La question est légitime : vaut-il mieux vivre pour travailler ou travailler pour vivre ? Une question à laquelle il n’y a aucune réponse, pour la bonne et simple raison que chacun envisage sa vie, détermine ses choix et prend des décisions en fonction de ses objectifs et de ses rêves.
Néanmoins, puisque cette question se pose souvent, aux réunions de famille, entre amis comme à plusieurs reprises au cours d’une même vie, essayons d’y répondre : vaut-il mieux vivre pour travailler ou travailler pour vivre ?
Il y a ceux qui vivent pour travailler…
Les personnes qui « vivent pour travailler » ont tendance à faire des choix en fonction de leur carrière et de leurs objectifs professionnels. Elles sont souvent étiquetées comme des « bourreaux de travail ». Leurs motivations touchent souvent à l’argent, mais pas seulement. Elles peuvent également avoir des objectifs de progression de carrière, vouloir atteindre des postes de direction, monter le plus haut possible sur l’échelle hiérarchique… Ces personnes, en règle générale, trouvent une opportunité de carrière ou un poste et se déplacent, construisant leur vie autour de leur travail.
Vivre pour travailler, même si l’idée ne tente guère ceux et celles qui ne vivent pas selon ce précepte, peut avoir du bon. Généralement, les férus de travail sont rapides, efficaces et savent où ils veulent aller. Même lorsqu’ils se trouvent sans objectif particulier, sans date butoir ou ligne d’arrivée, ils en créent un pour leur prochain projet.
… et ceux qui travaillent pour vivre
Ceux et celles qui « travaillent pour vivre » ont tendance à considérer leur activité professionnelle, leur emploi ou leur profession comme un moyen de gagner l’argent pour pouvoir payer ce dont elles ont besoin dans leur vie personnelle. Ils qualifient parfois leur emploi comme « un travail alimentaire ». C’est en fonction de leurs propres besoins et de leur style de vie qu’ils choisissent un endroit pour vivre, donc un emploi.
Parmi les objectifs des gens qui travaillent pour vivre, les voyages, le temps passé en famille, les hobbies et autres passions au quotidien. Ces personnes ne s’identifient guère à leur travail ou à leur carrière. A la question « que faites-vous dans la vie ? », elles répondent « je suis photographe », « je suis graphiste » ou encore… « je fais du vélo ». Qu’elles soient payées ou non, à partir du moment où elles ont l’occasion d’exercer leur passion, tout va bien dans le meilleur des mondes. Par ailleurs, certaines parviennent à tirer parti de leur passion et à être copieusement rémunérées…
Travailler pour vivre ou vivre pour travailler ? Selon sa personnalité, ses désirs et ses rêves, il appartient à chacun de décider. Si vous envisagez différentes possibilités au niveau professionnel, que vous avez besoin de faire le point, il est peut-être temps de passer en revue vos propres attentes.
Gardez à l’esprit qu’à mesure que votre vie avance, certains domaines deviennent plus importants que d’autres. Ensemble, nous pouvons définir ce qui est important pour vous et de quelle manière vous pourrez atteindre vos objectifs pour trouver un équilibre entre travail et vie personnelle, être pleinement épanoui(e) et heureux(se) ! Contactez VAST RH pour faire le point.