchir au bénéficiaire. Cela peut passer par des questionnaires, des textes, des lectures… Le bénéficiaire continue à travailler chez lui et revient au rendez-vous suivant avec des réflexions par rapport à ce qu’il aura observé par lui-même.

Vous souhaitez faire un bilan de compétences ? Contactez VAST RH pour un premier entretien gratuit et sans engagement.

L’ostéopathe est un professionnel paramédical qui prévient ou soigne certaines pathologies fonctionnelles, en effectuant des manipulations et des mobilisations douces sur les muscles, les

os, les viscères et le crâne. L’ostéopathie est une médecine dite « douce ». Après avoir interrogé le patient sur ses troubles et ses éventuels traumatismes précédents, il explore le corps avec ses mains pour détecter les zones de tension et de blocage.

Le praticien diagnostique et traite par manipulation, palpation et massage. Il recherche les points de blocage ou les points douloureux sur des membres, des articulations, des viscères, sur la colonne vertébrale.

Les missions de l’ostéopathe :

  • Interroger le patient sur ses antécédents
  • Faire un état des lieux du corps du patient
  • Élaborer un diagnostic
  • Traiter les zones de blocage
  • Conseiller le patient à la fin de la séance afin d’éviter les récidives

Les compétences :

Un ostéopathe doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Le sens de l’écoute
  • Être force de proposition
  • Être force de conviction
  • Une bonne communication orale
  • Être endurant car c’est un métier physique
  • Avoir une bonne coordination motrice
  • Être agile et capable de prendre des postures qui demandent une bonne élasticité et l’étirement des muscles

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Maitrise parfaite des connaissances en biologie
  • Bonne capacité d’analyse
  • Maitrise parfaite de l’anatomie humaine
  • La capacité à adapter son traitement à la zone qu’il aborde
  • Les techniques de manipulation, palpation et massage
  • Capacité à conseiller son patient en fin de séance

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Le salaire moyen de l’ostéopathe :

Les ostéopathes exercent essentiellement en libéral et sont payés à l’acte. La rémunération peut démarrer aux environs de 1.800 euros brut par mois, afin de pouvoir obtenir environ 6.000 euros brut par mois en fin de carrière.

Formations & Diplômes pour devenir ostéopathe :

Le poste d’ostéopathe est habituellement accessible avec un diplôme de niveau bac+5. Le titre d’ostéopathe est encadré par la loi.

Il est réservé aux personnes possédant certaines qualifications :

  • les médecins peuvent préparer sur 2 ans un Diplôme Interuniversitaire (DIU) de « médecine manuelle – ostéopathie »
  • les écoles privées proposent une formation qui se déroule sur 5 ans pour les titulaires d’un Bac. Il est validé par le « diplôme en ostéopathie »(DO). Les professionnels du paramédical tels que masseurs-kinésithérapeutes, infirmiers, sages-femmes, ergothérapeutes peuvent bénéficier d’une formation plus courte (dispenses de certaines unités d’enseignement).

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