Entrée chez VAST RH en alternance, Laura Ribeiro a fait, des Ressources humaines, son domaine de prédilection. Notre alternante en Master met ses compétences en pratique au quotidien, à travers le suivi administratif des clients en formation chez VAST RH, le standard téléphonique, ainsi que la VAE et l’orientation scolaire. C’est sur cette dernière prestation que nous nous penchons dans cet article issu d’une interview avec Laura. Entretien.

L’orientation scolaire vue par VAST RH

À partir de la classe de Troisième, plus les années passent, plus la question de l’orientation scolaire se concrétise. À l’expression « j’ai encore le temps » se substituent les « que vais-je faire après le bac ? » ou encore « quelles études supérieures choisir ? ». Les jeunes et leurs parents le savent : la question n’est pas une mince affaire ! Et lorsque la réforme du baccalauréat et la crise sanitaire passent par-là, l’angoisse et l’incertitude ne font qu’accentuer la tension.

Pour VAST RH, il est essentiel de connaître et de comprendre le jeune avant tout. Pour peu que ses croyances limitantes et autres freins soient mis de côté, ses rêves peuvent encore se concrétiser. « Les conseillers d’orientation dans les écoles se basent essentiellement sur les bulletins scolaires et les résultats des élèves. Ils les guident au mieux et, parfois, cela suffit amplement. Chez VAST RH, nous allons plus loin en utilisant des outils pour connaître et comprendre le jeune. Les notes ne font pas partie des critères d’orientation scolaire. Sa personnalité, ses envies, ce qu’il aime, ce qu’il n’aime pas… c’est de cela qu’il s’agit ». En quelques mots, Laura résume la philosophie de VAST RH en matière d’orientation scolaire. On se concentre sur l’individu, sur son profil, afin de déterminer le plus justement et objectivement possible le parcours qui lui correspond.

Comment se déroule l’orientation scolaire chez VAST RH ?

Si l’approche de l’orientation scolaire de VAST RH est bienveillante, la méthode utilisée est originale et efficace. À la clé, 3 formules selon le profil et les objectifs des jeunes (Découverte, Immersion, Révélation). Pour chaque formule, ce sont deux spécialistes VAST RH qui se penchent sur les besoins et les recommandations liés au bénéficiaire.

La première consultation est un entretien découverte mené par Laura avec le jeune. Un entretien exploratoire d’une heure et demie à deux heures au cours duquel Laura met son interlocuteur à l’aise pour qu’il s’exprime librement. « Ce qu’il aime, ce qu’il n’aime pas, les matières, les activités extrascolaires… On voit large ! » affirme Laura. Cet entretien est complété par une série de tests psychotechniques, des jeux, des mises en situation… Ludique et engageant, le premier rendez-vous est réellement destiné à mettre en lumière l’image la plus fidèle possible du jeune pour ensuite l’orienter au plus juste.

Entre le premier et le deuxième entretien, Laura se rapproche d’un consultant VAST RH spécialisé en bilan de compétences. Un expert de l’analyse de profil avec lequel elle échange pour obtenir des conclusions objectives aux tests réalisés en amont et à l’entretien de découverte.

La deuxième séance de la prestation d’orientation scolaire de VAST RH consiste en un débrief en présentiel qui peut aboutir à une proposition de pistes de formation. Selon l’âge et les besoins du bénéficiaire, ce dernier peut choisir de s’en tenir à des pistes d’orientation qui pourraient lui correspondre, ou aller plus loin, vers une formule Révélation ou Immersion. Ces dernières sont articulées autour de l’inscription sur Parcoursup, de pistes d’orientation accompagnées d’études à suivre et de métiers plus précis. Le tout, accompagné de tests supplémentaires à réaliser à son propre rythme, via une plateforme en ligne.

De la remise des résultats des tests à une synthèse complète accompagnée de recommandations, les documents remis au jeune par VAST RH correspondent à la formule choisie et aux besoins du bénéficiaire.

 

Dès la première approche, via l’entretien découverte mené par Laura, les jeunes se sentent à l’aise et parlent facilement. L’originalité de VAST RH, c’est-à-dire la composition d’un binôme complémentaire au service du bénéficiaire, permet d’ouvrir les champs des possibles et de poser, sur le jeune et son avenir, un regard différent. Pour prendre rendez-vous avec VAST RH en vue d’une orientation scolaire, contactez-nous !

Alors qu’il nous tarde de voir l’épisode de crise sanitaire derrière nous, il est plus que probable que l’une des questions récurrentes des entretiens d’embauche post-Covid sera : « Qu’avez-vous fait pendant le confinement ? ». Pour y répondre correctement, il faut d’abord y réfléchir. Avez-vous été productif.ve ? Ou au contraire, avez-vous passé votre temps à jouer à des jeux vidéo en pyjama sur le canapé ? VAST RH vous aide à faire le point.

Entretien d’embauche : restez sincère

Jouer à des jeux vidéo pendant le confinement peut tout à fait être un passe-temps à partager avec notre nouvel employeur. En effet, quoi de plus louable que de s’octroyer un temps d’arrêt et de s’évader, tout en restant à l’intérieur ? Si cette activité n’a pas constitué la majeure partie de notre temps pendant le confinement, l’honnêteté est votre meilleure alliée.

Peut-être est-il même possible d’extrapoler, de votre activité pendant le confinement, l’un ou l’autre apprentissage : nouveau logiciel, communication en ligne avec les autres joueurs, en anglais bien sûr… Essayez, dans la mesure du possible, de définir en quoi votre activité vous a permis d’occuper votre esprit.

Pendant le confinement, vous avez mis le cap sur la connaissance

Si vous avez consacré beaucoup de temps à l’apprentissage en autonomie pendant le confinement, sachez que la curiosité intellectuelle est toujours appréciée chez les candidats à un emploi. Votre motivation, votre sens de l’organisation seront très remarqués. En guide de réponse à la question « Qu’avez-vous fait pendant le confinement ? », ne vous contentez pas de dire « J’ai beaucoup lu » : présentez concrètement vos lectures, sans pour autant en faire l’étalage, et expliquez en quoi cela vous a permis de passer notre temps intelligemment. Si vous avez développé une nouvelle compétence ou un nouveau hobby, si vous avez suivi une formation, synthétisez-le clairement et présentez quel en a été l’aboutissement.

Vous en avez profité pour avancer en matière de développement personnel

Le confinement a été, pour beaucoup, un moment d’introspection. Un moment pour réfléchir à soi-même, à sa vie privée et à sa carrière. Beaucoup d’entre nous ont trouvé de nouveaux intérêts, renouvelé ou renforcé l’envie d’avancer à travers la découverte de soi.

Votre capacité de réflexion sera très remarquée. Parmi les exemples que vous pourrez mettre en avant, n’hésitez pas à parler :

  • De ce que vous avez appris par rapport à vous-même : vos limites, votre style de travail, etc.
  • D’une meilleure compréhension de votre propre personne grâce à un rapprochement avec vos amis et votre famille
  • D’un projet auquel vous teniez et que vous avez mené à bien

Si le confinement vous a entraîné en dehors de votre zone de confort, vous a forcé à vous fixer des limites avec une ou plusieurs personnes, voire avec votre employeur ou, pourquoi pas, vous-même, parlez-en ! Peut-être avez-vous appris à dire « non », à limiter votre temps d’écran, à prendre confiance en vous ? Tous ces éléments de développement personnel devront être valorisés pendant votre entretien d’embauche.

Vous avez aidé les autres pendant le confinement ?

L’altruisme, particulièrement dans une situation de crise, est toujours apprécié. Vous avez soutenu votre communauté, vos parents, vos proches ; vous avez fait du bénévolat, vous avez fait des courses pour vos voisins, démarré un groupe d’entraide sur les réseaux sociaux… voici une manière explicite de prouver que vous êtes tourné.e vers les autres. Utilisez cet argument à votre avantage pour vous mettre en avant pendant votre entretien d’embauche.

 

« Qu’avez-vous fait pendant le confinement ? » fait partie des nouvelles questions des employeurs post-Covid. Autant s’y préparer. Peu importe ce que vous avez fait, il y a certainement moyen de tourner cela positivement, à votre avantage. Pensez-y !

Le journaliste réalise des articles, interviews ou chroniques portant sur une actualité ou un domaine en particulier : la politique, le social, l’actualité mondiale ou locale, la culture, le sport, etc.

Sa mission principale est d’informer, pour cela il recueille des informations, enquête sur le lieu d’un événement, réalise des investigations sur un sujet donné, interroge des témoins ou recherche de la documentation fiable. Il vérifie systématiquement ses sources pour garantir l’exactitude de ses informations.

Les missions d’un journaliste :

  • Proposer des sujets
  • Collecter des informations
  • Préparer ses interviews
  • Transmettre une information fiable et vérifiée
  • Mettre en forme son sujet
  • Rechercher la vérité
  • Retranscrire l’information sur différents supports : presse écrite, radio, télévision ou web

Les compétences :

Un journaliste doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Le sens de l’écoute
  • Être curieux et réactif
  • Se montrer disponible
  • Une bonne communication orale comme écrite
  • Le sens de la discrétion et de la confidentialité
  • La notion de travail en équipe
  • Entretenir et développer des relations avec des informateurs
  • Faire preuve d’impartialité

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Maitrise de la langue française
  • Bonne culture générale
  • Maitrise de l’expression écrite et orale
  • La capacité d’analyse
  • Respecter la charte déontologique stricte
  • Capacité à opposer un esprit critique aux dires des interviewés

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Le salaire moyen d’un journaliste :

La rémunération de départ est de 1.800 euros brut par mois, afin de pouvoir obtenir environ 6.000 euros brut par mois en fin de carrière.

La rémunération varie en fonction du statut et contexte d’exercice.

Formations & Diplômes pour devenir journaliste  :

Le poste de journaliste est habituellement accessible avec un diplôme de niveau bac+2. Les 14 écoles de journalisme reconnues par la Commission Paritaire Nationale de l’Emploi des Journalistes (CPNEJ) restent la voie royale pour accéder au métier.

Elles délivrent des diplômes allant de Bac + 2 à Bac + 5. Selon le cas, ces formations :

– sont accessibles sur dossier et entretien ou par voie de concours

– se déroulent dans des IUT, des écoles intégrées à des universités…

– sont proposées en formation initiale et parfois aussi continue.

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Le couvreur est le spécialiste des toitures. Il pose, répare, entretient la couverture des bâtiments neufs ou anciens.

Après avoir monté ou réparé le support en bois, posé la zinguerie (gouttières, pièces d’étanchéité), il met en œuvre une grande diversité de matériaux (tuiles, ardoises, bacs acier, chaume…).

Outre la toiture, il peut poser l’isolation thermique sous le toit ou encore assurer la restauration de bâtiments publics ou de monuments historiques.

Les missions d’un couvreur :

  • Préparer son chantier
  • Mettre en place des échafaudages et des équipements de sécurité
  • Poser des matériaux de couverture
  • Assurer l’entretien et la réparation de la toiture
  • Prévoir la gestion des gravats
  • Assurer l’étanchéité et l’évacuation des eaux de pluie
  • Un travail en hauteur, exigeant soin et bonne condition physique

Les compétences :

Un couvreur doit avoir les qualités humaines suivantes :

  • Faire preuve d’agilité et de prudence
  • Ne pas être sujet au vertige
  • Avoir le sens de l’équilibre
  • Être résistant physiquement
  • Avoir une bonne capacité de concentration

De plus, il doit également avoir des compétences professionnelles particulières :

  • Maitrise des règles de sécurité
  • Connaissances sur les matériaux de revêtement et des conditions de leur utilisation
  • Maitrise des normes d’isolation
  • Aptitudes en matière de dessin et de géométrie afin de concevoir des plans dans le détail
  • Avoir des connaissances sur les techniques de traçage

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Le salaire moyen d’un couvreur :

La rémunération de départ est de 1.800 euros brut par mois, afin de pouvoir obtenir environ 3.000 euros brut par mois en fin de carrière.

Des primes de déplacement et des primes de panier peuvent venir compléter le salaire de base.

Formations & Diplômes pour devenir couvreur  :

Le poste de couvreur est accessible avec un diplôme de niveau CAP ou équivalent.

Différentes formations permettent d’accéder au métier : le CA peut être complété par une Mention Complémentaire ou un Certificat Technique des Métiers (CTM).

Le Brevet Professionnel (BP) lié préparé après le CAP, vise à former ceux qui envisagent de s’installer à leur compte.

Le titre de Meilleur Ouvrier de France (MOF), décerné lors de concours entre professionnels, atteste du meilleur niveau de savoir-faire.

La fédération du bâtiment a mis en place un Certificat de Qualification Professionnelle (CQP) intitulé « ouvrier professionnel couvreur chaumier ».

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