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Découvrez les offres d’emploi à pourvoir dans les agences VAST RH et pour le compte de nos clients.

Les soft skills, que l’on pourrait traduire par « compétences non techniques » sont intimement liées à la manière dont vous travaillez. Dans vos interactions avec vos collègues, dans votre manière de résoudre les problèmes et dans la gestion de votre travail, elles entrent en jeu. Mais de quoi parle-t-on exactement ? Et comment utiliser ses soft skills ? VAST RH fait le point.

Que sont les soft skills ?

Les soft skills sont en relation avec la manière dont vous travaillez. Elles englobent notamment les compétences interpersonnelles, les compétences en matière de communication, d'écoute, la gestion du temps et l'empathie. Ceci n’est pas une liste exhaustive, mais donne une bonne idée de ce que sont ces compétences dites "non techniques". Les responsables RH recherchent activement des candidats possédant des soft skills. En effet, ce sont ces compétences, peut-être plus que les compétences techniques, qui sont le gage de la réussite dans le monde du travail. Une personne peut avoir d’excellentes connaissances techniques et un très bon savoir-faire pour un poste en particulier… si elle ne sait pas gérer son temps ou travailler en équipe, elle risque de ne pas être en adéquation par rapport au milieu dans lequel elle travaille.

Comment fonctionnent les compétences non techniques ?

Les soft skills sont importantes aux yeux de la plupart des employeurs. En effet, bon nombre d’emplois exigent des salariés qu'ils s'engagent d'une manière ou d'une autre avec les autres. En outre, lors d’un recrutement, les managers et DRH sont avides de qualités liées à la personnalité des individus, car il s’agit de compétences transférables d’un poste à l’autre, quel que soit le type d’emploi. Les candidats qui démontrent de telles capacités sont perçus comme des gens adaptables ; un véritable avantage au moment de l’entretien ! Bien évidemment, les compétences dont il est question ici sont d’autant plus importantes dans certains postes, comme dans le domaine de la relation client par exemple. Les collaborateurs qui sont en contact direct avec les clients doivent faire preuve d’écoute, de politesse et de courtoisie…

Quelques exemples de soft skills

Les compétences non techniques comprennent les attributs personnels, les traits de personnalité et les capacités de communication nécessaires pour réussir dans le monde du travail. Elles caractérisent la manière dont une personne interagit dans ses relations avec les autres. S’il fallait donner quelques exemples de soft skills, nous citerions celles que les employeurs valorisent :
  • L'adaptabilité
  • La communication
  • La pensée créative
  • La fiabilité
  • L’éthique du travail
  • Le travail d'équipe
  • La positivité
  • La gestion du temps
  • La motivation
  • La capacité à résoudre des problèmes
  • La pensée critique
  • La résolution des conflits

Est-il possible d’acquérir des soft skills ?

À la différence des compétences techniques qui s'acquièrent par les études et l’expérience, les soft skills sont semblables aux émotions ou aux connaissances qui permettent aux gens de "lire" les autres. Ces compétences sont plus difficiles à acquérir, car elles ne sont pas enseignées au sens classique du terme. Elles sont également bien plus difficiles à mesurer et à évaluer. Il existe des formations qui englobent les deux types de compétences, permettant aux demandeurs d’emploi d’en mesurer l’importance et de les mettre en valeur sur leur CV et lors de leur entretien d’embauche. Une personne qui a acquis de l’expérience par le travail, par exemple, a très certainement acquis des compétences relationnelles. En revanche, un nouveau venu sur le marché de l’emploi, aura forcément moins de soft skills à mettre en évidence. Il est néanmoins possible de les développer par le biais de participation à des événements et d’engagement auprès d’associations. Les soft skills ne font pas partie d’une liste de questions par les employeurs au moment de l’embauche. Elles font néanmoins partie des choses à démontrer dans des cas concrets qui, quant à eux, peuvent faire partie des moyens mis en œuvre pour évaluer les candidats.

Comment mettre en œuvre vos soft skills ?

Lorsque vous postulez un nouvel emploi, mettez en évidence vos soft skills. Commencez par dresser une liste de celles qui vous qualifient le mieux et qui sont en rapport avec l’emploi pour lequel vous postulez. Incluez certaines compétences intéressantes dans votre CV, par exemple, en marge des expériences professionnelles. Vous pouvez également mentionner vos qualités dans votre lettre de motivation. Choisissez une ou deux compétences clés en rapport avec l’emploi souhaité. Dans votre lettre de motivation, fournissez des preuves concrètes de ces compétences particulières. Enfin, il est conseillé de mettre en évidence vos soft skills dans vos entretiens. En étant agréable, et accessible, en étant attentif à ce que vous dit la personne en face de vous, par exemple, vous faites preuve de capacité d’écoute. Comment mettre vos soft skills au profit de votre évolution professionnelle ? Et si vous preniez contact avec VAST RH ? 

Les soft skills, que l’on pourrait traduire par « compétences non techniques » sont intimement liées à la manière dont vous travaillez. Dans vos interactions avec vos collègues, d...

Hélène M. a 39 ans. Elle se prépare à faire un bilan de compétences, sur les conseils de la DRH de la société de conseil dans laquelle elle travaille depuis 8 ans. « C’est la première fois que je vais faire un bilan de compétences, mais je ne sais vraiment pas à quoi m’attendre. Est-ce qu’il faut que je prépare quelque chose ? » Au titre du Code du travail (C. trav., art. R. 6322-35), le bilan de compétences se déroule en trois phases :
  • Une phase préliminaire
  • Une phase d’investigation
  • Une phase de conclusion
Le déroulement du bilan de compétences fait partie des conditions indispensables qui permettent au bénéficiaire de mobiliser ses droits CPF.

La phase préliminaire du bilan de compétences a pour objectif :

  • D’analyser la demande et le besoin du bénéficiaire
  • De déterminer le format le plus adapté à la situation et au besoin
  • De définir conjointement les modalités de déroulement du bilan

La phase d’investigation permet au bénéficiaire de :

  • Construire son projet professionnel et en vérifier la pertinence ou
  • Elaborer une ou plusieurs alternatives

La phase de conclusion du bilan de compétences

Elle prend place sous forme d'entretiens personnalisés. Elle permet au bénéficiaire de :
  • S’approprier les résultats détaillés de la phase d’investigation
  • Recenser les conditions et les moyens favorisant la réalisation du ou des projets professionnels
  • Prévoir les principales modalités et les étapes du ou des projets professionnels, dont la possibilité de bénéficier d’un entretien de suivi avec le prestataire de bilan.
A l’issue de la troisième phase, les résultats détaillés sont présentés au bénéficiaire, ainsi qu’un document de synthèse. Ces informations deviennent la propriété du bénéficiaire et ne peuvent être communiquées à un tiers qu’avec son accord.  

Le conseil de Martine Travaille, Consultante VAST RH

" Hélène, un bilan de compétences est toujours réalisé avec un prestataire agréé. Les méthodes varient d’un organisme à l’autre, mais elles sont toujours encadrées. Il est tout à fait possible de vous préparer en amont, plusieurs jours ou plusieurs semaines avant le démarrage prévu, sachant que la phase préliminaire sera l’occasion de balayer tous les éléments de votre profil personnel et professionnel, le plus largement possible. Il vous faudra être active tout au long du processus." Cette étude de cas est extraite de notre livre blanc intitulé "Comment optimiser son Bilan de Compétences pour évoluer professionnellement ?". Pour obtenir une copie de ce livre blanc, contactez-nous en cliquant ici.

Hélène M. a 39 ans. Elle se prépare à faire un bilan de compétences, sur les conseils de la DRH de la société de conseil dans laquelle elle travaille depuis 8 ans. « C’est la première...

Après le hygge danois, et le lagom suédois, tous deux des concepts liés au bien-être et à vivre tout « avec modération », les Hollandais déferlent à travers l’Europe et les États-Unis avec une nouvelle tendance : le niksen. Né du résultat de vies bien (trop) remplies, le concept consiste… à ne rien faire. Et contrairement aux idées reçues, ce n'est pas si facile que cela. Décryptage.  

Qu'est-ce que le niksen ? En quoi consiste-t-il ?

Si l'on s'en tient à la traduction littérale du terme "niksen", les mauvaises langues pourraient l'interpréter subjectivement : « être oisif, faire quelque chose sans aucune utilité ». Pourtant, ce concept est largement répandu aux Pays-Bas, utilisé par les coachs des plus grandes entreprises pour aider leurs clients à gérer le stress et à se remettre d'un burnout.   La pratique du niksen peut être aussi simple que de traîner, de contempler son environnement ou d'écouter de la musique, dès lors que cela se fait « sans objectif ». Vous l'avez compris, le niksen consiste à ne rien faire… ne rien réaliser et surtout, ne pas être productif.   Comment cela se traduit-il ? Pour certains, il suffit de s'asseoir sur une chaise ou regarder par la fenêtre. Alors que la pleine conscience consiste à être présent dans le moment présent, le niksen consiste plutôt à découper le temps pour être soi-même, simplement, et laisser son esprit vagabonder plutôt que de se concentrer sur les détails d'une action.   Ainsi, un individu qui pratique le niksen n'aura pas nécessairement la même approche qu'un autre. Le niksen ne fait pas appel à une technique unique ; il s'agit de découvrir quel comportement est le plus efficace pour soi, à coups d'essais et d'erreurs.  

Quel est l'intérêt du niksen ?

Aux Pays-Bas, le niksen a toujours été considéré comme une forme de paresse. Il formalise exactement le contraire de la productivité. Néanmoins, à mesure que le niveau de stress augmente dans les pays développés et que, à travers le monde, ses effets sur la santé sont à déplorer, ne rien faire est de plus en plus perçu comme une véritable tactique positive de lutte contre le burnout.   Le niksen s'applique ainsi aux cadres et aux dirigeants d'entreprise, bien évidemment, mais également aux adultes et aux adolescents soumis à une quelconque forme de stress.   Les bienfaits du niksen ont été prouvés, notamment sur le plan émotionnel. En font partie la réduction de l'anxiété, mais également des avantages physiques comme la baisse du processus de vieillissement et le renforcement de la capacité du corps à combattre certains maux passagers comme la grippe saisonnière par exemple. Ses effets potentiels sur la santé suffiraient à inciter les plus pressés d'entre nous à envisager de prendre quelque temps pour pratiquer le niksen.   Et ce n'est pas tout ! Un autre avantage du niksen est que, en ne faisant rien, on trouve le temps de faire jaillir de nouvelles idées de notre esprit. Si les "niks" (comme on aime à appeler les pratiquants du niksen) s'affairent à ne rien faire, leur cerveau, lui, continue de traiter l'information et utilise la puissance de traitement disponible pour résoudre des problèmes en attente. À terme, cela stimule la créativité individuelle. Cela peut se manifester par une solution étonnante à un problème au cours d'une promenade, comme une nouvelle idée de business qui se révèle après avoir passé une nuit à dormir et à rêver.  

Comment pratiquer le niksen ?

Si l'idée de vous asseoir sur une chaise et de ne rien faire vous paraît saugrenue ou, au contraire, intéressante, sachez que ce n'est pas aussi simple que cela. En réalité, il est difficile, voire inconcevable, pour certains de rester assis en regardant par la fenêtre, par exemple.   Le niksen « force » les gens à surmonter leur malaise, en prenant quelques instants chaque jour pour se poser. Le niksen peut commencer par des étirements longs, en se réservant un temps spécialement dédié pour ne rien faire et se libérer de ses obligations pendant quelques instants. Le niksen, comme toutes tendances liées au développement personnel, a bien évidemment son lot de détracteurs. Certains écrits scientifiques suggèrent que l'un des inconvénients du niksen est de laisser l'esprit vagabonder trop longtemps, entraînant la possibilité de commencer à ruminer plutôt que de se sentir rafraîchi.   Bien évidemment, comme toute bonne chose dans la vie, la pratique du niksen doit se faire avec parcimonie. Le repos est fonctionnel et doit permettre de se sentir mieux après une activité. Au final, le niksen n'est ni plus ni moins que la recherche d'un moyen de se détendre qui nous convient, pour nous sentir mieux et plus libres.   Vous avez envie de vous libérer de certaines tensions liées à votre carrière professionnelle ? Contactez VAST RH et, ensemble, examinons les clés de votre évolution.

Après le hygge danois, et le lagom suédois, tous deux des concepts liés au bien-être et à vivre tout « avec modération », les Hollandais déferlent à travers l’Europe et les Ét...

Walt Disney, Thomas Edison, Alexander Graham Bell et autres grands inventeurs ont tous un point commun : au gré de leurs échecs, d’obstacles et de refus en tout genre, ils n’ont jamais baissé les bras. Alors que les professeurs jugeaient le petit Edison « trop stupide pour apprendre quoi que ce soit », que l’éditeur qui avait embauché Walt Disney le mettait à la porte en raison de son « manque d’imagination » et que Alexander Graham Bell marquait son temps avec le plus long procès de brevetage jamais connu, ces trois exemples montrent que la résilience a du bon. Aujourd’hui, il est difficile d'imaginer un monde sans les inventions de ces génies, ou même de concevoir ce qui aurait été s’ils avaient un jour abandonné. Leur histoire nous conduit à nous interroger sur notre propre vie : avons-nous la résilience nécessaire pour surmonter nos difficultés ? Ou laissons-nous nos échecs nous faire oublier nos rêves ? Que pourrions-nous accomplir si nous avions la force de ne pas abandonner … Si nous étions plus résilients ? Et surtout, que faut-il faire pour développer sa résilience au travail ?  

La résilience : pourquoi est-ce si important ?

La résilience est notre capacité à nous adapter et à rebondir lorsque les choses ne se passent pas comme prévu. Les personnes résilientes ne se laissent pas abattre et ne s'attardent pas sur leurs échecs ; elles reconnaissent la situation, apprennent de leurs erreurs et vont de l'avant. Facile à dire ? La psychologue américaine Suzanne C. Kobasa, identifie trois éléments essentiels par rapport à la résilience :
  • Le défi Les personnes résilientes considèrent une difficulté comme un défi et non comme un événement bloquant. Pour elles, les échecs et les erreurs sont des moyens de tirer des leçons pour ensuite grandir. Elles ne les considèrent pas comme une réflexion négative sur leurs propres capacités ou leur valeur personnelle.
  • L’engagement Les personnes résilientes sont engagées dans leur vie et leurs objectifs. Elles ont une raison évidente de se lever le matin. L'engagement ne se limite pas au travail, car elles s’engagent bien volontiers dans leurs relations, leurs relations d’amitié, les causes qu’elles jugent importantes et leurs croyances.
  • Le contrôle personnel Les personnes résilientes consacrent leur temps et leur énergie à se concentrer sur les situations et les événements sur lesquels elles ont un contrôle. En clair, elles s’intéressent aux efforts qui peuvent avoir le plus d'impact, se sentant aptes et sûres d’elles-mêmes.
Le psychologue Martin Seligman, quant à lui, parle non pas de résilience, mais d'optimisme et de pessimisme. Il identifie, chez les personnes optimistes, les traits suivants :
  • La notion de temps Les personnes optimistes (plus résistantes) considèrent les effets des mauvaises expériences passées comme temporaires plutôt que permanents. Un travail bâclé, par exemple, aboutira à quelque chose comme : « Mon chef n’a pas apprécié ce que j’ai fait » plutôt que « Mon chef déteste mon travail ».
  • La pervasivité Les personnes résilientes ne laissent pas les échecs affecter d'autres domaines de leur vie. Devant un constat d’échec, elles ne diront jamais : « Je suis bon(ne) à rien », mais plutôt : « Je ne suis pas très fort(e) dans ce domaine ».
  • La personnalisation Les personnes résilientes ne se blâment pas elles-mêmes lorsque des situations difficiles surviennent. Elles voient plutôt d'autres personnes, ou tout simplement les circonstances, comme étant la cause.
 

Les caractéristiques principales des personnes résilientes

Observant l’avenir de manière positive et envisageant des jours meilleurs, les personnes résilientes se forgent des objectifs solides pour les atteindre et cultivent le désir de les atteindre. Empathiques et compatissants, les hommes et les femmes qui font preuve de résilience ne perdent pas de temps à se préoccuper de ce que les autres pensent d'elles. Ils entretiennent des relations saines sans céder à la pression de leurs pairs. Les personnes résilientes ne se considèrent jamais comme des victimes : elles consacrent leur temps et leur énergie à changer les choses sur lesquelles elles ont un contrôle.   En sachant cela, réfléchissez à la manière dont vous percevez l'adversité et le stress qui influent sur votre réussite… Cela devrait suffire à comprendre pourquoi il est si important d'avoir un état d'esprit résilient. Nous échouons tous de temps à autre. Les échecs font partie de notre quotidien et, à un moment ou à un autre, nous tombons tous à plat ventre... Il est possible d’éviter les échecs : en ne prenant aucun risque, en restant confiné(e) chez soi, sans jamais essayer quelque chose de nouveau ou prendre un risque. Est-ce la vie dont vous avez envie ? Nous sommes d’accord. Ne devrions-nous pas avoir le courage de poursuivre nos rêves, malgré le risque très réel que nous puissions échouer d'une manière ou d'une autre ? C’est là que la résilience intervient : lorsque nous échouons, nous rebondissons et avons la force de tirer les leçons qui s'imposent à nous pour passer à des choses meilleures. En résumé, la résilience nous donne la force de surmonter les échecs et les retournements de situations, afin que nous puissions vivre la vie que nous avons toujours imaginée.  

Comment renforcer votre résilience au travail ?

Même si vous n’êtes pas une personne naturellement robuste, que votre carapace est très fine, vous pouvez apprendre à développer votre résilience à deux niveaux : d’abord au niveau de votre état d’esprit ; ensuite, au niveau de votre attitude. Pour ce faire, intégrez dès maintenant les habitudes suivantes dans votre quotidien :
  • Dormez suffisamment, faites de l'exercice et apprenez à gérer votre stress. Un esprit sain dans un corps sain… Cela vous aidera à vous sentir mieux et plus à même de faire face aux défis de votre vie.
  • Soyez conscient(e) de vos pensées. Les personnes résilientes ne laissent pas les pensées négatives leur faire oublier leurs efforts. Au contraire, elles pratiquent constamment la pensée positive. Essayez d’écouter la façon dont vous vous parlez lorsque quelque chose ne va pas. Si vos paroles contiennent trop de déclarations négatives, des pensées envahissantes qui vous minent… corrigez-les dans votre esprit.
  • Pratiquez la restructuration cognitive pour changer votre façon de penser par rapport aux situations négatives et aux événements bouleversants ou négatifs.
  • Apprenez de vos erreurs et de vos échecs. Chaque erreur a le pouvoir de vous enseigner quelque chose d'important. N’arrêtez de chercher qu’une fois que vous avez trouvé la leçon à tirer d’un échec. L’adage "Si cela ne vous tue pas, cela vous rend plus fort" a du bon…
  • Choisissez la manière dont vous répondez à une situation. Nous connaissons tous des jours difficiles et traversons tous des périodes de crise. En revanche, nous avons le choix de la manière dont nous réagissons. Nous pouvons choisir de réagir négativement ou dans la panique, mais nous pouvons également choisir de rester calme et logique pour trouver une solution. Vous seul(e) avez le contrôle sur votre réaction.
  • Prenez (et gardez) du recul. Les personnes résilientes comprennent que, même si une situation ou une crise peut sembler accablante sur le moment, son impact diminuera avec le temps. Evitez de donner, aux événements, une ampleur démesurée.
  • Fixez-vous des objectifs personnels efficaces et intelligents, qui correspondent à vos valeurs tirez les leçons de vos expériences.
  • Renforcez votre confiance en vous. N'oubliez pas que les personnes résilientes sont sûres de réussir à terme, malgré les échecs et autres tensions auxquels elles peuvent être confrontées. Cette confiance en soi leur permet également de prendre des risques et de trouver la force de continuer à avancer pour progresser.
  • Développez des relations de qualité avec vos collègues. Les personnes qui entretiennent de bonnes relations au travail résistent mieux au stress et sont plus heureuses dans leur rôle. Cela vaut également pour votre vie personnelle : plus vous nouez de véritables amitiés, plus vous serez résilient(e), car vous pourrez compter sur le soutien de vos amis.
  • Soyez flexible. Les personnes résilientes comprennent que les choses ne restent pas figées et que des plans soigneusement élaborés peuvent, à l'occasion, devoir être modifiés ou abandonnés.
  La résilience fait peut-être partie de vos atouts… Découvrez-le en réalisant un bilan de compétences ou apprenez à faire, de votre résilience, une arme pour être paré(e) à toute épreuve… Contactez VAST RH pour développer votre plein potentiel et aller de l’avant.

Walt Disney, Thomas Edison, Alexander Graham Bell et autres grands inventeurs ont tous un point commun : au gré de leurs échecs, d’obstacles et de refus en tout genre, ils n’ont jamais bai...

Alors que vous vous préparez à votre prochain entretien d’embauche, vous cherchez à mettre toutes les chances de votre côté. Déterminé(e), vous avez toutes les compétences qu’il faut pour décrocher le poste. Mais cela ne suffit pas. Il arrive en effet parfois que, malgré les diplômes et la motivation, les recruteurs ne soient pas conquis après une première impression qui les laisse pantois. Et si nous passions de l’autre côté du bureau, le temps d’un article, en nous mettant à la place du recruteur. Comment énerver les recruteurs au plus haut point ? Quelles gaffes les candidats font-ils pour passer à côté du job de leurs rêves ? Explications sous forme de conseils… à ne surtout pas suivre !

Allez-y la fleur au fusil, les mains dans les poches

Le candidat qui n’a rien préparé : c’est l’une des bêtes noires des recruteurs. Se rendre à un entretien d’embauche sans même avoir pris la peine de se renseigner sur l’entreprise, sa raison d’être, ses collaborateurs, c’est un moyen sûr de faire perdre son temps au recruteur… et de le lui faire comprendre. Comment éviter ce faux-pas ?: Aujourd’hui, il est impensable de ne pas trouver d’informations concernant une entreprise, quelle qu’elle soit. Google est votre ami… mais il y a également LinkedIn et les réseaux sociaux sur lesquels l’entreprise communique activement ou de manière occasionnelle.

Arrivez quelques minutes en retard et surtout ne vous excusez pas

Arriver à l’heure, voire en avance, est un signe de politesse. Pour montrer au recruteur qu’il est la dernière de vos priorités dans la liste des tâches à accomplir le jour même, arrivez en retard, frais comme un gardon, et surtout, ne vous excusez pas. S’ils vous veulent vraiment, c’est à eux de s’adapter ! Comment éviter ce faux-pas ? Un retard est toujours possible. Néanmoins, s’il est possible de l’éviter le jour de l’entretien, c’est mieux… La veille, ou quelques jours avant, renseignez-vous quant aux moyens de transport à votre disposition pour vous rendre sur place et prévoyez de la marge. La politesse fait partie des critères les plus importants pour les entreprises, alors… autant commencer sur une note positive !  

Ne parlez que de vous

« Moi je », « Je pense que », « Personnellement »… lorsqu’elles s’accumulent ces expressions font bouillir les recruteurs. Et cerise sur le gâteau, si vous voulez vraiment faire très fort, placez une ou deux fois : « si j’étais à votre place… ». Généralement, vous atteignez la porte de sortie en un temps record, escorté(e) ou non. Comment éviter ce faux-pas ? Certes, vous êtes à l’entretien pour parler de vous… mais pas seulement ! Montrez que vous vous intéressez à l’entreprise, parlez des autres, de votre équipe. Dans le bureau d’un recruteur, souvenez-vous que vous n’êtes pas le centre du monde.  

Esquivez les questions

Une question trop personnelle ? Une question qui vous met mal à l’aise ? En deux temps, trois mouvements, évitez-la. Avec de la chance, le recruteur n’y verra que du feu. Ou… il/elle verra rouge… Car lorsqu’un candidat ne répond pas aux questions, cela ne veut-il pas dire qu’il ou elle ne se soumet pas aux ordres de la hiérarchie ? Comment éviter ce faux-pas ? Certes, il y a des questions que l’on préfèrerait éviter. Mais il y a également des moyens de répondre aux questions difficiles intelligemment, en transformant le négatif en positif. Pour ce faire, il n’y a qu’une solution : la préparation en amont.  

Restez muet(te) ou répondez par monosyllabes

Lorsqu’il doit vous soutirer des informations, si le recruteur doit faire preuve de patience et d’ingéniosité, il y a des chances pour que sa tension augmente au fil des minutes. Pour être sûr(e) de ne pas décrocher le job, répondez par « oui » ou par « non ». Roi ou reine du silence, abusez également de moues et de hochements de tête. Ça énerve au plus haut point. Comment éviter ce faux-pas : Les réponses très (trop) courtes mettent les recruteurs mal à l’aise. Même si vous êtes stressé(e), il est important de faire preuve de motivation. Une question doit être propice à l’ouverture d’une conversation. Ne confondez pas « entretien d’embauche » avec « interrogatoire de police »… c’est important pour la suite des opérations.   Quelle que soit la raison pour laquelle vous devez vous soumettre à un entretien d’embauche, la préparation est le maître mot. Et si vous contactiez le spécialiste en la matière ? VAST RH, cabinet de conseil en ressources humaines, met ses compétences à votre disposition pour faire, de chaque expérience, une réussite. Contactez-nous pour discuter de votre projet.

Alors que vous vous préparez à votre prochain entretien d’embauche, vous cherchez à mettre toutes les chances de votre côté. Déterminé(e), vous avez toutes les compétences qu’il faut pour ...

Oubliez le présent. Oubliez votre âge. Oubliez les contraintes. Répondez à une seule question : « Que voulez-vous faire de votre vie ? ». Une question qui en suscite une dizaine d’autres (qui êtes-vous ? qu’est-ce qui donne un sens à votre vie ? où voulez-vous être dans cinq ans ? comment y parviendrez-vous ?…). Vivre sa passion exige un effort mental et une prise de conscience. L’exercice n’est pas sans risque, mais le jeu en vaut la chandelle. À terme, vivre sa passion se transforme en satisfaction durable, car vous finissez par faire ce que vous aimez vraiment. Et puis… vivre sa passion, c’est tout à fait possible !  

La passion selon Larry Smith

« Cet après-midi, j’aimerais discuter avec vous… les raisons pour lesquelles vous n’aurez jamais une grande carrière ». C’est ainsi que Larry Smith commence son TED Talk. Dans une conférence pinçante, pleine d’humour, l’économiste américain dévoile sans ambages les multiples (et absurdes) excuses que les gens inventent lorsqu’ils ne parviennent pas à satisfaire leurs passions. Une liste de raisons introduites par des « oui mais », complétées de « si » et de « peut-être »… Larry Smith définit la passion comme un sentiment puissant, qu’il convient de distinguer d’un simple intérêt. « La passion est la chose qui vous aidera à créer la plus haute expression de votre talent. La passion, l’intérêt, ce n’est pas la même chose. ». La passion va bien au-delà de l’intérêt. Il est possible d’avoir une liste de 20 choses que l’on trouve intéressantes et qu’une seule d’entre elles nous attire tout particulièrement. C’est dans celle-ci que se situe la passion. L’économiste va plus loin, expliquant, toujours avec beaucoup d’humour, que si nous sommes effrayés par le mot « destin » et que nous nous contentons de ce qui est « intéressant », nous passons à côté de formidables opportunités. Alors, pourquoi sommes-nous si peu nombreux à poursuivre notre passion ? La peur d’avoir l’air ridicule, peur d’essayer, peur d’échouer. Ce sentiment puissant, cette peur, se présente comme une barrière infranchissable à laquelle on trouve bien des excuses. Il explique également la raison précise pour laquelle la plupart d’entre nous n’auront jamais une grande carrière. À moins que…  

Un rêve (pourtant) accessible

Vivre sa passion, c’est faire face à son destin, à ses peurs et à ses angoisses, pour enfin se révéler soi-même. Alors que, pour tant d’individus, vivre sa passion restera toujours un rêve, d’autres le transforment en réalité. Comment ?
  • Ayez confiance en vos propres possibilités :  pour vivre votre passion, il faut dépasser les barrières et les limites que vous vous imposez à vous-même. Ayez confiance en vous et nourrissez-vous d’idées positives et inspirantes ;
  • Créez un environnement propice à la réussite. Soyez attentif aux autres, aux lieux et aux situations qui vous entourent. Côtoyez des personnes admirables, trouvez des mentors et éloignez-vous d’individus toxiques ;
  • Investissez en vous-même, car c’est ainsi que vous vous développerez personnellement.
  • Maximisez chacune des 86 400 secondes par jour dont vous disposez. Le temps est précieux ; évitez de le gaspiller. Planifiez votre journée, fixez-vous des objectifs clairs et poursuivez-les avec passion, conviction, énergie et enthousiasme.
  • Créez de la valeur et utilisez les traits, les talents et les compétences uniques que vous possédez en vous.
  • Dites « oui » aux opportunités lorsqu’elles se présentent. Vous gagnerez en expérience, en sagesse et en caractère. Gardez l’esprit ouvert et soyez toujours conscient des personnes et des situations qui peuvent vous faire voir les choses différemment.
  • Prenez les responsabilités et ne condamnez jamais les autres. Vous êtes seul responsable de votre vie et, pour suivre votre passion, vous ne pouvez pas attendre en restant assis à espérer qu’une occasion se présente.
  • Soyez prêt à faire des erreurs et apprenez à prendre des risques et à faire face à l’incertitude. Le meilleur professeur est l’échec, ne l’oubliez pas.
  • Conservez une vision claire et nette, c’est-à-dire une image globale de la direction que prend votre vie. Tel un sportif, concentrez-vous sur la ligne d’arrivée et la récompense en fin de course.
  • Gardez l’équilibre : émotionnellement, mentalement, spirituellement, physiquement et sur le plan relationnel, il est important de conserver un mode de vie équilibré. Vivre sa passion, c’est également organiser sa vie en fonction de ce que l’on veut faire.
  Vivre sa passion est tout à fait accessible. La plupart d’entre nous, pour mettre les choses en marche, ont besoin d’un coup de pouce. Et si nous parlions de votre passion ?    

Oubliez le présent. Oubliez votre âge. Oubliez les contraintes. Répondez à une seule question : « Que voulez-vous faire de votre vie ? ». Une question qui en suscite une ...

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