L’outplacement individuel intervient dans le cadre de la négociation d’une rupture conventionnelle ou lorsque l’intéressé est visé par une procédure de licenciement individuel. Le service des ressources humaines peut alors proposer, au salarié concerné, un service d’outplacement réalisé par un cabinet spécialisé. Ce dernier intervient pour conseiller et accompagner le salarié en vue de lui permettre de se repositionner et de remettre le pied à l’étrier, en trouvant un autre emploi ou via la création d’entreprise. VAST RH vous informe sur l’outplacement individuel.

Comprendre l’outplacement individuel

L’outplacement individuel est une prestation réalisée par un cabinet en ressources humaines, financée par l’employeur. Il est proposé dans le cadre d’un licenciement individuel ou lors de la négociation d’une rupture conventionnelle. Il vise à permettre au salarié licencié de retrouver un emploi ou de poursuivre sa carrière.

Tout salarié bénéficiant d’un service d’outplacement individuel se voit attribuer un accompagnement sur mesure pour assurer sa transition professionnelle. Cet accompagnement passe par une étape d’introspection indispensable sur son parcours professionnel, ses savoir-faire, ses besoins, ses objectifs, ses compétences…

Dans le cadre de l’outplacement individuel, le consultant RH propose, au salarié concerné, un bilan de compétences. Souvent confondus, les deux services sont distincts et complémentaires. Le bilan de compétences fait ainsi partie de la première étape du reclassement professionnel. Il donne lieu à l’analyse des compétences et des motivations du salarié afin de déterminer ses possibilités d’évolution professionnelle. Il faut savoir qu’un outplacement individuel peut comprendre un bilan de compétences, mais que l’inverse n’est pas vrai.

Le rôle du consultant dans l’outplacement individuel

Issu du cabinet de ressources humaines auquel l’entreprise a fait appel pour l’outplacement individuel d’un salarié, le consultant joue un rôle déterminant. Il ou elle met son expertise technique liée au marché du travail, de l’entrepreneuriat et de la formation au service de son bénéficiaire. A l’écoute, le consultant RH fait preuve d’empathie et d’objectivité afin d’atteindre les objectifs définis en amont.

Il faut savoir que le coach en outplacement individuel n’assiste pas le bénéficiaire, mais le guide en développant son autonomie et sa confiance. D’un expert en mutation professionnelle, il ne faut guère attendre une liste d’emplois possibles ou des réponses précises à des questions d’ordre personnel ou professionnel. Le consultant RH oriente et épaule son client pour que ce dernier retrouve, par ses propres moyens, un emploi qui lui correspond.

Le coaching de transition dont le salarié bénéficiant en outplacement individuel bénéficie a pour finalité le reclassement de la personne. Il se déroule sous forme de séances en face à face ou en visio visant à responsabiliser la personne qui doit accomplir un travail de fond essentiel, tant sur le plan personnel que professionnel.

Le consultant en outplacement individuel couvre tous les aspects du projet de son bénéficiaire : ses capacités, le marché de l’emploi, la zone géographique à couvrir.

Quel avantage y a-t-il à recourir à l’outplacement individuel ?

L’un des principaux avantages de l’outplacement individuel est la volonté du bénéficiaire et du consultant de se repositionner le plus rapidement possible sur le marché du travail.

Grâce à une méthodologie bien définie, des outils adaptés et des techniques qui font leurs preuves, l’accompagnement permet au bénéficiaire d’entrevoir un avenir plus serein, à travers un parcours sur mesure. En effet, le travail du consultant est intégralement adapté à la personne qu’il ou elle accompagne ; de ce fait, aucun outplacement individuel ne ressemble à un autre.

Grâce à l’accompagnement dont il bénéficie, le bénéficiaire de l’outplacement individuel réévalue ses propres compétences. Il ou elle prend conscience des codes et des pratiques du marché de l’emploi et reste motivé pendant sa recherche. C’est notamment durant cette période que le rôle du consultant est important, non seulement en termes de soutien moral, mais également en termes d’approche. L’utilisation de l’outil numérique, les réseaux sociaux, le réseautage font partie intégrante des techniques auxquelles les consultants se réfèrent pour transmettre, à leurs bénéficiaires, toutes les techniques permettant de revenir rapidement sur le marché de l’emploi.

 

Le reclassement professionnel, même s’il n’est jamais une partie de plaisir, est une opportunité unique de rebondir pour qui sait s’en saisir. VAST RH propose, à travers une méthode et une approche centrée sur l’individu, un accompagnement sur mesure à travers une prestation d’outplacement individuel. Contactez VAST RH pour en savoir plus ou prenez rendez-vous sur notre agenda en ligne.

A 25 ans à peine, Fabien Patat sait exactement où il va. C’est à l’issue d’un bilan de compétences que notre ex-chauffeur de poids lourds a décidé de reprendre le chemin de l’école pour devenir avocat. Son histoire est aussi positive que son mental !

Rebondir suite à un accident de la vie

Il y a des choses, dans la vie, que l’on maîtrise moins que d’autres. C’est en raison d’un incident indépendant de sa volonté que Fabien n’a pas pu aller jusqu’au bout de son cursus lorsqu’il était au lycée. A 18 ans, il entrait chez Mac Donald’s en tant qu’employé polyvalent.

A 20 ans, Fabien se voit proposer la possibilité de passer le permis poids lourds et devient chauffeur routier. Un métier qu’il exerce pendant 5 ans, pour se rendre à l’évidence : son avenir est ailleurs.

Sur les conseils d’une amie, Fabien découvre le Bilan de Compétences et décide, guidé par la Mission Locale, de se rapprocher de VAST RH à Arles.

 

Un bilan de compétences qui donne confiance

Bon nombre de bénéficiaires qui s’aventurent dans le bilan de compétences ont généralement des hésitations quant à leur avenir professionnel. Pour Fabien, les choses sont différentes : dès le départ, il sait qu’il veut devenir avocat.

C’est donc suite à une rupture conventionnelle avec son employeur que Fabien effectue les démarches nécessaires pour entamer son bilan de compétences auprès de Maxine Demi, consultante chez VAST RH.

La détermination de Fabien est palpable, et sa motivation l’est plus encore. S’il veut devenir avocat, notre bénéficiaire souhaite également se rassurer quant à la faisabilité de son projet. Reprendre des études, assurer l’aspect financier de son projet, aller jusqu’au bout… Autant d’éléments que Fabien a pu valider, réalisant ce dont il était capable.

 

Aujourd’hui en DAEU (Diplôme d’Accès aux Etudes Universitaires), Fabien suit les cours qui le mèneront jusqu’à l’obtention d’un titre qui lui permettra d’intégrer la faculté de droit. Très positif, motivé et travailleur, Fabien est déterminé pour aller jusqu’au bout, convaincu d’avoir trouvé sa voie.

Nous lui souhaitons une excellente continuation !

Vous sentez-vous coincé(e) dans un emploi qui ne vous ressemble pas (ou plus) ? L’envie de changer de carrière vous tente mais vous ne savez pas par quel bout commencer ? Peut-être est-il temps de faire une pause et prendre du recul…

Si vous vous sentez à l’étroit dans votre job actuel et que le changement de carrière est une idée que vous repoussez chaque jour, sachez que vous devez d’abord apprendre à surmonter trois défis (ou paradoxes). VAST RH, cabinet de conseil en ressources humaines, vous explique.

1. Vous êtes votre propre plus grand obstacle

Au plus profond de votre désespoir à propos de votre travail actuel, tous les signaux vous indiquent que vous n’êtes pas au bon endroit. Vous ne parlez pas de votre travail avec les autres, vous ne vous voyez ni à la place de votre patron ni à celle de votre N+1 dans quelques années… Pire encore, vous êtes pétrifié(e) à l’idée d’arriver à l’âge de la retraite sans vous sentir fier(ère) du travail accompli au cours de votre vie.

Chaque jour, vous vous sentez un peu plus engourdi(e). Vous ne savez plus où puiser votre inspiration, votre motivation… et votre travail devient insignifiant. Contre votre propre gré, vous êtes le héros du film « Un jour sans fin »… et chaque jour ressemble à un autre.

Il se peut que vous soyez aveuglé(e) par votre vision du monde du travail. Une vision qui se limite au domaine d’activité dans lequel vous évoluez. Tous les autres postes et secteurs sont complètement en dehors de votre champ de vision. Vous avez également peur des conséquences : si vous quittez votre emploi, qu’en sera-t-il de votre salaire ? Que penseront vos amis ? Votre famille ? Etes-vous vraiment prêt(e) à perdre le statut pour lequel vous avez travaillé si dur ?

Les limites que vous observez dans le monde extérieur sont, en réalité, vos propres obstacles. Vos craintes et le manque de connaissances vous empêchent d’aller de l’avant.

2. Vous ne découvrirez pas votre nouvelle voie par hasard

Quel que soit votre travail actuel, vous êtes rémunéré pour accomplir des tâches spécifiques, pour jouer un rôle, interagir avec vos collègues et pour contribuer aux résultats d’une entreprise.

Comment savoir ce que vous pouvez faire d’autre ? Cette idée tourne en rond dans votre tête sans que vous puissiez y apporter de réponse. Vous parlez à certaines personnes (qui sont peut-être dans la même situation que vous), vous consultez Internet, vous lisez des livres… mais rien n’y fait. Vous n’avez toujours pas d’idée par rapport à ce que vous voulez faire. Pas de réponse claire.

La réalité est pourtant simple : si la solution à votre changement de carrière se trouvait dans une analyse plus approfondie ? En dressant plus de listes, en lisant plus de livres, en passant plus de tests psychométriques, vous trouverez certainement des réponses à vos questions.

3. Ce n’est pas en cherchant un travail que vous en trouverez un

Vous avez certainement passé des heures à parcourir des sites d’emploi, créé des dizaines d’alertes… et vous vous êtes rendu plus malheureux(se) encore en constatant que vous n’aviez pas nécessairement l’expérience ou les compétences requises…

Vous avez même envoyé votre CV à des entreprises dans des secteurs d’activité différents du vôtre… juste pour voir… Mais rien. Même pas un entretien…

Prenez un peu de recul : comment voulez-vous trouver un emploi et changer de carrière si vous ne savez pas dans quelle direction vous diriger ?

 

Chaque jour, VAST RH accompagne des hommes et des femmes qui, comme vous, souhaitent changer de carrière sans nécessairement avoir d’idées précises quant à leur avenir. Pour faire le point avec un consultant spécialisé, pour prendre du recul pour mieux avancer, contactez VAST RH dès aujourd’hui.

What do you want to do ?

New mail

Personne ne veut d’un béni-oui-oui. Ni un collègue et encore moins un patron d’entreprise ! Mais lorsqu’il s’agit de demandes qui ont attrait à une charge de travail trop importante ou des demandes qui dépassent l’entendement, comment refuser avec tact et faire preuve de diplomatie ?

Nous avons tous – sauf exception – du mal à dire non. Il faut pourtant savoir que les bons managers apprécient les salariés qui font preuve de suffisamment de confiance pour dire non. Les meilleurs responsables sont ceux qui sont ouverts à la discussion, prêts à écouter un raisonnement solide pour trouver une solution commune. Voici comment dire « non » à son patron sans perdre son job.

Pas de lutte des pouvoirs

Commencez par reconnaître que, au final, la décision appartient à votre patron. Même si vous avez des convictions fortes sur la demande à laquelle vous souhaiteriez ne pas vous soumettre, la décision est celle de votre supérieur hiérarchique. Il est préférable de ne pas transformer les choses en lutte des pouvoirs.

Agir au plus juste, sans vouloir gagner

Un « non » peut être une simple bataille, plutôt qu’une guerre. Il faut savoir faire la distinction entre les deux. Avant de vous prononcer, envisagez le pire résultat que vous pourriez obtenir en disant « non » et notez-le pour mieux évaluer la raison d’être de votre décision et les conséquences possibles.

Vos objectifs ne sont-ils pas les mêmes que ceux de votre patron ?

Gardez à l’esprit que votre chef et vous avez les mêmes objectifs : faire faire progresser l’entreprise. La compréhension de ce fait vous permettra de prendre du recul pour mieux comprendre la demande initiale de votre responsable.

Faire preuve d’empathie

Votre « non » sera mieux accueilli si vous faites preuve d’empathie, que vous montrez que vous comprenez les arguments et les préoccupations de votre patron avant d’exprimer les vôtres.

Expliquer les choses clairement

Après avoir reconnu l’importance de la demande de votre responsable, expliquez en quoi la nouvelle tâche pourrait avoir un impact sur d’autres projets. Vous privera-t-elle de ressources nécessaires ? Alourdira-t-elle votre charge de travail ? Il y a certainement une solution.

Fixer des limites dès le départ

Si la demande de votre patron est irréaliste, si elle empiète sur votre temps, il est utile d’établir des règles dès le départ. Par exemple, si vous ne souhaitez pas travailler les week-ends ou les jours fériés, précisez dès le début. Ainsi, votre refus ne sera une surprise pour personne.

Réfléchir au timing avant de dire « non » à son patron

A quel moment la demande de votre supérieur hiérarchique a-t-elle été formulée ? Que s’est-il passé au bureau juste avant cette demande ? Cela peut avoir un impact sur votre capacité à dire « non ». Sortez-vous d’un entretien houleux avec votre chef ? Ou, au contraire, vient-il de vous féliciter ? Le timing de votre refus a son importance…

 

Dire « non » à son patron sans perdre son job : c’est possible, à condition d’en évaluer les raisons et les conséquences. La prochaine fois, pensez-y ! En attendant, VAST RH vous invite à mettre en pratique vos soft skills. On vous en dit plus dans un webinaire à voir ou à revoir sur notre chaîne YouTube !